Le marxisme culturel par l’exemple.8.

Marxisme Culturel et Islamisme

J'appartiens à cette génération dont certains sont convaincus que, pour vraiment comprendre les drames de ce siècle, il faut admettre que le communisme au XXème siècle devenu rapidement du marxisme culturel, a eu pour but essentiel la destruction de l'homme et de ses valeurs fondamentales en appliquant une idéologie totalitaire haineuse.

Je sais, je sais, maintenant vous vous dites ; ça y est Labet de Bornay le vieux réac « d'extrême droite », (les réacs ( avec le bras tendu et le verre de bière allah main) sont toujours d’extrême droite, même si vous êtes libertarien, notion politique inconnue au bataillon des universités Françaises et des intellectuels de pissotières), ce fafounesquelibertaré ( quel joli nom !) et monomaniaque ( Les deux mon général) va encore nous faire la leçon et enfoncer bien profond les clous de son anticommunisme primaire et viscéral (ne jamais oublier viscéral, ça pose le progressiste) et nous regonfler avec son marxisme culturel inhérent à la république Française. Mais alors là, non de Dieu, non de non ! Il faut être clair, nom d’un petit bonhomme, mon combat n’est pas un combat « contre » le communisme. Ce qu'il faut combattre n'est pas le communisme en soit, mais la traduction politique de cette idéologie mortifère. Par exemple, il ne m'intéresse pas de savoir si le communisme est plus « vrai » que le capitalisme. Ce débat est aussi stérile que l'étaient autrefois les « disputations » et controverses entre théologiens juifs, musulmans et catholiques, savoir si Érasme avait raison avec son «de libero arbitrio» au dépend de Luther avec « de prédestinatio». Personne n'a jamais convaincu l'autre. Le communisme est un idéal. Que les communistes s'organisent dans leurs communes et phalanstères, qu'ils affichent leur bonheur d'y vivre, et ils seront en principe rejoints par des milliers de gens. Mais bon, rien n’est moins sur, pensez aux monastères vides, aux kibboutz tout aussi vides et a toutes les « expériences » collectivistes qui ne furent toujours que des échecs.

Et l’on en vient à la « Question » (Posée le 5 Septembre 2014): Pourquoi les républicains sociaux démocrates de gauche comme de droite soutiennent-il quand ils ne les instrumentalisent pas avec autant d’assurance et d’arrogance l’islam et les minorités trop, beaucoup trop visibles en Europe et dans notre pays ? Est-ce par pure bêtise ou par simple calcul électoral? Est-ce par flemme intellectuelle ou par idéologie ? Est-ce par lâcheté ou par le développement d’une pathologie encore inconnue ? Est-ce que les patriotes ont une vision exacerbée de la nation ou les gens de gauche sont des jean-foutres ? C’est un peu de tout ça et beaucoup par idéologie marxiste culturelle pernicieuse souvent inconsciente !

Pour ceux qui ont suivis jusqu’ici vous avez vu que Willi Münzenberg, grand architecte de la désinformation sous Lénine puis Staline, convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s’implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n’était au préalable radicalement transformée, avait défini l’objectif et donné le mode d’emploi du Marxisme Culturel : « Organiser les intellectuels et se servir d’eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu’à ce qu’elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat ».

Le marxisme culturel tue lui aussi.

Vous avez-vous vu aussi que, quel que soit le moyen de pourrissement tout est bon pour le marxisme culturel ; Herbert Marcuse écrira : « Qu’une conscience non révolutionnaire – ou plutôt antirévolutionnaire – prévaut dans la majorité de la classe ouvrière, cela saute aux yeux. » Et il continue: « Il faut préférer la dictature des intellectuels au pouvoir d’un peuple encore imparfait. […] Il est nécessaire, pour une société civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées. » .

L’ex-agent du KGB Yuri Bezmenov expliquera, après sa défection en 1970, la vaste stratégie de subversion de l’Ouest et des pays non-alignés par l’URSS qui fait des ravages aujourd’hui.

Première phase de cette véritable guerre (Janvier 2014 la Troisième guerre mondiale c'est maintenant Civilisation occidentale ou monde islamo communiste : à vous de choisir), la plus cruciale, la « Démoralisation ». La démoralisation prend 15 à 20 ans. Pourquoi ? Car elle vise la jeunesse, singulièrement étudiante. L’objectif étant de formater une génération complète qui, mécaniquement, prendra sa place dans la couche supérieure, l’élite d’un pays donné ( On y est ; la génération au pouvoir en France aujourd’hui à été « éduquée » suivant le catéchisme Marxiste Culturel et le bréviaire social démocrate). Bezmenov les qualifie « d’infectés » et souligne qu’une fois le processus complété il est impossible de faire marche arrière durant la vie de cette génération : elle a les postes, elle dirige et seul un état autoritaire pourrait s’en débarrasser. Et comme le souligne Bezmenov : par définition une société dite ouverte ne peut agir ainsi.

Cette génération reprend tout ou partie de l’idéologie marxiste. Le but n’étant évidemment pas une conversion radicale au communisme de l’intérieur, mais simplement de parvenir à la phase finale de la subversion d’un pays qui est le coup d’état révolutionnaire.

La phrase de Münzenberg, prend ici tout son sens « Organiser les intellectuels et se servir d’eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu’à ce qu’elle pue etc. etc.».

Bezmenov expliquait en outre que durant cette première phase de contamination intellectuelle, idéologique et culturelle, l’idéologie marxiste culturelle visait surtout les parties conservatrices d’un pays et non – c’est le terme du renseignement soviétique – des « prostituées communistes » qui soutenaient les idées marxistes. Pour les idéologues MC, ces gauchistes (aujourd’hui antifas, Red Skin, activistes du MRAP, du Mouvement de la «Paix» et autres lobotomisés) sont une simple force d’appoint pour pratiquer l’agitation mais seront éliminés en priorité lors de la révolution, précisément parce que ces éléments sont idéalistes et perdront inévitablement leurs illusions sur la véritable nature du marxisme une fois en place. De fait, ils deviendraient des ennemis politiques acharnés.

Il s’agissait à l’époque jusqu’en 1991, il y a seulement 24 ans (La démoralisation est terminée, on entre dans la guerre) pour le KGB d’aider les intellectuels notamment de droite, des artistes, journalistes, politiciens qui soutenaient, à un degré ou à un autre, le prétendu « humanisme »,la prétendue  « tolérance » et le merveilleux progressisme au 150 millions de victimes innocentes si ce n’est carrément l’agenda pro-soviétique et pro-communiste d’un pays cible afin qu’ils influencent les masses. Cela passait parfois par de la corruption, de la coercition, parfois par du piston, parfois cela se faisait tout seul. Mais le plus souvent cela c’est fait par la manipulation mentale, qui comme les races, existe bel et bien, ensemble des tentatives obscures ou occultes de fausser ou d’orienter la perception de la réalité d'un interlocuteur en usant d'un rapport de pouvoir, de séduction, de suggestion, de persuasion, de soumission non volontaire ou consentie c’est le marxisme culturel dans toute sa « gloire » !

Mais revenons à nos agneaux ou nos moutons ; comme ti veux ti choise mon zami.

Le marxisme culturel? Pourrir l'occident chrétien !

Puisque je vais être obligé dans cet article de parler de Charlie Hebdo (actualité oblige) et maxculs qui on ont pris plein la gueule par leurs « potes » et des innocentes victimes juives assassinées par des « jeunes » « musulmans » lobotomisés, il convient de préciser que Libertarien de la première heure, je partageais nombre « d’idées » avec de nombreux collaborateurs de Charlie et ce depuis les années 1970 avec Pierre Fournier (dit Jean Nayrien Nafoutre de Séquonlat) dessinateur dans Minute avant de devenir collaborateur chez Hara-kiri qui deviendra Charlie Hebdo.

J’étais en total accord avec lui lorsque Pierre écrivait : « Pendant qu’on nous amuse avec des guerres et des révolutions qui s’engendrent les unes les autres en répétant toujours la même chose, l’homme est en train, à force d’exploitation technologique incontrôlée, de rendre la terre inhabitable, non seulement pour lui mais pour toutes les formes de vie supérieures qui s’étaient jusqu’alors accommodées de sa présence... Au mois de mai 68, on a cru un instant que les gens allaient devenir intelligents, se mettre à poser des questions, cesser d’avoir honte de leur singularité, cesser de s’en remettre aux spécialistes pour penser à leur place. Et puis la Révolution, renonçant à devenir une Renaissance, est retombée dans l’ornière classique des vieux slogans, s’est faite, sous prétexte d’efficacité, aussi intolérante et bornée que ses adversaires, (…) Et puis là … en quelques mots, je me prend le Marxisme Culturel en pleine gueule ! A l’époque on en avait pas conscience quand Pierre poursuivait : «   c’est aux Chinois de donner l’exemple, moi j’achète l’évangile selon Mao et je suis. » (Hara-kiri hebdo, 1969).

Pierre est mort avant de voir le « beau » résultat du maoïsme.

Quand fin mai, 1971 Pierre lancera dans l’Hebdo un appel pour une manif baptisée « Bugey 01 » fixé au 10 juillet suivant, contre le réacteur de Saint-Vulbas, j’étais là et curieusement le seul en uniforme de quartier maître de la Marine Nationale.
Après une marche de 7 à 8 km « sous un soleil assassin » (selon la formule de Cavanna que je rencontrerai là pour la première fois), Bugey 01 se révèlera un grand succès, avec 12 000 à 15 000 participants selon la presse et la télévision. La météo est au beau fixe et de nombreux manifestants se baignent nus, donnant au rassemblement des airs de Woodstock français.

1971 j'y était ! St Vulbas priez pour nous !

Et si je vous dis que tout ces gens étaient des marxistes culturels et que je l’ai moi même encouragé jusqu’à ma prise de conscience. Pierre Fournier, François Cavanna  (qui en 1976, avait publié Stop crève, manifeste contre la mort), Jean Marc Reiser, Georges Bernier mon ami mon professeur Choron bien aimé, des MC disparus de leur « belle » mort, je suis triste, mais j’accepte, la mort c’est juste la fin de la vie …. Mais là … avec Jean Cabu, Georges Wolinski, Bernard Verlhac, dit « Tignous », Bernard Maris dit « Oncle Bernard », Philippe Honoré, dit « Honoré »,le retour de bâton fait mal ! Ils s’en sont pris plein la gueule les camarades !

Le marxisme Culturel avec ses sois disant luttes anticapitalistes (Wolinski a été dessinateur dans l’huma de 1977 à 1984) pour l’ « antiracisme » et le « métissage » et la promotion du « multiculturalisme » qui permet de détruire l’identité nationale donc la nation, un lieu majeur de transmission des valeurs ; c’étaient la base de la ligne politique du journal Charlie.

Charlie Hebdo avait milité depuis sa création sois disant pour la « tolérance », «l’humanisme», «le progressisme », « le multiculturalisme » et ainsi créé un monstre marxiste culturel ; Charlie Hebdo c’était le Frankenstein de l’humour politique. Mary Shelley a montré, dans son roman du même nom, que les monstres pouvaient échapper à leurs créateurs.

Personnellement, tout en étant pas dupe sur ses buts, j’aimais bien l’humour de Charlie (Par exemple les caricatures de Charb Voir ici lorsque madame Taubira est caricaturée en singe. Article qui verra le MRAP des Landes déposer une plainte parce que j’aurais comparé (sic) madame le ministre Taubira à une guenon (Sans rire SVP) alors que le dessin était de chez Charlie, de Charb en particulier.

J’aime bien le cinéma fantastique, l’héroïque fantaisie, les jeux vidéo violents, la science fiction et aussi les films d’épouvante notoirement marxistes culturels qu’on accuse bien sur de provoquer des malaises, de nuire aux bonnes mœurs et de changer les jeunes spectateurs innocents en criminels en puissance. Évidemment, tous les films d’horreur ne sont pas à mettre sous les yeux des plus jeunes de 7 à 77 ans comme le porno et les informations du journal de 20 Heure.

Un jour Cavanna m’avait posé une question : Il ne comprenais pas « l’articulation » qu’il pouvait y a avoir entre le Judaïsme et l’Islam, je le lui avait expliqué, mais aujourd’hui il est important de comprendre comment le monstre « Islam terreur» a échappé à ses créateurs marxistes culturels et se retourne aujourd’hui contre eux.

Le curieux de l’histoire c’est que mes idées libertariennes ou anarcho capitalistes illégalistes me viennent en droite ligne de la lecture recommandée par Charlie Hebdo de l’œuvre de Théodore John «Ted» Kaczynski plus connu sous le nom le "Unabomber" (De 1978 à 1995, Kaczynski a envoyé 16 bombes sur des cibles tuant trois personnes et en blessant 23. Américain et mathématicien Ted est connu pour ses vastes critiques sociales, qui s’opposaient à l'industrialisation et à la technologie moderne en proposant une forme de société naturaliste libertarienne centrée sur l’anarcho-primitivisme considérant le « progrès » si cher aux marxistes, comme une maladie confortable de l’inhumanité moderne. Cliquer ici pour: l' anarcho primitivisme. Vidéo de la "nef des fous"' by Rutube Voir aussi ici: Le luddisme et le Chartisme. Lire aussi ici l'Avenir de la société industrielle en PDF

Cassez vos télés de merde !

En France on l’a vu, c’est dès la fin de la guerre en 1945 que le marxisme culturel se met en place. Voir et lire ici : « Quand les communistes français profitent du rôle joué par l’URSS dans la victoire contre le nazisme pour développer un véritable terrorisme intellectuel.» Terrorisme intellectuel ? Oui ! Mais surtout marxisme culturel !

Tragique ambiguïté de 1945. La victoire sur l’Allemagne socialiste nationaliste, victoire indispensable, victoire vitale, a été remportée grâce au concours des communistes d’Union soviétique. Stratégiquement, il n’existait pas d’autre solution. Mais voilà l’URSS marxiste rangée dans le camp de la liberté, et le silence de se faire sur la nature totalitaire et criminelle de son régime. Comparer le nazisme et le communisme est interdit : s’y risquer, c’est être suspecté de sympathie rétrospective pour Hitler.

Mais après tout recommence avec la guerre d’Indochine instrumentalisée par les soviétiques. La France perdra. N’en parlons plus, les niakoués ne posent aucun problème allah rance qui pue.

C’est d’Algérie à la fin de la guerre du même nom que viendront les premières vagues d’immigration de « masse » ; et l’on sait que cette «guerre» a été provoquée par les marxistes internationalistes de Moscou instrumentalisant le PC-F Lire ici, comme en Indochine la France perdra. En 1954 après la perte des colonies d'Indochine, Moscou reporte ses efforts nauséabonds marxistes sur une autre région du monde ou il souhaite étendre son influence idéologique : L'Afrique du nord. Encore une fois, il lui sera au préalable nécessaire d'en exclure d'abord ses ennemis « capitalistes ».
Pour cela, il va activer le PCA (Parti Communiste Algérien), soutenu par le PCF, qui en plus de fournir un encadrement administratif et de propagande avec entre autre Léopold Figueres,( son tour viendra) va s'engager dans de nombreuses actions sanglantes, au profit du FLN qui en est très proche.

Le PCA et le FLN recevront du PCF courroie de transmission du Komintern des conseils en agitprop, des armes, du matériel de guerre, et surtout, des experts en explosifs, qui vont leur permettre de mener leurs campagnes de terreur sur tout le pays.

Puis dans les années 70, l’Europe a vu « monter » de nombreux mouvements terroristes marxistes, donnant le nom « d’années de plomb » à cette période (Cesare Battisti voir ici

Marina Petrella les deux activistes criminels italiens marxistes protégés par la France de droite comme de gauche avec Jean-Marc Rouillan, Nathalie Ménigon, Georges Cipriani, Joëlle Aubron André Olivier d’action directe Voir ici. La volonté des « terroristes rouges » de vrais « croyants » aux thèses criminelles marxiste culturelles étant encore et toujours d’instaurer un communisme qui combattrait un impérialisme fantasmé pour instaurer la sois disant liberté des « peuples », y compris ceux du tiers monde.

Action directe s'alliera dans les années 1980 avec les Cellules communistes combattantes belges, les Brigades rouges italiennes ainsi que la Fraction armée rouge allemande.

En 1987, l'activité terroriste révolutionnaire en France semble s'éteindre après l'arrestation des principaux membres d'Action directe et de l'Affiche rouge.

Il est vrai que le caractère contre-productif du terrorisme rouge qui, arbitraire et barbare comme tout les terrorismes, discréditait par contagion l’idéologie marxiste à laquelle il se référait était passé de « mode ». Alors vient la question fatidique : comment le marxisme a-t-il pu enfanter Actions Directe et autres Brigades Rouges sans compter aujourd’hui le terrorisme musulman ? Tout simplement de la même manière que pour tous les autres terrorismes, sur ce point l’extrême gauche marxiste n’a pas fait preuve d’une originalité particulière en réhabilitant le mythe comme discours politique légitime par une transmutation progressive d’une doctrine se voulant scientifique en un corpus de nature quasi religieuse. Avec ses idoles, ses lieux de pèlerinages, ses figures quasi-mythiques (divines : Staline, Mao, Lénine ; démons déchus : Trotski ; héros : le Che, etc…), ses explications du monde (la lutte des classes idéalisée sur le modèle de la lutte cosmologique), et surtout son mythe eschatologique comme horizon tant indépassable (fin de l’histoire, société sans classe) qu’inéluctable (chute du capitalisme à venir, positivisme technique) : dont la venue toujours repoussée donna lieu à de fabuleux cas d’école marxistes culturels.

Comme je vous explique le marxisme culturel par l’exemple et donc que je vous « cause » de la liaison entre le terrorisme marxiste (j’allais dire traditionnel) et le terrorisme musulman, il m’a fallu faire un choix. Au début j’avais voulu prendre pour exemple le négationniste marxiste antisémite Garaudy un militant et un des philosophes officiels du Parti Communiste Français « modérément » converti à l’Islam Voir ici : Roger Garaudy, mais si Garaudy se converti en 1982 à l'islam pour des raisons d’instrumentalisation (Déjà) de l’Islam en déclarant notamment : « j'ai atterri dans l'islam sans me défaire de mes croyances personnelles ni de mes convictions intellectuelles », il ne représente pas assez la liaison entre terreur rouge criminelle et terreur musulmane Islamiste. Le cheikh salafiste saoudien Ibn Baz qui l'avait nommé membre du Conseil supérieur international des mosquées ne si était pas trompé en déclarant que le « philosophe » marxiste culturel français était un « hypocrite » et un « impie originel ». Il y a donc certains arabes avec un cerveau.

C’est donc une figure emblématique du terrorisme marxiste culturel contemporain avant celle d'0ussama ben Laden qui expliquera le passage d’un terrorisme marxiste à un terrorisme islamique. Cette figure est celle de « Carlos », de son vrai nom Ilich Ramírez Sánchez. En prison en France depuis 1994.

Connu aussi sous le joli nom de «Chacal», il est  le fils d'un riche avocat communiste vénézuélien José Altagracia Ramírez-Navas et d'Elba Maria Sánchez, Ilich étant le patronyme de Lénine le grand criminel contre l’humanité lors que son frère benjamin se prénomme Vladimir Ramirez et son frère cadet Lénine.

Lobotomisé très jeune par ses parents et converti aux thèses communistes marxistes culturelles nauséabondes du groupe de Francfort, il rejoint le mouvement des jeunes du parti communiste en 1959. Après avoir assisté à la troisième « Tricontinental Conference »  ici en janvier 1966 avec son père, il passe l'été à Cuba dans une école de la guérilla cubaine, dirigée par la Dirección de Inteligencia, à Matanzas près de La Havane. Cette même année, ses parents divorcent. 

En 1968, il optera grâce à une « bourse » obtenue par le Parti communiste du Venezuela, pour l'université Patrice Lumumba à Moscou, (Université russe de l'Amitié des Peuples) un établissement destiné à former les « élites » et autres agents terroristes ou de propagande marxistes. Il y parfait son entraînement à la terreur, mais se fait expulser de celle-ci en 1970 à cause de son goût immodéré pour l'alcool et les femmes.
Il se rend ensuite à un camp d'entraînement de guérilla exploité par le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) un mouvement marxiste arabe qui trouve son origine dans une idéologie Nationale Socialiste et séculière (ici) à Amman, capitale de la Jordanie. Il quitte finalement la Jordanie pour suivre des cours à la Polytechnic of Central London tout en continuant de « travailler » pour le mouvement marxiste terroriste arabe FPLP qu’il avait été chargé d’infiltrer sous les ordres du KGB. Le Fatah (Groupe dirigeant palestinien l’était déjà et tous ses « cadres » formés à Moscou.)
En 1973, il prend les commandes du Front populaire de libération de la Palestine - Opérations externes (FPLP-OE) Ici Wadie Haddad dont il était sympathisant, et prend alors le surnom de Carlos.
Le 30 décembre 1973 à Londres, Carlos tente d'assassiner Joseph Sief un homme d'affaires juif. Le mois suivant, aussi à Londres il est responsable d'un attentat à la bombe contre la Hapoalim Bank.
Suite à ces événements, il se réfugie évidemment en France ou il est accueilli par les membres français des opérations spéciales du PCF qui lui trouve des « planques ». En 1974, il revendique une série d’attentats à Paris : explosions à la voiture piégée devant les locaux parisiens de L'Aurore, de Minute et de L'Arche. Le 15 septembre, un attentat à la grenade contre le Drugstore Saint-Germain, revendiqué par Carlos, fera deux morts et trente-quatre blessés. La direction de la surveillance du territoire (DST) est sur la piste du terroriste communiste.

Le 13 janvier 1975, il tente une attaque au lance-roquettes depuis la terrasse de l'aéroport d'Orly sur un avion de la compagnie El Al, la compagnie nationale israélienne de transport aérien. Les terrasses de l'aéroport sont fermées par arrêté ministériel quelques jours plus tard. Le 19 janvier 1975, sous la présidence de Giscard d’Estaing, Jaques Chirac étant premier ministre et le ministre de l’Intérieur  Michel Poniatowski, le marxiste culturel Carlos revient avec deux autres terroristes. Ils attaquent l'aéroport et prennent deux personnes en otage. Ils demandent et obtiennent un avion pour partir à Bagdad. Cette attaque a fait 21 blessés.

Le 27 juin 1975, il abat Raymond Dous et Jean Donatini, deux inspecteurs de la DST, et Michel Moukharbal, au 9 de la rue Toullier à Paris. Un troisième policier, Jean Herranz, commissaire de la DST, est grièvement blessé.

Le 21 décembre 1975, il organise et dirige la séquestration de 11 ministres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) à Vienne, lors d'une rencontre des dirigeants au siège de l'organisation.
L'opération est menée par un groupe de six terroristes dirigé par Carlos, prenant soixante-six otages. Les terroristes arabes, accompagnés de quarante-deux otages, se voient octroyer un avion de ligne DC-9 et partent en direction d'Alger. Neville Atkinson, ancien pilote de la Royal Navy et pilote personnel de Mouammar Kadhafi au moment des faits, est alors chargé de transporter une partie des terroristes à Alger où ils débarquent et où trente otages sont libérés. L'avion part ensuite en direction de Tripoli, débarquant d'autres otages, puis retourne à Alger où le reste des otages est libéré et où les terroristes marxistes arabes obtiennent l'asile.

Carlos quitte rapidement l'Algérie pour la Libye, puis pour le Yémen du Sud, à Aden, où il a à répondre de ses actions lors d'une entrevue avec les dirigeants du FPLP (Wadie Haddad vit alors dans le quartier de Khormaksar et l'hôtel Rock dans le quartier Tawahi près du « steamer point » est un lieu de transit pour certains militants communistes, notamment de la RAF, les terroristes rouges allemands).
Carlos est écarté de la section des opérations extérieures; Wadie Haddad, le fondateur du très marxiste FPLP-OE, l'accuse d'avoir refusé d'exécuter deux otages et d'avoir pris l'argent de la rançon lors de la prise d'otage de l'OPEP.

Recherché par toutes les polices occidentales, il s'installe à Beyrouth lieu ou nombre de marxistes résident encore actuellement en instrumentalisant le terrorisme arabe marxiste et aujourd’hui surtout musulman. Il quittera le Liban en 1982, à la suite de la défaite des arabes Palestiniens marxistes. Il restera discret jusqu'à l’arrivée d’une lettre à l’ambassade de France de La Haye, le 26 février 1982. Authentifiée par deux empreintes digitales de son pouce, cette lettre exige la libération de son bras droit Bruno Breguet et de sa compagne Magdalena Kopp, arrêtés dix jours auparavant à Paris avec plusieurs kilos d’explosifs, prêts pour un attentat à la voiture piégée devant l'ambassade d'un émirat arabe que Carlos voulait faire chanter.
Par la suite, une série d'attentats à la bombe destinés à obtenir leur libération va toucher la France : dans le train Capitole Paris-Toulouse le 29 mars 1982 (5 morts, 77 blessés), une voiture piégée devant le siège du journal Al-Watan al-Arabi le 22 avril 1982 rue Marbeuf à Paris (un mort, 63 blessés), dans le TGV près de Tain-l'hermitage et à la gare Saint-Charles de Marseille le 31 décembre 1983 (5 morts et 50 blessés).

Aline Parmentier? Communiste antisémite !

Profitons de cet article pour rappeler que le PCF est profondément antisémite.
Fin 2013 la  camarade» Aline Marie Yvonne Parmentier, tête de liste du Front de Gauche, secrétaire départementale section Alsace et membre du comité central du Parti Communiste Français (Politburo) et activiste du « collectif » Boycott68 se revendiquant de l’idéologie marxiste aux cent cinquante millions de victimes innocentes, a été condamnée le 8 Janvier 2013 par la cour d’Appel de Colmar avec une dizaine d’autres braves gens complices de madame Parmentier « militants » marxistes culturels propagateurs de la haine raciste antisémite organisateurs de la campagne antisémite BDS  à l’origine de la recrudescence de l’antisémitisme en France : Jean Michel Baldassi, Maxime Roll, Christiane Topouzian épouse Mure, Henri Eichholzer, Mohammad Akbar, Farida Trichine, Jacques Ballouey, Leïla ou Laïla Assakali, Assakali Yahia, Habiba El Jarroudi épouse Assakali, Assya Ben Lakbir, pour avoir provoqué à la discrimination à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion…

Le cas de monsieur ou devrais-je dire du « camarade » Henri ou Henry Eichholzer un « Mulhousien » récidiviste de la haine raciste condamné fin 2013 pour incitation à la haine raciale antisémite, né en 1957, professeur d’histoire à la retraite, membre de l’AFPS 68 (Une organisation communiste antisémite et pro Hamas bras armé du PCF) défendu par toute la gauche Française et notamment la FSU (Voir ici: Copie du courriel à l’attention de monsieur Jean Marie Koelblen secrétaire de la  Fédération Syndicale Unitaire du Haut Rhin, adjoint école maternelle) l’AFPS, le MRAP, le Front de Gauche, le NPA, EELV etc. etc. sont emblématiques de cette idéologie marxiste culturelle criminelle et antisémite qui sévit dans notre pays depuis des années et qui méritent une petite parenthèse explicative. A 27 ans Henri ou Henry Eichholzer avait déjà des «idées» particulièrement nauséabondes, puisqu’il avait été condamné à 4 ans de prison par un tribunal de district de Tel-Aviv le 14 Mars 1984 pour avoir collaboré avec le FPLP organisation  placée sur la liste officielle des organisations terroristes du Canada, des États-Unis d'Amérique et de l'Union européenne, organisation marxiste partie de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) les preuves de ses liens avec l’organisation de criminels communistes antisémites de l’OLP avaient été trouvées par les forces israéliennes à Beyrouth. (Avait-il en 1984 rencontré à Beyrouth le « camarade » Carlos ?). Cette condamnation ne l’empêchera pas de faire carrière dans l’éducation nationale où il inculquera à nos chères petites têtes blondes noires ses idées marxistes culturelles nauséabondes qui aboutiront aux malheureux attentats islamistes qui défigurent la France !
Le professeur d’histoire à la retraite et condamné pour incitation à la haine raciale antisémite, Henri Eichholtzer n’en est pas à son coup d’essais, en effet il avait notamment été chargé en 1978 de prendre des photos des 36 étages de la Shalom Tower, plus haut bâtiment de Tel Aviv, et de les transmettre aux terroristes antisémites du FPLP qui projetaient un attentat. Il a affirmé qu'il ne reconnaissait pas que les photographies aient été conçues comme un guide pour les terroristes qui prévoyaient de poser des bombes dans le bâtiment qui abrite les bureaux du gouvernement, des entreprises et un grand magasin. 

Le camarade Eichholtzer avait été arrêté en Août 1983 lors d'une visite en Israël. Ses liens avec les communistes du FPLP avaient été confirmés par des documents trouvés à Beyrouth. Il avait été discrètement gracié par Shimon Pères à la demande de François Mitterrand sous la pression des ministres communistes de l’époque. (Source The Jewish Florida du 30 Mars 1984).

Peu après, le Chacal sera signalé au Yémen du Sud (ou il se convertira à l’Islam en 1976 dans le but d’instrumentaliser des musulmans au profit de la révolution marxiste) et en Libye. Carlos retrouve Magdalena Kopp en 1985 à Damas, en Syrie. Avec leur fille Evita, le couple coule une semi retraite dans un quartier résidentiel de la capitale syrienne. Mais il se révèle un hôte dérangeant pour le régime syrien qui tente de retrouver une place dans le concert des nations. En 1991, il est lâché par ses protecteurs et trouve refuge au Soudan. Dans ses activités dans les services secrets soudanais, il était connu sous le nom islamique de « Cheikh Hissene ».

Le 14 août 1994 à Khartoum, la Direction de la Surveillance du Territoire, dirigée alors par le préfet Philippe Parant, parvient à le faire enlever sur ordre de Charles Pasqua alors ministre de l'Intérieur, sans mandat d'extradition et avec le soutien du gouvernement soudanais, puis à le ramener vers la France, où il est incarcéré à la prison de la Santé le 15 août 1994. Sa capture a eu lieu pendant qu'il était endormi pour une chirurgie plastique qui visait à cacher son identité. Le président de la République du Venezuela le marxiste antisémite Hugo Chávez considèrera, en 2009, qu'il s'agissait d'un kidnapping.

Il a rencontré souvent pour y prendre ses ordres l’avocat marxiste Jacques Vergès à plus de vingt reprises, à Damas. L’instruction de son affaire est assurée par le juge Jean-Louis Bruguière. Sa défense est préparée par ses avocats Jacques Vergès et son « assistante » Isabelle Coutant-Peyre qui deviendra son épouse selon la « loi » musulmane et qui a depuis pris la défense de Zacarias Moussaoui, le bon musulman Français de papier qui prenait des cours de pilotage aux États-Unis avant le 11 septembre, mais sans s’intéresser au décollage ni à l’atterrissage. Elle a aussi participé à la défense d’autres personnages controversés comme le négationniste antisémite ex communiste devenu musulman Roger Garaudy, le

nègre musulman antisémite Youssouf Fofana (le chef du Gang des Barbares) et Kemi Seba autre nègre et fondateur de la tribu Ka, ce qui représente quand même une sacrée brochette d’enflures antisémites.

Son procès débute le 12 décembre 1997 et se termine le 24 décembre 1997. Il comparaît pour une seule affaire, le triple assassinat remontant au 27 juin 1975, les autres étant encore à l’instruction à ce moment-là. Il est reconnu coupable, condamné par la justice française à la réclusion criminelle à perpétuité.

Ce procès de 1997 pour des faits survenus en juin 1975 : des policiers français tombés dans un piège rue Toullier, à Paris. Sa femme son avocate, dite la Chacalounette parle de «piège» parce selon elle un ancien agent du Mossad, Victor Ostrovsky, a écrit un ouvrage dans lequel il a raconté que : « cette histoire était un montage du Mossad pour créer un incident entre le gouvernement français, qui était pro palestinien à l’époque, et la résistance palestinienne... Il y aurait eu un accord verbal qui permettait à la résistance palestinienne de transiter par la France, voire d’y faire transiter des moyens de défense… Oui, des armes pour le dire clairement, du moment que le territoire français restait intouchable. Ça déplaisait évidemment aux Israéliens qui ont monté cette provocation, et ça n’a pas raté. À l’époque, c’était Poniatowski le ministre de l’Intérieur, et il y a eu un changement d’atti­tude à l’égard des Palestiniens. On sait que par la suite, avec Mitterrand, des choix très clairs ont été faits en faveur des intérêts sionistes. Les Palestiniens n’avaient en fait pas encore commis d’attentat en France, ils avaient déjà la vie difficile, et on leur a rendu la vie plus difficile encore». Madame Chacal oublie (Volontairement ?)

Le 5 septembre 1973 : prise d'otages à l'ambassade d'Arabie saoudite par un commando palestinien.

Le 15 septembre 1974 : attentat à la grenade au drugstore Saint Germain des Prés à Paris, revendiqué par Carlos (2 morts, 34 blessés).

Le 13 janvier 1975 : attaque à la roquette d'un commando palestinien antisémite mené par Carlos contre El Al à l'aéroport d'Orly (3 blessés).

Le 19 janvier 1975 : attaque d'un commando palestinien à l'aéroport d'Orly contre un avion israélien (20 blessés).

En 2009 le terroriste islamo marxiste, le bon musulman Carlos depuis sa prison apportera son soutien à la liste antisioniste antisémite conduite par le noir Dieudonné M’Bala M’bala voir ici.

Dans son livre écrit en prison, Carlos ne regrette rien. Idéologiquement, il dit avoir évolué, mais sans renier son passé comme Garaudy: il semble plutôt avoir intégré par des apports variés si ce n’est avariés. Il se réclame aujourd'hui à la fois des enseignements « de la raison et de la foi »: « l'islam et le marxisme-léninisme sont les deux écoles dans lesquelles j'ai puisé le meilleur de mes analyses » (p. 199).

A vrai dire, les idées marxistes culturelles de la plus belle eau qu'il exprime paraissent assez éloignées, tant dans leur forme que dans le fond, des orientations marxistes fondamentalistes qui animaient nombre de groupes militants et terroristes de l'époque à laquelle il s'est lancé lui-même dans l'action criminelle il est vrai que ses objectifs étaient différends.

Sa conversion à l'islam, en 1976, aurait à ses dires été d'abord une simple démarche « de solidarité » à l'égard de ceux avec lesquels il combattait et pouvait à tout moment trouver la mort, une conversion de fraternité d'armes faite « un peu à la légère » (p. 24), reconnaît-il, mais il explique comment elle se serait transformée par la suite en adhésion plus réfléchie, ce qui lui fait placer maintenant ses espoirs dans un « l'Islam révolutionnaire », qu’il a puissamment contribué à faire émerger, pour pourrir la société occidentale suivant en cela les directives du KGB communiste. Mais s'il éprouve aujourd'hui sentant la mort de plus en plus proche la conviction de la nécessité de la « foi en une vérité transcendante » pour l'aboutissement des combats à mener (p. 13), il ne se voit pas vraiment comme un soldat de l'islam: « la dimension mystique nécessaire me fait défaut » (p. 24). De plus malgré le vibrant éloge du « magnifique combat » de « Cheikh Oussama » (ben Laden), Carlos dit relever d'un autre modèle révolutionnaire ( Le modèle marxiste culturel de l’école de Francfort véhiculé notamment par Oppenheimer, Adorno et Marcuse depuis leur fuite d’Allemagne en 1939 aux Etats-Unis et passées au Venezuela). Et « Cheikh Oussama » ne donnerait vraisemblablement guère suite aux suggestions de Carlos de développer des relations stratégiques non seulement entre les différentes composantes jihadistes, mais aussi avec "des organisations non religieuses, peut-être, mais en tout cas anti-impérialistes..." (p. 100) Pour Carlos, prenant au pied de la lettre les directives marxistes culturelles le terrorisme est simplement un « outil politique » pour gagner la bataille de l'information (p. 153), c'est une « propagande armée » (p. 155). Il décrit le terrorisme comme une « bombe mentale » qui doit toucher les esprits et les imaginations, d'où le choix de « symboles forts » (p. 169). CQFD

Un nouveau procès s'ouvre le 7 novembre 2011 pour 4 attentats terroristes commis par un MUSULMAN ! entre 1982 et 1983, (29 mars 1982 : attentat à la bombe visant le train Paris-Toulouse, près de Limoges, revendiqué par Carlos (5 morts, 77 blessés). 22 avril 1982 : une voiture piégée explose devant le siège du magazine Al Watan Al Arabi rue Marbeuf à Paris faisant un mort et 63 blessés (attentat revendiqué par Carlos).31 décembre 1983 : deux attentats attribués à Carlos perpétrés à la gare Saint-Charles de Marseille et dans le TGV Marseille Paris font 4 morts et 45 blessés) pour lesquels il réfute toute implication. Il est condamné le 15 décembre 2011 à une nouvelle peine de perpétuité assortie d'une période de sûreté de 18 ans.
Le terrorisme musulman et islamo marxiste ne date donc pas d’hier ni même d’avant-hier dans des locaux visant des journalistes les musulmans et autres islamos marxistes frappent depuis déjà plus de 30 ans !

Le 15 novembre 2013, rappelez vous un homme fait irruption au siège de BFM TV et menace le rédacteur en chef. Trois jours plus tard, un assistant photographe est grièvement blessé dans les locaux de Libération. L'attaque est suivie de coups de feu devant la Société Générale à La Défense et de la brève prise d'otage d'un automobiliste. Les traces ADN retrouvées sur plusieurs scènes de crime, qui permettent aux enquêteurs de conforter la thèse d'un auteur unique pour ces attaques, confondent Adelhakim Dekhar, déjà condamné en 1998 dans l'affaire Rey-Maupin. Voir ici les "révélations" de Michel Labet de Bornay à l'époque.

Le texte de revendication globale écrit par Dekhar à «l’automne 2013, en plein territoire ennemi» vaut son pesant de cacahouètes. C’est une attaque assez sympa et réaliste : «Infâmes "journaputes" qui croyez transmettre la vérité au public alors que vous êtes payés pour nous faire avaler le mensonge à la petite cuillère, d’outre-tombe, je vous encule par l’entremise de mes coreligionnaires.» (Coreligionnaires ? bien sur Adelhakim n’est pas un protestant Suédois, mais un bon musulman d’origine Algérienne lobotomisé par des gauchistes ! Voir ici)

Dans les années 90 les éléments du SCALP Paris (La Section Carrément Anti-Le Pen appelée aussi No Pasaran, réseau fasciste rouge marxiste culturel de lobotomisés d’extrême gauche, apparu en 1984 à Toulouse est issue de la mouvance terroriste et criminelle marxiste autonome) qui animaient en parallèle la revue REFLEX Cliquez ici. Et ICI. (Pour la plupart d'anciens étudiants tous marxistes culturels lobotomisés qui s'étaient connus à la faculté de Nanterre) donnaient vie au SCALP, en utilisant le sigle et son aura pour essayer d'attirer des « jeunes » intéressés. Les membres du Scalp Reflex sont vivement engagés contre le « sionisme », en prenant position pour la campagne antisémite BDS et le boycott de l'État d'Israël recrutant notamment de nombreux « jeunes » des banlieues racailles au QI de mouches à merde ou musulmans illettrés comme leur prophète. Ces antisémites gauchistes dit aussi antifa combattent les positions d'organisations juives telles que le CRIF, le service de protection de la communauté juive (SPCJ) ou encore la Ligue de défense juive qui sont désignées dans leurs blogs sous les vocables de « fascistes sionistes » ( ?).

C’est ainsi qu’en mai 1994, Audry Maupin, étudiant en « philosophie » à Nanterre membre du SCALP, recrute le « jeune» Abdelhakim Dekhar, surnommé Toumi. Quelques mois plus tard, Toumi / Dekhar propose à Maupin d'attaquer la préfourrière de Pantin (Seine-Saint-Denis) afin de voler les armes qui s'y trouvent dans l'optique de dévaliser plus tard des banques. C’est ce qu’ils nommaient la réappropriation pour désigner une modalité de « lutte » d'action directe l’organisation marxiste qui se traduisait par la reprise par les salariés eux-mêmes des biens qu'ils avaient eux-mêmes produits, en l’occurrence l’argent des banques (et dont ils s'estiment, les petits connards gauchos lobotomisés dans ce cas les détenteurs légitimes).

C’est ainsi que débuta l’affaire Rey-Maupin une sale affaire comme celle des terroristes d’extrême gauche des brigades rouges ou de l’affaire des assassins communistes Battisti Voir ici: Cesare Battisti, Petrella Voir ICI: Marina Petrella. Ou Action directe.

Bien, résumons nous ; Dans les années 1980 les attentats typiquement marxistes semblent s’arrêter pour faire la place à des attentats que nous pourrons dire Islamos marxistes puis progressivement au fur et à mesure de l’avancement des thèses pestilentielles antisémites et marxistes culturelles développées par l’ensemble de la gauche Française (si ce n’est une partie de la Droite UMP) et enseignées dans les « écoles » de la « raie » publique en toute impunité, relayées par les médias deviendra un terrorisme presque exclusivement musulman on constate par exemple que si tous les musulmans ne sont pas terroristes, aujourd’hui tous les terroristes sont musulmans. CQFD !

Michel Alain Labet de Bornay

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