mercredi 21 janvier 2015

Le marxisme culturel par l’exemple. 5b




Note (8) Simone la gomorrhéenne.





Simone de Beauvoir (de son vrai nom Jeanne Marie Bertrand de Beauvoir), née le 9 janvier 1908 à Paris est morte le 14 avril 1986 à Paris, était une gomorrhéenne intellocrate; si vous voulez passer pour un vrai MC dire : « homosexuelle intellectuelle » ; une communiste, mauvaise romancière et essayiste pédophile française. Elle a partagé la vie et les idées nauséabondes du « philosophe » de pissotières Jean-Paul Sartre dit le ténia qu’elle a cocufié depuis toujours, tant avec des mâles que des femelles et s'est attachée au prétendu «combat » pour la condition des femmes et le droit à brouter les minous des petites filles. Elle sera d’ailleurs en juin 1943 suspendue de l'Éducation nationale à la suite d'une plainte pour « excitation de mineure à la débauche » pour des actes éminemment pervers et pédophiles commis sur une fillette Nathalie Sorokine.

Simone de Beauvoir est la fille de Georges de Beauvoir, éphémère avocat et comédien amateur, et de Françoise Brasseur, jeune femme issue de la bonne bourgeoisie de Verdun.

Elle voit le jour dans un appartement cossu du boulevard Raspail et entre à l'âge de 5 ans au « cours Désir », où sont scolarisées les filles de bonnes familles. Sa sœur cadette Hélène (dite Poupette) l'y rejoint deux ans plus tard. Dès le plus jeune âge, Simone se distingue par ses capacités intellectuelles et se partage chaque année la première place avec Elisabeth Lacoin (dite Elisabeth Mabille ou « Zaza » dans son autobiographie). Zaza devient rapidement sa meilleure amie même si Simone souffre en silence du manque de réciprocité sexuelle.

Après la Première Guerre mondiale son grand-père maternel Gustave Brasseur, président de la Banque de la Meuse, fait faillite et est déclaré banqueroutier précipitant toute sa famille dans le déshonneur et la déconfiture. Aussi les parents de Simone sont-ils contraints, par manque de ressources, de quitter l'appartement cossu du boulevard Raspail pour un autre appartement, sombre, exigu et au sixième étage d'un autre immeuble du même boulevard (au-dessus de l'actuel restaurant « La Rotonde »). Georges de Beauvoir, que Simone décrira plus tard « à mi-chemin entre l'aristocrate et le bourgeois », espérait vivre avec l'argent de son épouse. Celle-ci se sentira coupable toute sa vie, envers son mari, de cette dot engloutie. Simone en souffre et voit les relations entre ses parents se dégrader. Toute son enfance sera marquée par le fait d'être une femme : son père espérait avoir un fils pour en faire un polytechnicien. D'ailleurs, il répètera à Simone : « tu as un cerveau d'homme ».


À quinze ans, son choix est déjà fait, elle sera un écrivain célèbre. Elle obtiendra de nombreux diplômes : licences de littérature, grec, latin, philosophie, mathématiques... mais elle a surtout une révélation pour la philosophie et décide d'approfondir cette matière à la faculté des lettres de l'université de Paris. Elle y rencontre d'autres intellocrates en herbe, notamment Jean-Paul Sartre qu'elle compare à un génie. Une relation mythique se nouera entre eux, dès cette époque, que seule la mort rompra. Sartre lui reprochera d’avoir signé en 1939 une déclaration où elle assurait n’être ni juive ni franc-maçonne.

Elle sera son « amour nécessaire » en opposition aux « amours contingentes » qu’ils seront amenés à connaître tous deux. Simone de Beauvoir fut reçue première à l'Agrégation de philosophie.
La mort de Zaza cette même année la plonge dans une grande souffrance. Simone, élevée par une mère pieuse, a perdu la foi dès sa quatorzième année (d'après les mémoires d'une jeune fille rangée), bien des années avant son agrégation de philosophie, avant même son départ du cours Désir et marque ainsi son émancipation vis-à-vis de sa famille.

Avant d'obtenir le Goncourt pour Les Mandarins en 1954, l'auteur du Deuxième Sexe réflexion et vision marxiste sur la « condition » féminine fut clouée au pilori pour ce que Camus nomma une « insulte au mâle latin». Mauriac dans Le Figaro fut tout aussi féroce écrivant : «Nous avons atteint les limites de l’abject.», comme le communiste Jean Kanapa qui n’aimait pas les gouines et les pédales comme tous les cocos de l’époque dans La Nouvelle Critique dénonçant «l'ordure qui soulève le cœur» et un livre qui  «ferait bien rigoler les ouvrières de Billancourt».
 
Au cours de cette décennie 1970-1980, la grosse Simone était devenue, étiquette longtemps détestée, «féministe». Elle se disait «écrivain», jamais elle n’aurait dit : «Je suis écrivaine» ou «je suis une auteure» ; elle était contre la féminisation des mots. «Le fait est que je suis une femme écrivain : une femme écrivain, ce n’est pas une femme d’intérieur qui écrit, mais quelqu’un dont toute l’existence est commandée par l’écriture.»
La grosse gousse au gros cul a écrit le Deuxième Sexe du temps ou elle croyait qu’elle était un homme comme les autres…
Dès l'agrégation en 1929, Simone, ou plutôt Castor surnom donné par René Maheu (André Herbaud dans les Mémoires) et repris par Sartre car « Beauvoir » est proche de l'anglais beaver (signifiant castor), et que, comme elle, « Les Castors vont en bande et ils ont l'esprit constructeur » (dans Mémoires d'une jeune fille rangée) devient professeur de philosophie. Elle se trouve mutée à Marseille. La perspective de quitter Sartre, lui-même muté au Havre, la jette dans l'angoisse et ce dernier lui propose de l'épouser afin d'obtenir un poste dans le même lycée. Bien que viscéralement attachée à Sartre, elle rejette la proposition avec horreur. On pense à tort qu'elle a refusé parce que le mariage représente pour elle une tradition bourgeoise et avilissante pour les femmes. Elle explique dans L'âge de raison qu'elle sentait que la proposition de Sartre avait été faite avant tout pour la satisfaire, quelque peu à contrecœur. L'année suivante, elle parvient à se rapprocher de Sartre en obtenant un poste à Rouen où elle fait la connaissance de Colette Audry, enseignante dans le même lycée. Elle devient très proche de certaines élèves, notamment Olga Kosakiewitcz et Bianca Lamblin avec qui elle entretient des relations homosexuelles, le « pacte » la liant à Sartre lui permettant de connaître des « amours contingentes ». Elle se lie également avec un élève de Sartre, « le petit Bost », futur mari d'Olga, qui devient entre-temps dit on la « maîtresse » de Sartre. Ce groupe de drogués pervers échangistes et d’homosexuels pédophiles surnommés « la petite famille » reste indéfectible jusqu'à la mort de chacun d'entre eux, malgré de petites brouilles et de graves conflits.


Peu avant la Seconde Guerre mondiale, le « couple » Sartre-Beauvoir est muté à Paris. Beauvoir voit son premier roman un truc à chier « Primauté du spirituel », écrit entre 1935 et 1937, refusé par Gallimard et Grasset (il paraîtra en 1979 sous le titre Quand prime le spirituel puis Anne ou quand prime le spirituel). L'invitée est publiée en 1943, elle y décrit, à travers des personnages imaginaires, sa relation entre Sartre, Olga et elle-même. Le succès est immédiat. Suspendue en juin 1943 de l'Éducation nationale à la suite d'une plainte pour « excitation de mineure à la débauche » déposée en décembre 1941 par la mère de Nathalie Sorokine, elle sera réintégrée à la Libération par la grâce du PCF. 
 
Aujourd’hui les pédophiles exercent en toute impunité leurs vices monstrueux sans aucune sanctions de l’éducation Nationale : Voir ici.
Il est vrai que depuis 1962 ou mon « ami » Georges avait dans ses fameuses Trompettes de la renommée proclamé que : «  Le crime pédérastique aujourd'hui, ne paie plus » .
 
Revers de « l’inégalité », les femmes sont souvent idéalisées, jugées incapables de commettre les mêmes horreurs que les hommes. Or, on découvre aujourd’hui de plus en plus que c’est faux, en particulier quand il s'agit d'abus sexuels sur les enfants. 



Cindy, Gloria, Jennifer, Karla… Il suffit de cliquer sur les sites Internet -américains où sont fichés les délinquants sexuels pour tomber sur des centaines de noms de femmes condamnées pour viols sur mineur et attouchements sur leurs propres enfants.

En Grande-Bretagne, les portraits patibulaires de Vanessa George continuent d’occuper la une des tabloïds. Puéricultrice à la Little Ted Nursery de Plymouth, Vanessa George a été jugée coupable d’agressions sexuelles répétées sur des enfants de 2 à 5 ans, de fabrication et d’échange d’images pédo-pornographiques par l’intermédiaire de Facebook. Ici

Depuis cette affaire, le service d’assistance téléphonique ChildLine a enregistré une augmentation de 132 % des plaintes pour agression sexuelle féminine et la presse anglaise s’est largement fait l’écho d’une « explosion de la pédophilie féminine » conséquence logique du marxisme culturel.

C’est donc aussi chez nous (Voir ici) que des actes ignobles de pédophilie on lieu au sein de l’éducation nationale et ne sont plus réprimés conséquence tragique du marxisme culturel ambiant.





Mon attention avait été retenue par un curieux article ICI d'un journaliste quasiment inconnu du grand public paru le 22 mai 2013 dans le Nouvel Observateur. François Caviglioli nous racontait « gaiement » l'histoire d'une prof d'anglais, Mme Amadéo, 30 ans, qui après être « tombée amoureuse » d'une de ses élèves, Yasmine (une beurette de 12 ans), va vivre avec elle, une passion que l'on devine charnelle. Jusque là, rien d'extraordinaire, un drame aussi banal qu'odieux, celui d'une personne détentrice d'une autorité morale qui va céder à la tentation pédophile. Ce qui est très étrange dans cet article, c'est la façon avec laquelle Caviglioli nous raconte le truc... 

«Yasmine, 12 ans, et sa prof, 30 ans: récit d’une passion interdite». Le fait divers: une professeure d’anglais est convoquée au tribunal correctionnel de Lille pour «atteinte sexuelle sur mineur de moins de 15 ans». Elle aurait entretenu une liaison qu’elle affirme consentie avec l’une de ses élèves, alors âgée de 12 ans.


Le passage de l’article violemment critiqué par les lecteurs (et qui a été supprimé):

«L’enseignante exaltée redécouvre les méandres et la géographie de la carte de Tendre. Après l’affection, l’estime, l’inclination pour finir au bout de deux ans par les appels du désir et tous les désordres de la passion. Yasmine se laisse aimer et désirer. Elle apprend l’algèbre des sentiments, les exigences et les égarements du corps. Ce qui devait arriver arrive: un saphisme sans violence, mais aussi un amour condamné, une relation que les deux amantes savent maudite.»
Caviglioli nous fait du Sartre au 21ème siècle, « journaliste », romancier et scénariste, Caviglioli truffe son article  comme un bon marxiste culturel de représentations fantasmées : la complaisance explicite avec laquelle il choisit de nous dépeindre une agression sexuelle pédophile comme une belle histoire d’amour, de désir et d’ivresse sensuelle, sème le doute sur son degré d’excitation personnelle à la visualisation de deux femmes en train de faire l’amour, oubliant ce qu’implique l’âge de Yasmine.

Non qu’il soit condamnable d’avoir des fantasmes, et d’aimer imaginer les ébats sexuels de deux femmes (du moins tant qu’on s’abstient en bon marxiste culturel de toute lesbophobie sous-jacente ou de comportement patriarcal).
Mais on est en droit de montrer un certain scepticisme devant le spectacle d’un adulte, « journaliste » du nouvel Observateur, (Gauchiste et maxcul) se délectant visiblement (dans une emphase érotique totalement décomplexée typique du marxisme culturel) de la représentation fantasmée de relations sexuelles entre une enfant de 12 ans et une adulte, et ce au point d’en faire une ébauche de scénario digne d’un roman pour pervers.


On est en droit de se demander quel serait l’effet provoqué si on avait masculinisé ce titre tout en transposant la mise en évidence corporatiste à une autre catégorie de personne ayant autorité, par exemple comme ceci : « Antoine, 12 ans, et le curé de sa paroisse, 30 ans : une passion interdite »  ou mieux : «  Mohamed 12 ans et l’imam de son quartier : une passion libidineuse ? »
Pour en revenir à Simone notre broute minou, elle travaillait pensant la guerre pour la radio collabo (Radio Vichy) où elle organisait des émissions consacrées à la musique à travers les époques. Peu avant de mourir, son père Georges de Beauvoir dit à un de ses amis en parlant de sa fille : « Elle fait la noce à Paris », marquant ainsi son dégoût pour la vie de collabo de Simone.

Avec Sartre, Raymond Aron, Michel Leiris, Maurice Merleau-Ponty, Boris Vian (Dommage, j’aime bien Boris) et quelques intellectuels bolchos, elle fonde un journal : Les Temps modernes qui a pour but de faire connaître ce que ces marxistes nomment l'existentialisme à travers la littérature contemporaine. Mais elle continue cependant son « œuvre » personnelle. Après plusieurs romans et essais où elle parle de son engagement pour le communisme, l'athéisme et l'existentialisme, elle obtient son indépendance financière et se consacre totalement à son métier d'écrivain. Elle voyage dans de nombreux pays (É.-U., Chine, URSS, Cuba, etc.) où elle fait la connaissance de criminels contre l’humanité communistes et autres rouges terroristes tortionnaires telles que Fidel Castro, Che Guevara,  Mao Zedong, Richard Wright. Aux États-Unis, elle engage une relation passionnée avec l'écrivain américain Nelson Algren, et lui envoie plus de 300 lettres.

En 1949, elle obtient la consécration en publiant Le Deuxième Sexe. Le livre se vend à plus de 50 000 exemplaires dès la première semaine, occasionne la publication des articles contradictoires de Armand Hoog (contre) et de Francine Bloch (pour) dans la revue La Nef, et fait scandale au point que le Vatican le mette à l'index. François Mauriac, l'ennemi de toujours écrira aux Temps modernes : « à présent, je sais tout sur le vagin de votre patronne ». Beauvoir devient la figure de proue du féminisme en décrivant une société qui maintient la femme dans une situation d'infériorité. Son analyse de la condition féminine à travers les mythes, les civilisations, les religions, l'anatomie et les traditions fait scandale, et tout particulièrement le chapitre où elle parle de la maternité et de l'avortement, assimilé à un homicide à cette époque. Quant au mariage, elle le considère comme une institution bourgeoise aussi répugnante que la prostitution lorsque la femme est sous la domination de son mari et ne peut en échapper.
En 1954, elle obtient le prix Goncourt pour Les Mandarins et devient l'un des auteurs les plus lus dans le monde. Ce roman qui traite de l'après-guerre met en lumière sa relation avec Nelson Algren, toujours à travers des personnages imaginaires. Algren ne peut pas supporter le lien qui unit Beauvoir à Sartre, celle-ci ne pouvant y mettre un terme, ils décident de rompre.

À partir de 1958, elle entreprend son autobiographie où elle décrit son milieu bourgeois rempli de préjugés et de traditions avilissantes et les efforts pour en sortir en dépit de sa condition de femme. Elle décrit aussi sa relation avec le ténia Sartre en la qualifiant de totale réussite. Pourtant, bien que la relation qui les unit soit toujours aussi passionnée, ils ne sont plus un couple au sens propre du terme, et ce depuis longtemps, même si Beauvoir laisse entendre le contraire à ses lecteurs.




En 1964, elle publie Une mort très douce qui retrace la mort de sa mère. D'après le ténia Sartre, c'est son meilleur écrit. Le thème de l'acharnement thérapeutique et de l'euthanasie y est évoqué à travers des lignes poignantes d'émotion. Dans cette épreuve de deuil, elle est soutenue par une jeune fille dont elle a fait la connaissance à la même époque : Sylvie Le Bon, une jeune étudiante en philosophie. La relation qui unit les deux femmes est obscure : relation « mère fille », « amicale », ou « amoureuse »... Simone de Beauvoir déclare dans Tout compte fait, son quatrième tome autobiographique, que cette relation est semblable à celle qui l'unissait à Zaza cinquante ans plus tôt. Sylvie Le Bon devient sa fille adoptive et héritière de son œuvre littéraire et de l'ensemble de ses biens.

L'influence de Beauvoir, associée à Gisèle Halimi et Elisabeth Badinter, a été décisive pour obtenir la reconnaissance des prétendues « tortures » infligées aux femmes lors de la guerre d'Algérie et le droit à l'avortement. Elle est à l'origine du Manifeste des 343. Avec Gisèle Halimi, elle a cofondé le mouvement Choisir, dont le rôle a été déterminant pour la légalisation de l'Interruption volontaire de grossesse.

Durant toute sa vie, elle a étudié le monde dans lequel elle vivait, en visitant « usines » et institutions, à la rencontre d'ouvrières et de communistes de la nomenklature criminels.
Après la mort de Sartre en 1980, elle publie La Cérémonie des adieux où elle décrit les dix dernières années de son ténia préféré avec des détails médicaux et intimes si crus qu'elle choque bon nombre des disciples du "philosophe".

Beauvoir, qui était à voile et à vapeur dira a propos d’une randonnée en Savoie en juillet 1938: «Il m’est arrivé quelque chose d’extrêmement plaisant à quoi je ne m’attendais pas du tout en partant – c’est que j’ai couché avec le petit Bost voici trois jours. […] Nous passons des journées d’idylle et des nuits passionnées.» Jacques-Laurent Bost, est un ancien et jeune « élève » de Sartre.
Ardente « avocate » marxiste culturelle de l’existentialisme théorisé par le ténia bolcho Jean-Paul Sartre, elle soulève des questionnements afin de trouver un sens à la vie dans l’absurdité d’un monde dans lequel nous n’avons pas choisi de naître. Associée à celle de Sartre, son œuvre s’en différencie dans la mesure où elle aborde le caractère concret des problèmes, préférant une réflexion directe et ininterrompue sur le vécu.

Dans Le Deuxième Sexe, elle affirme : « On ne naît pas femme, on le devient » (repris du concept proposé par Tertullien) : c'est la construction des individualités qui impose des rôles différents, aux personnes des deux sexes. Son livre souleva un véritable tollé et son auteur fut parfois calomnié. Rares furent ceux qui lui apportèrent du soutien. Elle reçut cependant celui de Claude Lévi-Strauss qui lui dit que du point de vue de l'anthropologie, son ouvrage était pleinement acceptable. De grands écrivains comme François Mauriac ne comprirent évidemment pas le sens marxiste culturel de son écriture allah con, et furent du nombre de ses détracteurs.

L'âge venant, après une vie de perversions, d’alcoolique, d’abus de tabac, d’amphétamines et d’héroïne, elle s'éteint en 1986 à Paris entourée de sa fille adoptive, Sylvie Le Bon de Beauvoir et de Claude Lanzmann. Ses funérailles furent aussi grandioses que celles de Sartre, et suivies par des femmes du monde entier. Elle est enterrée au cimetière du Montparnasse à Paris, dans la 20e division — juste à droite de l'entrée principale.
Sylvie Le Bon de Beauvoir, héritière de l'œuvre de Beauvoir a traduit, annoté et publié de nombreux écrits de sa « mère » adoptive, en particulier sa correspondance avec Sartre, Bost et Algren. Ce travail colossal et qui restitue parfaitement le style « Beauvoir » lève le rideau sur la vie intime de Beauvoir, en révélant sans ambiguïté sa bisexualité, et son exaspération vis-à-vis de certains proches encore vivants au moment de la publication, tels que sa sœur Hélène (qui en fut anéantie), et ses anciennes amantes.

A suivre en Partie 6.



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