Le mouvement de la paix.
Histoire et mode d'emploi du Marxisme Culturel: « Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. » Willi Münzenberg
A la chute du communisme d’URSS en 1990, le mouvement de la paix, privé de l’argent de Moscou décline très fortement jusqu'au niveau zéro. Jugez donc que par année fiscale, environ 3 millions de dollars US étaient transférés à la demande du Politburo du Parti communiste de l'Union soviétique de la Gosbank (banque d'État soviétique) au PCF et à ses satellites de la nébuleuse de la haine rouge.
Il est pourtant encore très actif dans le mouvement altermondialiste ( C'est-à-dire marxiste culturel) et les partenariats internationaux, il soutient en France « Mayors for Peace » (Maires pour la Paix est une organisation internationale des villes dédiées à la promotion de la paix qui a été créé en 1982 à l'initiative du alors maire de Hiroshima Takeshi Araki) et une bande d’idiots utiles,( Ici) le PNND « Parlementaires pour la non-prolifération et le désarmement nucléaire » Voir ici.
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Nonobstant, un néo mouvement de la Paix marxiste culturel pur jus, voit le jour en Septembre 2006 ici le siège est 139 boulevard Victor Hugo, 93400 Saint-Ouen (Ancienne commune emblématique de la Ceinture Rouge qui désignait les nombreuses municipalités communistes de la petite couronne. Saint-Ouen est avec Bobigny ou Le Blanc-Mesnil l'un des bastions emblématiques du communisme en Seine-Saint-Denis est tombé en 2008 au profit d’une fausse « droite » UMPS. Le taux de criminalité de la circonscription de police de Saint-Ouen est de 153,39 actes pour 1000 habitants (crimes et délits, chiffres 2005) ce qui en fait le plus élevé de la Seine-Saint-Denis, très largement supérieur aux moyennes nationale (83 pour 1000) et départementale (96 pour 1000).) Il s’agissait de « ratisser large » pour obtenir de nouveaux « moyens » c'est-à-dire de l’argent sous forme de subventions publiques (L’argent de vos impôts) pour la propagande communiste, à la suite de la perte de certains des bastions emblématiques du communisme en 2008 dont Saint Ouen comme on vient de le voir, une nébuleuse marxiste culturelle est rapidement créée en urgence pour continuer à toucher de grasses subventions publiques pour alimenter les mouvements de la haine raciste albophobe et antisémite sous forme ce « comités » locaux ! Voir ici dont on peut douter de la légalité de certains.
Amis ou sympathisants des idées de « gauche » idées de la haine raciste antisémite apprenez Ici en trois étapes à devenir une bande d’idiots utiles au marxisme culturel de façon à récolter des fonds et des subventions publiques pour ruiner la France.
Les marxistes staliniens se sentirent obligés de se recycler, la bête puante communiste ne voulait pas mourir.
Nous venons de voir dans la partie 1 que Willi était convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée.
Nombre d’analystes politiques, journalistes et autres intellocrates ( Notamment aux état unis sur Wikipédia qui ne voudraient voir le marxisme culturel qu’il considéreraient comme un terme « péjoratif » essentiellement résumé aux idées issues de l’école de Francfort exprimées par de nombreux intellectuels d’origine juive ce qui permet d’avancer insidieusement que dénoncer le marxisme culturel serait antisémite, mais chacun sait que Wiki est fortement contaminé ( Involontairement ?) par l’idéologie maxcul ; y préférer Cliquer ici pour Liberpédia), ces analyses ne donnent pas bien sur les origines du marxisme culturel dés 1920 origines dues à Lénine lui-même et aux idées de Münzenberg le militant communiste allemand, cadre de l'Internationale communiste qui avait vu l’échec de la « révolution » allemande ; ces analyses proposent pour origine celle des « intellectuels » marxistes internationaux qui fondèrent en 1923, l’École de Francfort afin d’étudier les causes de ces échecs. Elle rassemblait des pseudos socio-philosophes autoproclamés universitaires tels que Horkheimer, Wiesengrund, Adorno, Marcuse, Benjamin Fromm, Pollock, Neumann, Wiggersrhaus, suivis par Haberm, Lukacs… assistés par le fameux Sigmund Freud (*)
Constat: Les Peuples rejetaient le marxisme.
Question: Y aurait-il une erreur dans la doctrine?
Réponse : Impossible. L’erreur est dans l’immaturité des peuples.
Conclusion: il faut changer les peuples avant de prendre le pouvoir.
Herbert Marcuse dont les théories sont inspirées de Marx et de Freud écrit : « C’est le peuple qui n'a pas rempli le rôle que lui avait réservé la théorie révolutionnaire » … « mis devant la possibilité de la révolution, le peuple aura préféré s'en détourner en adhérant profondément aux institutions définissant la civilisation occidentale. » « Qu'une conscience non révolutionnaire - ou plutôt antirévolutionnaire - prévaut dans la majorité de la classe ouvrière, cela saute aux yeux. » Et il continue: « Il faut préférer la dictature des intellectuels au pouvoir d'un peuple encore imparfait. […] Il est nécessaire, pour une société civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées. »
Rappelez vous le mode d'emploi du Marxisme Culturel: « Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. »
Dés 1936 du 3 au 6 septembre, un « Rassemblement Universel pour la Paix » le RUP, une organisation politique internationale est créée lors du Congrès universel pour la paix réunissant 5 000 participants au stade du Heysel à Bruxelles. Grâce aux adhésions collectives de mouvement politiques très divers (des conservateurs britanniques aux communistes Français et étrangers) il peut revendiquer dès 1936 des centaines de millions d'adhérents dans le monde, mais il subit un très fort déclin en 1939 et 1940 avec le départ des communistes majoritaires puisque le RUP avait dénoncé le pacte Hitler Staline ou pacte germano-soviétique. Sa création était un projet porté en 1935 et au début de 1936 par plusieurs personnalités en vue telles que le ministre français et agent de Moscou Pierre Cot (4) (Comme le ministre de la Défense de François Mitterrand Charles Hernu avait été, dans les années 50 et 60, un agent du KGB), Louis Launay pacifiste franc maçon ex vénérable de l’Ordre Maçonnique du Grand Orient de France ( Dont le rôle serait à préciser dans un ouvrage ultérieur) ou le conservateur britannique Robert Cecil vicomte de Chelwood futur Prix Nobel de la Paix un des premiers « idiots utiles ».
Voir ICI la création du RUP, une création exclusive de l’URSS et du créateur du marxisme culturel Willi Münzenberg.
Le camarade Louis Udeanu dit Dolivet,l’ «ami» de Pierre Cot et son officier traitant aux multiples « alias » comme Legrand, Brecher, Bovet, un marxiste d'origine roumaine, activiste du Komintern jouera également un rôle fondamental quoique non officiel dans la création du RUP.
C’est en août 1948 après la guerre que l’idée de « mouvement de la paix » voyait le jour à l’initiative exclusive du Kominform Voir ici. (contraction, en russe, de « Bureau d'information des partis communistes et ouvriers », organisation centralisée du mouvement communiste international dans la période de 1947 à 1956 successeur du Komintern dont le but était de contrôler étroitement l'évolution idéologique et politique des États ou des partis communistes participants, notamment du PCF. Il n'avait en fait d'autre réalité que l'exécution des volontés de Staline), est formée peu après la Seconde Guerre mondiale une espèce de « ligue internationale » qui convoque en Pologne occupée par les communistes soviétiques criminels contre l’humanité un « Congrès mondial des partisans de la paix » qui aura lieu à Paris du 20 au 23 avril 1949. Y est créé un Bureau international de liaison des intellectuels, le secrétaire stalinien de ce « bureau » est Louis Aragon, (c’est lui qui fera le panégyrique du grand criminel contre l’humanité Staline en écrivant : « Merci à Staline pour ces hommes qui se sont forgés à son exemple, selon sa pensée, la théorie et la pratique stalinienne ! Merci à Staline qui a rendu possible la formation de ces hommes, garants de l'indépendance française, de la volonté de paix de notre peuple) création de ce « bureau » avec la Fédération démocratique ( ?) internationale des femmes (Satellite du stalinisme qui en 1951 se verra interdite de secrétariat à Paris et siégera « démocratiquement » à Berlin Est bien connu pour sa légendaire démocratie), dont la présidente Eugénie Cotton une idiote utile typique qui recevra en 1950 le prix Staline pour la paix.( Pour ceux qui ne le savent pas encore Staline, un antisémite Voir ici., a été un des plus grands criminel contre l’humanité du XXème siècle on lui doit l’Holodomor au 9 Millions de morts Voir ici.) De nos jours ce Mouvement de la paix reste un mouvement violent et antisémite marxiste stalinien n’ayant jamais fait son mea culpa, ni renié ses origines.A propos de mea culpa ;
Lire ici. Extrait: "Il me manque encore quelques haines. Je suis certain qu'elles existent. " Ce qui séduit dans le Communisme, l'immense avantage à vrai dire, c'est qu'il va nous démasquer l'Homme, enfin ! Le débarrasser des " excuses ".Voici des siècles qu'il nous berne, lui, ses instincs, ses souffrances, ses mirifiques intentions... Qu'il nous rend rêveur à plaisir... Impossible de savoir, ce cave, à quel point il peut nous mentir... C'est le grand mystère. Il reste toujours bien en quart, soigneusement planqué derrière son grand alibi. " L'Exploitation par le plus fort. " C'est irréfutable comme condé...Martyr de l'abhorré système ! C'est un Jésus véritable !..." Je suis ! comme tu es ! il est ! nous sommes exploités ! Ça va finir l'imposture ! En l'air l'abomination !"
Le gouvernement français ayant refusé pour des raisons évidentes de sécurité nationale un certain nombre de visas, un autre congrès se déroulait simultanément à Prague derrière le sinistre rideau de fer (1) et Voir ici.
Ce n’est qu’en 1951 avec le titre ronflant et trompeur qu’est créé le « conseil national français du Mouvement de la paix », appelé communément « Mouvement de la paix » avec pour responsable un membre du comité central du PCF Raymond Guyot Ici, utilisant parfois le pseudonyme du créateur de l’armée rouge Trotski (Sans rire).
Situé au 35 Rue de Clichy Paris 9ème le « mouvement de la paix » possédait le compte N° 06169_8 à la Banque Commerciale pour l'Europe du Nord – Eurobanque ou encore BCEN-Eurobank, la banque soviétique en France confirmant encore une fois son allégeance au Stalinisme et au marxisme.
Yves Farge, communiste dans les années 20, « converti » sur ordres de Moscou à la SFIO pour l’infiltrer en est le président jusqu'à sa mort en 1953. Agent communiste formé à Moscou à l’école du Parti, membre clandestin du NKVD soviétique, Farge est nommé commissaire de la république à Lyon comme son collègue et camarade Raymond Aubrac l’avait été à Marseille (Voir ici Raymond Aubrac était un agent communiste et aussi un membre du fameux mouvement de « Paix ») et c’est ainsi qu’il procurera des faux papiers au géographe et communiste hongrois Sándor Radó et sa femme allemande Lena (2) deux agents du NKVD du fameux orchestre rouge pour pénétrer de la Suisse sur le territoire Français et rallier via Paris l’URSS ( Il semble qu'en 44 les autorités helvétiques aient cédé aux menaces et pressions du IIIe Reich et interrompu les activités du réseau d’espionnage Rado: le service de contre-espionnage allemand, même s'il ne pouvait pas le déchiffrer, avait dû faire la relation entre l'importance du trafic TSF Genève Moscou et les contre-mesures que l'Armée Rouge opposait presque systématiquement depuis un an aux attaques de la Wehrmacht).
Le camarade et traitre rouge Farge avait sur ordre du PCF et conjointement de Moscou créé en mars- avril 1948 les « combattants de la liberté » concomitamment au « Coup de Prague » nom donné à la prise de contrôle de la Tchécoslovaquie en février 1948 par le Parti communiste tchécoslovaque, avec le soutien de l'Union soviétique, aboutissant au remplacement de la « troisième République tchécoslovaque » par un insupportable régime marxiste sanguinaire et totalitaire. Combattants de la « liberté » qui deviendront en Janvier 1949 « Combattants de la liberté et de la paix » rebaptisés en Janvier 1951 les « combattants de la paix et de la liberté » pour finir en mars de la même année par le « Mouvement de la paix ».Yves Farge recevra le sinistre Prix Staline de la « Paix » le 25 mars 1953, à Moscou.
Comme chacun sait Staline, le grand « humanisme » et autre grand criminel contre l’humanité dit le Petit père des peuples ou « Saint » Joseph était connu pour son immodéré « pacifisme » et son fameux et inébranlable« progressisme » au 9 millions de morts de l’Holodomor (Sans compter les 2 à 3 millions de « dissidents » humainement massacrés). Avec l’interdiction de l'avortement, les purges antisémites et la répression de l'homosexualité, le vrai visage du communisme, raciste antisémite et homophobe, la « Grande Terreur, la peste rouge » apparaît au grand jour. Bien sur, comme avec le PCF, le Front de « gauche », Europe Écologie les Verts ou le NPA (Nouveau Parti Antisémite), le MRAP ou le mouvement de la paix, tous néos marxistes,( = Marxistes culturels!) le secret et la propagande systématiquement entretenus autour de ces actes font du travestissement de la réalité et de la réécriture du passé une caractéristique permanente de ses « mouvements » dans la droite ligne du Stalinisme « humaniste » le plus abominable. Staline a voulu éliminer radicalement tous les éléments socialement suspects (Comme le MRAP marxiste culturel qui menace constamment de « mettre hors d’état de « nuire » » les sites et personnes animateurs de blogs qui dénoncent sa violence albophobe et antisémite et son stalinisme sous jacent. On voit bien là, les regrets de la « liberté » marxiste qui vous valait 20 ans de goulag ou une balle dans la nuque) et tous les mécontents suscités par sa politique marxiste. Dés juillet 1936 Staline entend éliminer tout ce qui pourrait constituer une fantasmée « cinquième colonne » de l'ennemi (Tout ce qui n’est pas communiste) sois disant en cas d'invasion de l’URSS. Une série d'opérations secrètes et d’assassinats frappe par centaines de milliers de petits paysans, la « liquidation des koulaks en tant que classe »,avec les dékoulakisés appauvris par la collectivisation, les ex aristocrates, les milliers de vagabonds et marginaux engendrés par le collectivisme, les anciens membres des classes « dirigeantes » et leurs enfants, tous les individus entretenant ou ayant entretenu des relations avec l'étranger (corps diplomatique, anciens combattants d'Espagne, agents du Komintern, jusqu'aux espérantistes, aux philatélistes ( Ce qui explique le sous titre de mon blog :Ici) et aux astronomes.( Le décret 0054 du NKVD soviétique du 28 novembre 1940, publié en pleine période du grand amour entre les communistes et les nazis, précisait : « Doivent exclus de la société socialiste…les membres de partis politiques, les personnes qui ont été exclues du parti communiste, les réfugiés, les étrangers, les personnes qui ont voyagé à l’étranger, les personnes qui font de l’espéranto ( ?), les philatélistes ( ??), le personnel de la Croix Rouge, les personnes qui mènent une activité paroissiale, les membres du clergé, les membres actifs des communautés religieuses, les aristocrates, les propriétaires terriens, les commerçants aisés, les banquiers, les industriels, les restaurateurs et les hôteliers… ». La politique de répressions massives est graduellement étendue à la totalité du corps social. Minorités nationales, cadres du parti ou simples particuliers étaient tous potentiellement exposés, chaque citoyen pouvant brusquement se retrouver rangé au rang des prétendus « ennemis du peuple » (Aujourd’hui en nov langue marxiste culturelle ont dit « Fachos »), « ennemis de classe » (ont dit Bourgeois ou nantis comprendre tous ceux qui ont un emploi), « saboteurs » et autres « espions de l'impérialisme » (Patrons) ou encore « cosmopolites sans racine » (Aujourd’hui on dit sionistes ou même comme dans les manifs du MRAP antisémite : Des juifs !). Le front de gauche marxiste des nazis ?
Le marxisme, doctrine du socialisme, c’est la lutte ou la guerre des prétendues « classes », et la guerre des classes (CP contre CM2 ?) implique de liquider une partie de la population. Car pour restructurer la société, il faut d’abord éliminer non seulement les opposants politiques, mais aussi les intellectuels, les meilleurs travailleurs, les artistes non conformes à la doctrine, etc.
C’est le genre d’ingénierie sociale qu’ont mis en œuvre Lénine, Staline, Mao et Pol Pot, pour ne citer que les socialistes et autres marxistes les plus sanguinaires. Cette ingénierie sociale forcée répond aussi à des critères ethniques lorsque des peuples entiers sont considérés comme trop « réactionnaires ».
Karl Marx prônait lui-même « l’extermination des Serbes et autres peuplades slaves, ainsi que les Basques (?), les Bretons (?) et les Highlanders d’Écosse », tous « peuples » trop peu évolués pour la révolution socialiste et faisant ainsi obstacle à l’inéluctable « progrès…» de l’humanité.
Elle fut partiellement mise en œuvre par le socialiste nationaliste chancelier du troisième Reich Adolph Hitler qui avait décrété que « les races nuisibles au progrès socialiste de l’Humanité » étaient cette fois les Juifs, les tziganes, les homosexuels (Les communistes aussi vouaient les déviants sexuels aux gémonies en URSS. Le stalinisme humaniste progressiste et tolérant va imposer une ligne d’homophobie radicale : l’homosexualité masculine (moujelojstvo) est recriminalisée le 17 décembre 1933 l’article 121, introduit dans le Code en avril 1934, rend tout acte homosexuel passible de trois à cinq ans d’emprisonnement.
Il y a aussitôt de nombreuses arrestations à Moscou, Leningrad, Kharkov et Odessa, notamment dans les milieux du théâtre, de la musique et des arts. À la mort de Kouzmine, en 1936, son amant, Youri Yourkine, et la plupart de ses amis sont arrêtés avec tolérance et démocratiquement fusillés. La même année 1936, le commissaire à la justice, Nicolas Krylenko, déclare que l’homosexualité est un crime contre l’État soviétique et le prolétariat.
Pour les communistes, l’homosexualité n’est pas seulement un héritage déplorable de l’Ancien régime, elle est aussi profondément liée au fascisme, comme le souligne l’exclamation de Maxime Gorki ( L’écrivaillon collabo qui voyait Lénine comme un « juste ») dans la Pravda le 23 mai 1934 avant même la Nuit des Longs Couteaux :
“Extirpez l’homosexualité et le fascisme disparaîtra”
La thèse de la perversion fasciste (les “mœurs des SA”) permettait d’offrir au grand public soviétique et occidental une opposition terme à terme (le socialisme était du côté de la nature, de la santé et de la vertu, le nazisme de la contre nature, de la dégénérescence et du vice), en occultant totalement la réalité des violences homophobes nazies). Hitler comprenait dans les races nuisibles les hommes de race noire, (Oui les races existent !) entre autres…
C’est cette ingénierie sociale et vrai marxisme culturel qui imprégnait sans doute la tête de Pierre Bergé, quand il souhaitait « des bombes sur la Manif pour tous », et celle du feu petit con facho rouge Clément Méric disant que « ils ne devraient même pas être vivants… ».
Sans oublier en ex URSS la déportation de centaines de milliers de Polonais et de Baltes, ou le transfert en Asie centrale de 170 000 Coréens (800 000 prisonniers n’en reviendront pas). Il ira jusqu'à ordonner le 5 juillet 1937, au NKVD d'interner toutes les épouses de prétendus « traîtres » en camp d’extermination du Goulag pour 5 à 8 ans, et de placer leurs enfants de moins de 15 ans « sous protection de l’État ». Ordre qui conduit à arrêter 18 000 épouses et 25 000 enfants, et à placer près d'un million d’enfants de moins de 3 ans dans des orphelinats. De 1917 à 1991 le système marxiste « pacifiste, humaniste et progressiste à fait en URSS le total effarant de 61 911 000 morts plus de soixante millions de morts par démocide Voir ici )
Après avoir été félicité par les écrivains Vadim Mikhaylovich Kozhevnikov (Héros du Travail socialiste pour ses contributions à la « littérature » marxiste et membre du Soviet suprême de l'Union soviétique) et Ilya Grigorievitch Ehrenbourg, lui aussi fameux militant de la « paix », légèrement sanguinaire certes, mais bon, c’était à l’époque pour la « bonne » cause, la cause de la « paix » éternelle communiste, n’a t il pas écrit en affirmant que « les Allemands ne sont pas des êtres humains », un article qui appelait à les exterminer sans pitié : « Ne disons rien. Ne nous indignons pas. Tuons. Si tu n’as pas tué un Allemand par jour, ta journée est perdue… (…) Si tu ne peux pas tuer un Allemand avec une balle, tue-le à la baïonnette… Si tu as tué un Allemand, tues-en un autre (…) Tue l’Allemand ! C’est ce que te demande ta vieille mère. L’enfant t’implore : tue l’Allemand ! Tue l’Allemand ! C’est ce que réclame ta terre natale ». Aux dires très sujet à caution de ses biographes Ici Ehrenbourg fut membre de la direction du Conseil mondial de la paix, et reçut à ce titre en 1952 le prix Lénine pour la paix ou prix Lénine international pour la « consolidation de la paix entre les peuples » : ça vous a un sale relent rougeâtre d’amitié entre les peuples reconnaissable entre mille comme celle d’un stalinien bretonneux des landes (Synonyme de crétin des Alpes)! Ce « prix » était la réponse de l'Union soviétique communiste au prix Nobel de la paix. C’était à l’origine le prix Staline pour la paix rebaptisé Lénine en 1956 (Louis Aragon recevra le sien en 1956 après 30 ans de bons et nauséabonds services) lors de la déstalinisation, c’est donc le prix de la haine rouge du criminel contre l’humanité Staline que reçu le camarade Ehrenbourg. Récipiendaire des Prix Staline et Lénine, Ehrenbourg est un sommet dans la veulerie! Cela fait penser à un avatar de Staline ou à un militant du MRAP antisémite. Le très socialiste Kadhafi avait dans son pays musulman au sud de la Méditerranée, fait lui aussi un « prix Kadhafi » des Droits de l'Homme ! L’ancien « philosophe » officiel du PCF ancien député communiste et directeur du Centre d'études et de recherches marxistes, le camarade négationniste et antisémite condamné pour provocation à la haine raciale antisémite et converti à l’Islam Roger Garaudy, recevra le sien en 2002 ! Le cheikh salafiste saoudien Ibn Baz avait nommé le puant croupion pourri Roger membre du Conseil supérieur international des mosquées. Cependant, en novembre 1996, Garaudy déclarera : « j'ai atterri dans l'islam sans me défaire de mes croyances personnelles ni de mes convictions intellectuelles (entendre marxistes culturelles) ». Ce qui a fait dire au cheikh que le communiste français était un « hypocrite » et un « impie originel » ; finalement les islamistes ne sont pas si bêtes qu’il y parait !
Les cris de haine marxiste n’ont pas changé avec la campagne BDS en France initialisés par le MRAP (Qui distille de la haine des juifs), le Mouvement de fascistes rouges dit de la « Paix » communiste, le ccfd Terre solidaire, des syndicats comme la CGT, des associations d’idiots utiles qui maîtrisent parfaitement aujourd’hui comme hier et bien moins que demain la haine antisémite, l'amnésie, le négationnisme, et surtout l'occultation, la diversion et la falsification historique.
Permettez moi, amis une petite digression : Lorsque un courageux anonyme dit Mraplandes webmestre du site du MRAP des Landes ( Qui distille de la haine des juifs et un des pires égouts intellectuels du Web) appelle sur son site à mettre hors d’état de nuire ( Menaces d’élimination physique) Michel Labet, un historien et très célèbre blogueur et écrivain libertarien Article du MRAP Landes qui donne le lien ou Michel Labet est Qualifié ici de "raciste" (Copie d’écran faite) sans oublier bien sur ses blogs jugés eux aussi « racistes » comme Ici ou là « l’antiracisme » sert à ce que comme dans l’ancienne URSS marxiste stalinienne ou on l’appelait la répression des phénomènes négatifs, à l’élimination des opposants au marxisme culturel. On à bien l’impression que le « monsieur » ou devrais je dire « camarade » du MRAP des Landes ou monsieur MRAP40 regrette les Goulags, les asiles psychiatriques et la Loubianka avec ses exécutions sommaires !
Le philosophe Alain Finkielkraut à dit : « l’idée généreuse de guerre contre le racisme se transforme petit à petit monstrueusement en une idéologie mensongère. L’antiracisme sera au vingt et unième siècle ce qu’a été le communisme au vingtième. » Voir ici le livre sur Internet "La question" au sujet du MRAP. Je ne résiste pas à l’envie d"y mettre en exergue la phrase inoubliable du communiqué publié par le grand écrivain Alberto Memmi, lors de sa démission du Comité de Parrainage du MRAP : « Il serait désastreux, et peut-être criminel, que l’antiracisme serve d’alibi à autre chose qu’à la lutte contre le racisme ». Et bien messieurs, ça y est, l’antiracisme est devenu au XXIème siècle avec l’humanisme du mouvement de la paix à la sauce rouge du pur marxisme culturel, le plus crasseux, le plus nidoreux, le plus raciste et antisémite qui soit ! CQFD !
Il est évident que les marxistes et notamment les Mrapistofurieux se sont toujours fait l’écho d’une puissante indignation morale contre les prétendus «méfaits» du « capitalisme » et du « colonialisme » dans tous leurs textes, depuis Le Capital de Marx jusqu’au moindre tract du PCF , du MRAP ou du Front de Gauche actuel. Leur indignation n’est qu’un artifice de style, un procédé de manipulation cynique, car les marxistes n’ont jamais eu un brin de morale, ce ne sont que des « amoralistes ».
Nos «amoralistes» marxistes culturels ont depuis toujours un double discours.
D’un côté, ils considèrent avoir le droit de donner des leçons de morale à leurs propres militants, à ceux des autres organisations révolutionnaires, aux prétendues « classes » dominantes et à leurs représentants aux opposant à leurs rhéses nauséabondes et criminelles, mais aussi de dénoncer, d’un point de vue moral, les actes jugés ignobles, racistes, fascistes etc. etc. de la classe dite dominante et les sociales démocraties leur en offrent tous les jours l’occasion.
De l’autre, ils sont dans un état permanent de toute-puissance ( « Je » détiens la vérité, « je lutte » pour la libération de l’humanité, « moi seul » peux empêcher la généralisation de la barbarie capitaliste, voire la disparition de l’espèce humaine et donc mon sacrifice pour cette cause me rend inattaquable et intouchable »). Discours marxiste culturel typique, digne d’un militant du Front de Gauche du NPA antisémite ou d’un membre de la magnifique direction «collégiale» du politburo du MRAP, si ce n’est de monsieur MRAP40 un gai stalinien retraité de l’éducation nationale.
Lorsqu’on les critique sur tel ou tel point (des mœurs peu démocratiques des organisations marxistes à la répression de Cronstadt, par exemple) ces amoralistes reprennent en fait à leur compte la morale des jésuites « La fin justifie les moyens », entendez par là :
Il faudrait se défendre (enfin les prolos, (très dur à trouver de nos jours) ou les immigrés aujourd’hui) contre les méthodes barbares et sanguinaires des « possédants » et la non-violence est inefficace.
C’est faire peu de cas de la non violence de Gandhi popularisée dès 1921, de Martin Luther King pour la lutte des Noirs américains contre la ségrégation (Martin Luther King qui disait : «La non-violence est une arme puissante et juste, qui tranche sans blesser et ennoblit l’homme qui la manie. C’est une épée qui guérit ») ou celle de Lech Wałęsa et Václav Havel contre les gouvernements communistes immondes.
Les marxistes culturels font généralement remarquer que l’usage de la violence n’est pas toujours condamné par les thuriféraires du Grand Capital ( Comme Dieu, le Capital est toujours grand) puisque la « bourgeoisie » ferait souvent l’éloge de la violence guerrière, par exemple celle des attentats des résistants français ( certains communistes) contre les soldats allemands désarmés, voire les bombardements terroristes contre les populations civiles (de Dresde à Hiroshima en passant par les bombardements en Irak), pudiquement baptisés « dommages collatéraux ».
Tous les moyens seraient donc permis dans le cadre d’un mouvement de « masse », ou en tout cas avec la bénédiction de la direction du Parti Communiste ou du groupuscule d’extrême gauche qui détient forcément la Vérité avec un grand V (Le V de vérité est lui aussi comme Dieu : toujours Grand !).
Dans ces moyens permis une savante confusion est entretenue entre la violence défensive (par exemple, l’autodéfense armée de grévistes contre les forces de l’ordre, ou d’un service d’ordre de manifestants antifa contre des fantasmés « fachos »… ou des islamistes) et la « guerre » dite impérialiste. Confusion entre guerre civile, guerre de libération « nationale » et terrorisme contre des civils innocents ou prise d’otages.
C’est ainsi par exemple que les innocentes victimes du nauséabond terrorisme d’extrême gauche des années 70 sont présentées comme de simples « accidents de travail » survenus à des représentants du grand Capital.
En 1921, alors que le
bolchévisme est sans conteste vainqueur et que les principes du communisme de
guerre ne semblent plus se justifier,Saint Joseph Lénine n’hésite pas à
écrire : « C’est une très grande erreur de penser que la NEP a mis
fin à la terreur. Nous allons encore recourir à la terreur et à la terreur
économique ».
En 1938 Lev Davidovitch
Bronstein dit Trotsky dans : « Extrait de Leur morale et la
nôtre » écrira : « Le terrorisme individuel est-il ou
non admissible du point de vue de la « morale pure » ? (…) « Sous
cette forme abstraite, la question est pour nous tout à fait vaine. Les
bourgeois conservateurs suisses décernent encore des éloges officiels au
terroriste Guillaume Tell. Nos sympathies vont sans réserve aux terroristes
irlandais, russes, polonais, hindous, combattant un joug politique et
national. »
Maintenant revenons à nos moutons qui ne
sont pas de l’aïd mais de la haine et à Yves Farge l’agent soviétique fondateur
sur ordre de Moscou du mouvement de la « paix » !C’est aussi avec Inaï Népédéva (?), du Comité antifasciste des femmes soviétiques contrôlé par le Sovinformburo ( Agence de presse et de propagande marxiste) et dirigé par le comité central, qu’Yves Farge lorsqu’il recevra le Prix Staline de la Paix ( Sans rire ,SVP pour le respect du aux 9 millions de morts de l’Holodomor Voir ici un article "raciste" de Michel Labet sur le plus monstrueux crime contre l'humanité du xx ème siècle) évoquera la récente disparition de Staline, la douleur qu'elle lui provoqua et son rôle de chef soviétique. Il disparaîtra (le pauvre !) vraisemblablement assassiné par ses bons « camarades » soviétiques quelques mois plus tard dans un sois disant « accident de voiture » le 31 mars 1953 à Tbilissi (Géorgie, URSS). Chez nous, la sécurité routière s’améliore de jours en jours… Dommage !
Inutile de chercher parmi les Prix Lénine et Staline les grands écrivains russes du XXe siècle… car ils étaient au goulag (Soljenitsyne, Chalamov…) ou reclus chez eux (Boulgakov, Akhmatova…), tués et/ou interdits de publication (Mandelstam…) ou encore suicidés comme Maïakovsky dont le soutien aux bolchéviques à détruit son oeuvre, sa vie et surtout l'estime de lui-même: comment peut-on se tromper ainsi, confondre enfer et paradis ?
Aujourd’hui le mouvement de la « Paix » est une association loi de 1901 Statuts ici Le président en 2006 était monsieur Pierre Villard aujourd’hui coprésident du Mouvement de la Paix. Membre du Comité de Coordination d'Abolition 2000 (réseau international pour l'abolition de l'arme nucléaire). Coordinateur de ICAN, Campagne internationale pour l'abolition de l'arme nucléaire (Sur Fesse de Bouc) et Le site marxiste Culturel. Il est vraiment dommage que ces très nobles idées d’abolition de l'arme nucléaire (encore qu’elle ne soit pas la pire) auxquelles j’adhère à 100% soient dévoyées par cette idéologie marxiste culturelle pestilentielle.
(*) Sigmund Freud, marxisme culturel et mariage « Gay ».
Nous avons vu qu’un des rôles du dégoûtant marxisme culturel est de promouvoir la fragmentation de la société en minorités, notamment sexuelles, comme celles par exemple des LGBT et de dresser ces minorités ou de leurs accorder des « droits » comme par exemple le mariage et ce contre l’opinion de la majorité traditionnelle culpabilisée par l’ « homophobie » ( la notion d'« homophobie » a été forgée de toutes pièces par le « lobby homosexuel » américain très MC pour stigmatiser ceux qui s'opposent aux revendications politiques nettement marxistes culturelles du dit « lobby »). Cette désapprobation intellectuelle de l’homosexualité est par exemple comme « l’extrême droite » très fantasmée mais ne laisse aux opposants aux perversions sexuelles et aux maladies mentales plus d’autre choix que de se taire.
Tiens un exemple, Tim Cook, le PDG d’Apple avait en 2014 fait son « coming out » et se disait « fier » d’être gay. Ici (Pourtant c’était un fait déjà connu depuis longtemps).
Tant mieux pour lui, on ne devrait pas avoir à se cacher, ce n’est plus (depuis peu) en occident une maladie mentale. Encore puni de MORT en terre d'Islam !
Là où ça ne passe pas pour moi, c’est le principe de « fierté ». On peut être fier de ce qu’on a accompli, mais pourquoi être fier de quelque chose qu’on n’a pas choisi et qu’on ne peut pas changer ?
Quand un homosexuel se dit fier d’être « gay », des gens disent « bravo » !
Si un hétéro se fier d’être hétéro, il est crucifié sur la place publique par le MRAP ou SOS racisme comme étant un sale homophobe ! Si ce n’est un « raciste » !
Nous avons vu que l’histoire du marxisme culturel prend sa source dans le marxisme Léninisme au début du 20ème siècle, mais pour qui connais les débuts du communisme il ne peut que constater qu’il était autant « homophobe » et c’est un mot faible, que l’Islam d’aujourd’hui.
L’histoire du communisme international est, globalement, l’un des plus tristes chapitres de l’histoire de la désapprobation intellectuelle de l’homosexualité au dix-neuvième et vingtième siècle. Les choses ne pouvaient plus mal commencer, puisque l’un des deux fondateurs du marxisme, Friedrich Engels, était farouchement « homophobe ». Dans une lettre à Marx de 1869, où il s’en prend violemment au sexologue allemand Ulrichs, il écrit :
“On dira dorénavant : guerre aux cons, paix aux trous-du-cul. C’est encore une chance que nous soyons personnellement trop vieux pour avoir à craindre de payer de notre personne la victoire de ce parti.”
Et dans L’origine de la famille, de la propriété et de l’État (1884), il dénonce “la pratique répugnante de la pédérastie grecque”, dans laquelle il voit le résultat d’une déchéance morale.
En fait, cette position n’est pas spécifique aux marxistes : pour beaucoup de « progressistes » du dix-neuvième siècle, l’homosexualité est un vice des élites, résultant de la décomposition morale qu’engendrent inéluctablement le luxe aristocratique et le système capitaliste, oublieux de la saine nature.
Si la révolution bolchevique commença par émanciper les homosexuels russes, en abolissant le Code criminel de 1832 et en ignorant le crime de sodomie dans les codes de 1922 et de 1926, les bolcheviks n’avaient guère d’indulgence pour les homosexuels :
- les grands leaders avaient peu de goût pour la sexualité en général (“le dérèglement de la vie sexuelle est bourgeois, c’est une manifestation de la décadence”, dit Lénine en 1920) ;
- ils considéraient que l’homosexualité n’était pas un crime mais qu’elle avait toutes les apparences d’une grave maladie ;
- enfin ils y voyaient un vice d’aristocrates (Tchaïkovski, Diaghilev), ce qui n’était pas très bon signe dans un pays appelé à rompre avec son passé tsariste.
C’est ainsi que dès 1924, on procéda à des arrestations massives d’homosexuels « de mauvaise origine », attestées par la correspondance de l’écrivain Mikhaïl Kouzmine.
La Gay pride à Berlin en 1939. |
Cette longue et douloureuse histoire expliquerait que la « culture sexuelle » russe accuserait aujourd’hui un important « retard » :
Lorsque la télévision soviétique organisa son premier débat sur l’homosexualité, en 1989, un groupe d’étudiants en médecine diffusa des communiqués ultra violents affirmant que les « pédés » ne méritaient pas d’être considérés comme des êtres humains et qu’ils devaient être enfermés dans des camps spéciaux. Aujourd’hui ils si enferment seuls : Voir ici .
Les PD ? Ils sont partout ! |
En France pour les dirigeants communiste c’est jusqu’aux années 1970 que l’homosexualité sera considérée comme un vice bourgeois, « une tradition étrangère à la classe ouvrière » (selon une célèbre formule de la CGT), une pathologie contre nature, comme en témoigne la violente sortie du camarade Jacques Duclos en 1971 contre les membres du FHAR (Front homosexuel d’action révolutionnaire) venus l’interpeller à la Mutualité : « Allez vous faire soigner, bande de pédérastes, le PCF est sain ! »
Alors me direz vous comment le « marxisme culturel » peut il être à l’origine du « mariage » gay et des luttes contre « l’homophobie » si les marxistes haïssaient tant les déviants sexuels ?
Eh bien simplement parce que l’école de Francfort est passée par là.
L’École de Francfort (en allemand Frankfurter Schule) est le nom donné, à partir des années 1950, à un groupe d'intellocrates marxistes allemands réunis autour de l'Institut de Recherche bien évidemment « sociale » fondé à Francfort en 1923, et par extension à un courant de pensée issu de celui-ci, souvent considéré à tort comme fondateur de la philosophie sociale ou marxisme culturel. La Frankfurter Schule ne retient en effet du marxisme et de son prétendu idéal d'émancipation, l'idée principale que la philosophie marxiste ne doit être utilisée que comme critique sociale du capitalisme et non comme justification et légitimation de l'ordre existant, critique qui doit servir uniquement à sa transformation.
A l’évidence le marxisme dans l'école de Francfort a subi de grandes modifications. L'appel des théoriciens critiques de Marx est devenu de plus en plus rituel et ce qu'il y a dans la théorie des sources marxistes est maintenant mêlé à celles identifiables non marxistes ....
En un mot, ils avaient dépassé le marxisme ... dans une position d’antibourgeois militants qui fonctionnaient indépendamment des hypothèses économiques marxistes ils étaient devenus des marxistes culturels.
L’observation critique de l'école de Francfort illustre le « bolchevisme culturel », qui pousse le marxiste-léniniste de la révolution sous une étiquette sociologique freudienne.
Pour la philosophie, l’économie et la sociologie, les intellocrates de l’École se contentent pour source d’inspiration des analyses de Karl Marx.
Pour ce qui relève de la psychologie ils s’emparent des « idées » de Sigmund Freud et de sa masturbation intellectuelle qui considérait que l'homosexualité était un choix du sujet (choix inconscient, mais choix tout de même, par rapport à son désir) mais pas une maladie.
Nos gais révisionnistes marxistes avaient rapidement compris que le prolétariat ne se soulèverait jamais pour conquérir les leviers de « la production, la distribution et l’échange » comme le communisme l’avait prédit. L’économie n’était pas le chemin qui menait à la révolution.
Mais ce n’est qu’au début des années 1920 que le marxisme allemand connaîtra le paroxysme d'une crise durable,avec son éloignement de certaines des idées « homophobes » et dont les racines étaient anciennes . On situe conventionnellement son point de départ trente ans plus tôt, aux alentours de l'année 1895.
A l’époque certains des leaders sociaux-démocrates de l’Allemagne unifiée (Kautsky, Bebel) sont favorables à l’abrogation du « paragraphe 175 » (article du Code pénal allemand (Strafgesetzbuch), qui criminalisait l'homosexualité masculine, de 1871 à 1994) et le célèbre théoricien socialiste Eduard Bernstein, défendant Oscar Wilde en 1895, réfute déjà l’idée selon laquelle l’homosexualité serait un acte contre nature et un indice de décadence.
Puis suite à l'échec de la Révolution allemande de 1918-1919, le parti communiste Allemand se soumet aux conditions d'adhésion de la IIIe Internationale (ou Komintern).
En plus, comble de « malchance », il n’y eut pas cette révolution mondiale, dont rêvait les Bolcheviques, menée par Lénine et Trotski, alors les Marxistes de l’école de Francfort commencèrent à analyser le « pourquoi » de cet échec et conclurent à l’issue de leur réflexion que les cerveaux du prolétariat devaient être « lavés » de l’idéologie bourgeoise capitaliste la nouvelle étape historique marxiste ne devait pas consister à piller les banques ou prendre les gares et les bureaux de poste, comme les Bolcheviques en Russie en 1917, mais qu’il fallait, en accord avec le communiste italien Antonio Gramsci, entamer « une longue marche à travers les institutions », c’est à dire maîtriser les institutions de base telles que le cinéma, la télévision, les médias, les sciences, les universités et les « jeunes », en un mot la « culture » toute entière et, par eux, transmettre leurs idées, révolutionnant ainsi la société et la civilisation occidentale qui devait être détruite. Cette stratégie fut appliquée à la lettre. Le haut est devenu le bas. Le bien est devenu le mal. Le juste est devenu l’injuste. Et vice-versa.
Lors d’une nouvelle étape historique ils fixèrent l’objectif du « lavage du cerveau » de l’Europe et de ses valeurs. L’école de Francfort était très liée à un hongrois marxiste, Georges Lukàcs Ici qui, sous la République soviétique hongroise de Bela Kun, introduisit pour la première fois des leçons de libération sexuelle à l’école, afin d’élargir les bases « bourgeoises » de la société. Il réalisa que le moyen le plus simple de toucher les jeunes était l’éducation sexuelle. Lukàcs était ministre de l’éducation durant une courte période de 1919 à 1920.
La promotion des déviances sexuelles (sodomie, pédomanie, pédérastie, lesbianisme, etc) c’est une partie du projet marxiste culturel de destruction des sociétés occidentales planifié tant par l’oligarchie révolutionnaire aux idées marxistes internationaliste que par celle mondialiste et capitaliste. Le but est de dénaturer les relations humaines et de fabriquer des esclaves sexuels en pourrissant les enfants via le système éducatif public.
Vous pouvez le constater de visu, aujourd’hui l’enseignement du sexe, de l’homosexualité et de la transsexualité aux enfants, ça se fait dans les classes du primaire suivant en cela les « idées » de Lukàcs et de ses successeurs. On leur demande maintenant à un très jeune âge quel sexe ils se sentent intérieurement, s’ils ont des tendances homosexuelles etc. Certaines écoles ont même des toilettes pour les enfants qui ne se sentent pas du bon sexe biologique. L’homosexualité présumée est acceptée ici, contrairement a ailleurs dans le monde comme en Iran, ou les homos sont décapités ou pendus. Mais est-ce nécessaire d’avoir les jeux olympique gays, la gay-pride, le village gay, la semaine de lutte contre l’homophobie, les publicités gouvernementales contre « l’homophobie », comme si c’était un problème grave ici ? Pourquoi ne pas s’occuper plutôt des homosexuels qui risquent la mort dans d’autre pays ? Mais non, ça n’arrivera pas parce que la cible est la civilisation occidentale et les valeurs familiales occidentales.
Tout cela est fait en s’abritant derrière des valeurs nobles mais avec pour objectif marxiste culturel de supprimer la liberté individuelle et d’instaurer un totalitarisme « acceptable ». On vous dira toujours que c’est nécessaire pour l’égalité, la solidarité, ou pour « sauver la planète » mais tout çà n’est que propagande marxiste culturelle.
Voir ici les gays cocos!
Derrière ces bonnes intentions se cache une idéologie totalitaire marxiste, qui n’en aura rien à faire des « droits » des minorités ou de l’environnement une fois leur but atteint.
Bien sur une minorité ne doit pas être opprimée, ni ostracisée, on se doit de respecter les minorités. Mais une minorité reste une minorité, et ne doit pas être élevée au rang supérieur, ou passer devant tout le monde parce qu’elle est une minorité. Les minorités se doivent de respecter la majorité et essayer de s’intégrer et de s’accommoder des valeurs de la majorité, et surtout cesser de jouer à la victime, alors qu’elles sont dans les pays les plus libres du monde.
Après cette transformation culturelle progressive et ce « lavage de cerveau », le pouvoir politique devrait tomber aux mains des marxistes, apportant ainsi la victoire de la révolution mondiale.
Beaucoup de dirigeants ont poussé plus loin cette théorie, en utilisant activement les idées de Freud. Ils en sont arrivés à la conclusion que le prolétariat était réprimé auparavant par la mentalité bourgeoise, chrétienne, dans le domaine du mariage, des relations sexuelles, et le rejet de toutes ces choses qui soi disant empêchent le peuple d’être heureux, au point que ses désirs secrets, fantasmes (libido) et autres perversions sexuelles, fétichisme, exhibitionnisme, sadomasochisme, urophilie, lesbianisme, scatologie etc. etc. ne puissent s’épanouir pleinement.
Après des siècles de culpabilité liée à la sexualité introduite par les églises chrétiennes dans les consciences, l’ultra libéralisation du sexe à pour but final de soumettre les «peuples», en contrôlant et agissant toujours sur leur sexualité.
Le sexe, c’est ainsi un des ultimes moyens de domestication.
L’éducation sexuelle, la théorie du genre, le mariage « gay », sont aujourd’hui imposés par les Nations Unies ou l’association internationale du planning familial, bien que relevant du marxisme culturel pur et dur, personne ou peut de gens se rendent compte que ces idées marxistes culturelles décomposent la société que nous diront « classique », tel que la définissait le Général de Gaulle comme « un pays européen, essentiellement de race blanche, de culture gréco-romaine, et de religion judéo-chrétienne ».
Le plus terrifiant, c’est que ces idées forment une idéologie totalitaire qui étouffe systématiquement les contestations, comme à la bonne vieille époque du Politburo. Ainsi, ceux qui s’opposent à l’adoption des enfants par un duo d’homosexuel (le)s se font arrêter. Comme ceux qui s’opposent à l’immigration de masse se font traîner dans la boue et accuser de « racisme ».
Ceci posé, j’affirmais Ici : « Comme le savent sûrement mes fidèles lecteurs, l’homosexualité n’est plus considérée aux états unis et en Europe comme une maladie mentale. L'homosexualité a été retirée du manuel diagnostique et statistique des maladies mentales, en 1985 et a été déclassifiée lors du congrès de 1992, pour tous les états signataires de la Charte de l'OMS sous la pression des lobbys gays américains.
En 1973, l'Association Psychiatrique Américaine avait déjà « voté » (sic) de rayer l'homosexualité des catégories diagnostiques officielles de la maladie mentale. (Voir " An Instant Cure " "Une guérison instantanée", Time Magazine, 1er avril 1974, p. 45). Le Manuel Merck de diagnostics et de thérapie déclare : " L’Association Psychiatrique Américaine ne considère plus l'homosexualité comme une maladie mentale " (p. 1495).
La maladie mentale est réellement une maladie au même sens que les maladies physiques le sont, l'idée de rayer l'homosexualité ou n'importe quelle autre maladie de la liste des pathologies par un simple vote a été aussi absurde que si un groupe de médecins votait de rayer le cancer ou la rougeole de ces mêmes catégories.
Seulement voilà, même « rayée » d’une liste, il reste notoire que l’homosexualité sous sa forme pédophile ou pédéraste, est non comptant d’être un crime, est aussi une atteinte psychiatrique et reste une immonde et abjecte perversité sexuelle.
Le philosophe Grec ( !) Philon d’Alexandrie, lui-même qui vécu au Ier siècle de notre ère, affirmait déjà : « Non seulement ils efféminaient leurs corps à force de mollesse et de sensualité, mais ils travaillaient à la ruine de tout le genre humain, ils provoquent la dépopulation des villes, la raréfaction de l’élite de l’espèce humaine.»
D'un point de vue scientifique, la fonction des organes génitaux mâles et femelle répond à l'exigence de la perpétuation de l'espèce. A partir de là, toute utilisation hors physiologie peut être considérée comme perverse au premier sens du mot c'est à dire déviante : il y a déviance de la fonction. D’où atteinte psy. CQFD.
L’homosexualité n’est plus considérée dans nos civilisations sous contrainte marxiste culturelle comme une maladie mentale ? Soit, mais alors que dire de la reparative therapy et de ses ex-gays, de l’orientation sexuelle « égo-dystonique » en psychiatrie ou encore de la « perversion » en psychanalyse ?
Après avoir abondamment alimenté la réflexion sur ces psychopathologies, dès les tout premiers traités en la matière, l’homosexualité a finalement disparu du D.S.M.III. En effet, en ce nouveau jardin des espèces de « troubles psycho sexuels », seul subsiste un surgeon à complexification névrotiforme : ce qui est appelé l'homosexualité « égo-dystonique », c'est-à-dire en conflit avec le « moi » du sujet. Plus encore que la décision d'exclure ainsi l'homosexualité du catalogue des maladies mentales, c'est la procédure pour y aboutir qui est significative : l'A.P.A. (American Psychological Association) a procédé par voie référendaire. Comme l'a raconté Professeur Thuillier en 1973-74 le bureau de l'A.P.A. décide de ne plus retenir cette perturbation de l'orientation sexuelle qu'en fonction de la nosognosie (Classification québécoise du Processus de production du handicap: l'aptitude à reconnaître ses limitations physiques et psychiques. (Catégorie A1.1.4.1.6 des aptitudes reliées aux activités intellectuelles) de l'intéressé, c'est-à-dire lorsqu'elle concerne quelqu'un qui n'en est pas satisfait et s'estime lui-même « malade » ou troublé de se retrouver ainsi orienté (ceci, peut-être surtout en raison des conséquences sociales qu'entraîne cette tournure, conséquences qui tiendraient avant tout à la manière dont la société prend position à l'égard de cette particularité psychosociale dans la vie sexuelle ou ce que l'on a parfois appelé l’ homophobie ambiante)».
A suivre en Partie 3.
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