jeudi 22 janvier 2015

Le marxisme culturel par l’exemple. 1.


Le mouvement de la paix.

        
Il était une fois…..

Balzac a écrit: « Il y a deux Histoires : l'Histoire officielle, mensongère, qui nous est enseignée, et l'Histoire secrète où se trouvent les vraies causes des événements, une Histoire honteuse ».

Cet ouvrage prouve que le Marxisme Culturel (MC) existe bel et bien et dans des proportions alarmantes: il le prouve à partir de documents implacables. C’est une arme de combat, même si, pour l’instant sa diffusion reste limitée, car les hommes de ce temps préfèrent le mensonge à la vérité. Et pourtant, ce que confiait  Lénine à Bakou, en 1919, va bientôt se réaliser… « La crise économique et la crise sociale… telle que l’Europe tombera comme un fruit mûr. ».

Oui cela est bel et bon mais me direz vous comment en êtes vous arrivé à votre affirmation péremptoire : « Le Marxisme Culturel existe » ?

Le MC existe bonnes gens par ce que je l’ai rencontré ! Oh bien sur cela ne c’est pas fait en un jour, le MC n’est pas enseigné dans les « écoles »  de la « raie » publique. La preuve, en 2011 si j’en avais déjà une idée précise Cliquer ici pour : Le Marxisme Culturel quesaco ? il m’a encore fallut plus de quatre ans pour affiner ma pensée et réunir des preuves. Je dois ici particulièrement remercier le MRAP des Landes et monsieur MRAP40 de l’aide qu’il m’a apportée.

A cette époque c’était à cause d’un commentaire de Blog ; Une dénommée « Math », joli pseudo d’enseignante lobotomisée (et pas sodomisée hein ! Quoi que l’un n’empêche (à la ligne) pas l’autre) à écrit : « (…)  je suis allée jeter un œil (Comme Le Pen, n’a qu’un œil l’ enfeignante) aux écrits du monsieur avec plein de noms de famille... (Non non, madame, un seul nom de famille : Labet, le reste n’est que le nom de terres nobles que notre illustre famille a possédées, la prochaine fois appelez moi monsieur le baron. En effet mon nom complet est Michel Alain Labet, Baron de Laval, sieur de Bornay, Saint Maur, Courbette et autres terres) et une question me taraude... (Hé ben ; une question vous tourmente de manière lancinante au point de vous faire souffrir vivement, m’étonne plus de rien moi venant des marxistes !) Qu’est-ce qu'ils ont tous avec cette histoire de "marxisme culturel"?? Je ne comprends absolument pas de quoi il s'agit. J'ai lu peut-être pas tout mais une majeure partie des œuvres de Marx, j'ai étudié le marxisme, je l'enseigne aussi... mais alors ce trip (sic ?) (En tout cas ce n’est pas le Français, qu’elle enseigne la madame ! Elle doit fumer la moquette non ?), d'associer Marx à quoi? La « décadence? » Dans la plus pure tradition des ligues d'extrême-droite? Ça m'échappe complètement.
M'enfin, je suis pas sûre d'avoir envie d'aller y fouiller plus avant, à bien y réfléchir».

Bien que l’on ne puisse faire boire un âne qui n’a pas soif, m’enfin « Gaston », je vais lui expliquer tout bien tout bien, en bonne francesse, ce que donc de quoi que je cause et ce que à quoi que je pense ( Donc j’essuie) au sujet du marxisme culturel ou MC, ( Faut ce mettre à niveau des collectivistes enseignants Das Kapital, qu’ils n’ont pas lu et dont l’antisémite  Marx n’a écrit qu’un tiers, le reste étant de l’homophobe Engels !) si ça lui fait pas de bien, à peu pas lui faire de mal vingt guieu, un peu de culture et ne sortez pas votre revolver mam ! Et puis bon, il faut abréger votre souffrance, on achève bien les chevaux !

Par chez nous, oïl oua  (C’est du franc comtois), dans nos vertes et ensoleillées contrées du pays des doigts de l’homme dans le centre d’union Libertarien tout à commencé en fin 1958 avec la constitution de la 5éme république ou à l’article premier on peut lire : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale » c’est beau non ?
C’est le genre de « truc » dont tout le monde se fout comme de sa première masturbation intellectuelle me direz vous. Ben non ; car le dernier mot, le mot « social » de cette petite phrase va tout conditionner !
Social ; un terme fourre tout, sans signification mais qui sert à empêcher toute réflexion. Ainsi, l'économiste autrichien Friedrich Hayek écrivait-il en 1957 dans ses Essais de philosophie, de science politique et d'économie, que « l'adjectif social est devenu un mot qui ôte à toutes les expressions tout sens clair ».
L’utilisation à outrance du terme « social » induit une déresponsabilisation des individus au détriment des hommes libres.

Vous allez bien sur me dire que le mot « démocratique » précède le mot « social »,  alors nous dirons que la France de la cinquième république est une sociale démocratie une tendance assez nauséabonde du socialisme. En France, l'appellation a été récemment employée par monsieur  le président Hollande pour définir sa politique.

Les démocraties « sociales » sont loin, très loin de la véritable souveraineté populaire. Ainsi, aujourd'hui encore, il n'existe pas de définition communément admise de ce qu'est ou doit être la démocratie. Certains, comme Jean-Jacques Rousseau, considèrent que la démocratie ne peut être que directe : « La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée; elle consiste essentiellement dans la volonté générale et la volonté générale ne se représente point ».

Lorsque vous votez amis, vous avez l’impression de choisir entre la gauche ou la droite. Hors c’est faux ! Vous votez pour plus ou moins de « social » point barre ! Vous n’avez pas le choix, en fait vous êtes en démocratie « populaire » pléonasme étymologique si il en est, mais tellement symptomatique du lavage de cerveau Marxiste Culturel ou MC.

Les réseaux dormants staliniens et trotskistes ne vont pas tarder à réaliser la dernière étape du plan soufflé à Lénine… Ceux qui savent décortiquer les informations ont déjà remarqué une vive inquiétude de la part de certains gouvernements européens. Cet ouvrage, est une clé dans la lecture de l’actualité d’aujourd’hui et de demain.
Encore une fois certains vont dire : « oui d’accord mais on ne vous a rien demandé, et si ça nous plait à nous d’êtres lobotomisés et de trouver ça sympa ! ».

Un exemple de lobotomisés qui trouvaient çà « sympa » : Mars 1956 : massacre des nostalgiques du Stalinisme en Géorgie ! Le 9 mars 1956, la Géorgie se soulevait contre la déstalinisation.
Le fameux rapport « secret » de Nikita Khrouchtchev dénonçant les abominables crimes contre l’humanité de Staline, à l’issue du 20e Congrès du PC soviétique, le 25 février, avait bouleversé la population de lobotomisés en Géorgie. Les dirigeants communistes prirent connaissance du texte du rapport le 5 mars (3e anniversaire de la mort de Staline). Les rues de Tbilissi (Appelée traditionnellement Tiflis), Kutaisi, Telavi, Gorki étaient déjà pleines de foules d’étudiants et de membres du Parti en colère.
(Les communistes Géorgiens n’avaient pas moins souffert des sanguinaires répressions staliniennes que d’autres peuples de l’URSS. Mais à leurs yeux, les mérites de Staline, bâtisseur de l’Union et vainqueur du socialisme nationaliste, l’emportaient sur ce qu’on pouvait lui reprocher. De plus, la Géorgie soviétique, qui avait largement conservé sa langue, ses traditions, sa fierté nationale, ressentait la condamnation, à Moscou, du « Guide » d’origine géorgienne, comme une atteinte à leur dignité nationale. La foi imbécile communiste et stalinienne restait intacte dans une partie non négligeable de la population.)
Des protestations de rue avaient déjà commencé le 3 mars. Il y eut à Tbilissi, la capitale, quelque 70 000 manifestants, avec beaucoup d’anciens combattants de la Seconde Guerre mondiale. Les slogans étaient : « A bas Khrouchtchev ! », « Avec Lénine et Staline, en avant vers le communisme ! ». 
Des témoins se souviennent : des camions sillonnaient la ville, plein de gens brandissant des drapeaux rouges avec faucille et marteau SVP et des portraits des dirigeants de la révolution d’Octobre 1917. On chantait l’hymne géorgien soviétique, on disait des poèmes, on écoutait des écrivains communistes célèbres, des « savants », des étudiants « pionniers » du socialisme, des vétérans, des ouvriers et autres commissaires politiques craignant pour leurs places de privilégiés.
Il semblerait que le dirigeant chinois Chu Deh, compagnon de Mao, et délégué chinois au 20ème Congrès, se trouvait à Tbilissi. Des milliers de manifestants se seraient adressés à lui, demandant de « défendre le nom de Staline ». On dit que le maréchal « salua les étudiants » et qu’un membre de la délégation chinoise prit la parole lors d’un meeting. (Ce qui paraît incroyable, car un tel geste constituait une provocation à l’égard du PCUS, dont les Chinois étaient les invités. Mais on sait que la déstalinisation fut réprouvée à Pékin)
Les nostalgiques du Stalinisme géorgiens exigeaient la démission de Khrouchtchev et la formation d’un nouveau gouvernement.


Les forces armées pacifistes et humanistes du peuple entrèrent en action le 9 mars vers minuit. Qui donna l’ordre ? C’est resté secret (Pour l’instant, mais il semble bien que l’ordre sois venu directement de Moscou). Des camarades soldats firent feu. Il y eut « officiellement » 27 morts progressistes. Un autre bilan fait état de 6 à 7000 morts humanistes. Source : « Il était une fois l'URSS de Dominique Lapierre, photos de Jean-Pierre Pedrazzini (Pedra tombera en 1956 place de la République à Budapest sous les humanistes balles d’une mitrailleuse communiste progressiste alors qu'il couvrait la révolution anti totalitaire. Rapatrié à Paris, il succombe à ses blessures le 7 novembre 1956) le livre est sorti en 2005 à partir de leur voyage en URSS et à Tbilissi en particulier ou il seront en Avril 1956 ». Il y eut aussi 375 arrestations, dont 34 membres du PC et 165 komsomols. 39 seront jugés et finiront au goulag progressiste.  

Voilà, je suis grand père et je ne voudrais pas qu’à la démarxisation qui ne manquera pas d’intervenir un jour, mes petites filles meurent sous les balles « socialistes » ? Je crois sincèrement à la fin de ce système marxiste culturel, il est donc  essentiel pour moi d'avertir mes contemporains, non seulement par amour du prochain, mais aussi pour éviter de me rendre coupable d'une « dette de sang » (c'est-à-dire me rendre coupable de non-assistance à personne en danger).

Commençons donc par : la Symphonie en rouge majeur, une thèse parue sous la forme de mémoires dans les années 1950 en Espagne franquiste et attribuée à Josef Landowski qui donne un résumé de l’interrogatoire de Christian Georgiévitch Rakovski (né Khristo Gheorghev Stantchev) ancien chef du gouvernement de la République socialiste soviétique ukrainienne. Il prit part à la conférence de Gênes en 1922. Il fut ambassadeur soviétique à Londres et à Paris. Il s’opposa à Joseph Staline et rallia l’Opposition de gauche (Trotskiste). Se soumettant à l’autorité de Staline en 1934, il fut brièvement réintégré. Rakovski fut néanmoins impliqué dans le procès des vingt et un (une partie des procès de Moscou), emprisonné et exécuté par le NKVD pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce qui suit est le contenu de son interrogatoire par le NKCD : « Rakovski commence par argumenter que si Karl Marx connaissait les contradictions du capitalisme, c'est qu'il connaissait ceux qui les produisaient en son sein. Il théorise ensuite une alliance entre la finance internationale (qu'il affuble du sobriquet « d'Internationale capitaliste » ou « Kapintern » (Aujourd’hui plus connu sous le nom de Forum Économique Mondial) et l'Internationale communiste (Komintern). Il ajoute que Marx, dans ses écrits, est manifestement passé à côté d'un phénomène économique qui pourtant fascinait les gens de son époque: l'immense accumulation du capital des 5 frères de la famille Rothschild. Il précise qu'ils sont 5, tout comme les 5 branches de l'étoile rouge soviétique. (Amschel Mayer Rothschild, Salomon Mayer Rothschild, Nathan Mayer Rothschild, Kalmann Mayer Rothschild, James de Rothschild). » Pour Rakovsky, ces deux entités, quasiment sœurs jumelles de l’asservissement des peuples, l'une prônant le cosmopolitisme (car le capital n'a pas de frontières) et l'autre l'internationalisme (car le prolétariat n'aurait pas de frontières lui aussi) sont là pour provoquer la destruction de l'état-nation.

Un Etat nation est faut il vous le rappeler amis, un concept théorique, politique et historique, désignant la juxtaposition d'un État, en tant qu'organisation politique, à une nation, c'est-à-dire des individus qui se considèrent comme liés et appartenant à un même groupe. C'est donc la coïncidence entre une notion d'ordre identitaire, l'appartenance à un groupe, la nation, et une notion d'ordre juridique, l'existence d'une forme de souveraineté et d'institutions politiques et administratives qui l'exercent. Ce n’est plus le cas en France actuellement, la France est un état socialiste marxiste culturel internationaliste en aucun cas un état Nation.

Dès le début on s’aperçoit que le marxisme culturel internationaliste (MCI) ne dérange aucunement le cosmopolitisme capitaliste au travers d’une « sociale démocratie », car d’une part il ont des buts communs (Immigration effrénée pour abaisser le coût de la main d’œuvre dans le monde occidental et création d’un sous prolétariat inculte facilement manipulable d’une part et d’autre part le « socialisme » ne pouvant prospérer que dans une économie capitaliste performante avec la création d’une nomenklatura chargée de diriger les « peuples »). En France en particulier plus rien ne distingue les idées de la gauche de celle de la droite (Bande des quatre ou UMPS, aujourd’hui l’UMP n’est qu’un parti socialiste de droite très modéré) ; L’ensemble de la presse et des médias est inféodé au Marxisme Culturel, tout comme la justice. J’irais même jusqu'à dire que la droite nationaliste ou Front National est de plus en plus contaminé par ces concepts utopiques !

Idées ou concepts profondément Marxistes Culturels dont il convient de se faire une « idée » saine.
Une définition succincte est donnée par wikipédia: « Le marxisme culturel est une forme de marxisme qui analyse le rôle des médias, l'art, le théâtre, le cinéma et les institutions culturelles de la société en mettant de l'emphase sur les luttes de genres, de classes et d'ethnies. Formulé par l'école de Francfort et Herbert Marcuse, il aurait contribué à la montée de la rectitude politique en Occident. Il s'agit d'un moyen culturel et non révolutionnaire pour revendiquer l'abolition des classes et l'égalitarisme absolu».

Aux états unis, le Marxisme Culturel serait seulement aujourd’hui selon certains « penseurs » et « intellocrates » qui veulent limiter l’impact des informations sur la réalité et l’ampleur du marxisme culturel, un terme en lien avec essentiellement la prétendue « théorie du complot » (Personnellement je ne qualifierais pas la propagation de l’idéologie MC (Marxiste Culturelle) de théorie du complot, car d’un point de vue de certains Marxistes Culturels ou « observateurs » en sciences ( ?) « sociales », la théorie du complot tend à se soustraire à la réfutation, toute démonstration contraire pouvant être interprétée comme un faux réalisé par des conspirateurs, et discrédite donc les explications dites officielles, établies par les pouvoirs publics Marxistes Culturels et relayées par les médias d'information tout autant MC. Pour certains Marxistes Culturels distingués, ce serait un concept aux limites floues, dont l'usage abusif viserait à déconsidérer leur thèse), nous dirons donc plutôt propagande idéologique marxiste de Lénine, théorisées et diffusées essentiellement par l’école de Francfort  Voir ici (C’est en Anglais mais démerdenzizich) visant à subvertir les valeurs chrétiennes et les normes culturelles traditionnelles de la société occidentale. Nous verrons que cette présentation est succincte et qu’elle occulte (Volontairement ?) la dimension marxiste léniniste fondamentale (comme le complot dit de la Symphonie en rouge majeur  et les idées soufflées dans l’oreille complaisante de Lénine par Willy Münzenberg  notamment  celle-ci : «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue», dimension fondamentale à prendre en compte dans la compréhension du phénomène, touchant toute les relations humaines.  

L'historien William S. Lind ou Patrick Buchanan, ont affirmé en outre que le marxisme culturel est une souche dominante de la pensée au sein de la gauche américaine, (occultant aussi par là sa dimension « internationaliste » de prise du pouvoir mondial) destinée à promouvoir la désagrégation de la culture occidentale. Il est aussi évident que le multiculturalisme avec les invasions immigrationnistes n’est qu’une excroissance du marxisme culturel pour détruire les cultures traditionnelles intrinsèques à la société occidentale pour les remplacer par des sous cultures permettant le contrôle plus facile des « peuples ».


Tout d’abord un constat s’impose, les Marxistes internationaliste et mondialistes d'hier ont beaucoup de difficultés à trouver aujourd'hui des « prolétaires » ou des « opprimés » pour soutenir leurs visées révolutionnaires ou dans le cas des « capitalistes » asservir les « masses » de moins en moins laborieuses (Celles qui font le boulot pour des salaires de misère et des retraites de merde), et l’un comme l’autre vous prendre pour des imbéciles!
Pour récupérer le soutien « populaire », les Marxistes Culturels d’aujourd’hui doivent étendre la prétendue défense des « prolétaires » aux « nouveaux prolétaires » que sont désormais les femmes à protéger contres les « hommes machistes » (Sauf dans le cas de l’Islam conquérant mais ceci est une autre histoire); les étrangers contre les «nationaux racistes» ; les homosexuels contre les « homophobes » ; les « humanistes, tolérants ; pacifistes et démocrates » contre les « Chrétiens nationalistes et  réactionnaires » ; les délinquants et autres racailles antisémites et albophobes contre la « police violente et agressive » ; comment procéder : pour y arriver, les Marxistes culturels doivent accuser leurs ennemis de racisme, d'antisémitisme, d'homophobie, de fascisme, de nazisme, de conservatisme ; avec quel outil : l’idéologie du « politiquement correct » qui réduit le champ de la liberté d’expression, exclut la mention de certains thèmes dans le débat public et partant empêche toute critique du Marxisme Culturel; pourquoi agir de la sorte : l'objectif des Marxistes culturels est de discréditer la nation, la patrie, les hiérarchies, l'autorité, la famille, le christianisme, les valeurs, l'ordre et la morale pour favoriser l'émergence d'une « nation mondiale ultra égalitaire et multiculturelle sans âme ni racine ». Cela bien sur avec l’aide des ex Mass Médias (Devenues aujourd’hui de simples médias ou ensemble des moyens de diffusion de masse (Organisations de « masse »= base de l’idéologie marxiste) de l'information, de la publicité et de la culture, c'est-à-dire des techniques de propagandes et des instruments audiovisuels et graphiques, capables de transmettre rapidement le même message à destination d'un public très nombreux et très très peut « cultivé ».
 
Des preuves évidentes attestent aujourd’hui de la justesse de cette analyse. Le pouvoir des élites auto proclamées de Bruxelles ou de Washington composées de « gens non-élus et apatrides » témoigne du nouveau gouvernement mondial en place; le « dogme de la société multiculturelle » dont on ne peut dire que du bien « sous peine de poursuites judiciaires » témoigne de la toute-puissance des organisations antiracistes tel en France le Mouvement de la Paix, le Front de Gauche, le MRAP ( Marxistes Racistes Antisémites et Populaires)  qui distille de la haine des juifs Cliquez ici qui sont l'avant-garde de la « révolution » ; et enfin, la présence de populations étrangères sur le sol européen et américain démontre l'arrivée « massive, organisée et volontaire des nouveaux prolétaires », les « nouveaux clients » et futurs esclaves des « Marxistes culturels ».


Rakovski théorisait précédemment une alliance entre la finance internationale (qu'il affuble du sobriquet « d'Internationale capitaliste » ou « Kapintern » (Aujourd’hui plus connu sous le nom de Forum Économique Mondial Ici) et l'Internationale communiste (Komintern Ici). L’IC n’existe plus (seules ses idées demeurent) mais il existe encore une Internationale Socialiste Ici.
Ami de Trotski, Christian Rakovsky qui était considéré comme un anarchiste en 1895 lorsqu’il est expulsé de Prusse a été très influencé par les œuvres de Bakounine. Au milieu du XIXe siècle, lors de la controverse entre marxistes et anarchistes, Bakounine profèrera sa théorie du complot juif que l’on attribue très injustement aux idées socialiste nationalistes d'Adolphe Hitler: « Tout ce monde juif, constituant une secte unique exploitante, une sorte de peuple suceur de sang, une sorte de parasite organique collectif et destructeur, s'étendant non seulement au-delà des frontières des États, mais de l'opinion politique, ce monde est maintenant, au moins en grande partie, à la disposition de Marx, d'une part, et de Rothschild de l'autre [...] Le fait est que le socialisme autoritaire, le communisme marxiste, exige une forte centralisation de l'État. Et là où il y a centralisation de l'État, il doit nécessairement y avoir une banque centrale, et là où existe une telle banque, est la nation juive parasitaire, spéculant sur le travail des peuples » .

C’est à mettre en parallèle bien sur avec les thèses de Rakovski : « … Karl Marx connaissait les contradictions du capitalisme, c'est qu'il connaissait ceux qui les produisaient en son sein. Il théorise ensuite une alliance entre la finance internationale (qu'il affuble du sobriquet « d'Internationale capitaliste » ou « Kapintern » (Aujourd’hui plus connu sous le nom de Forum Économique Mondial) et l'Internationale communiste (Komintern).
Néanmoins ; Attention ! Pour ceux qui croiraient en la fin de l’histoire de l'Internationale communiste et la victoire absolue du capitalisme cosmopolite (ce qui à tout prendre est préférable aux asiles psychiatriques et aux goulags) suite à l’effondrement de l’URSS, un détour par les allées du village international de la Fête de l’Huma, Ici en 2013 suffirait à leur prouver que l’idéologie marxiste est toujours bien vivante et que la peste rouge se porte encore assez bien. Plus grand rassemblement communiste en Europe, la Fête de la haine rouge dite de l’Humanité est devenu un rendez-vous annuel incontournable pour les « camarades » du monde entiers et pour les abrutiles, « fête » ou des excités et des extrémistes marxistes culturels côtoient les intellocrates les plus pourris dans une belle cacophonie de la haine.


De plus pour les naïfs, les gogos ou les pas encore trop lobotomisés par le « système » MC allez voir les idées actuelles des membres du gouvernement de la France en 2014 : Pour voir cliquer ici : Un petit extrait peut vous convaincre que les « idées » obsolètes de la fin du 19ème siècle marxistes du manifeste du parti communiste sont toujours en vigueur au début du 21ème siècle : « Le but de l’action socialiste est et la sauvegarde de la planète. [...] L’égalité est au cœur de notre idéal. [...] La redistribution permanente des ressources et des richesses est nécessaire pour donner une réalité à l’égalité des droits, offrir à chacun les chances de conduire sa vie, et réduire les écarts de conditions. [...] Le progrès, synonyme d’amélioration de la vie humaine, est une valeur fondamentale pour les socialistes. [...] Le Parti socialiste est un parti réformiste. Il porte un projet de transformation sociale radicale. [...] Le Parti socialiste est un parti internationaliste. Etc. etc. » (Notons que leurs pseudos adversaires politiques dit de « droite » de style UMP ne trouvent rien à dire à ce programme pour le moins marxiste culturel utopique).


Du pur marxisme léninisme dans le texte ! Une abomination intellectuelle ! Concept idéologique qui fit au XXème siècle  150 000 000 de victimes dans un véritable « génocide de classe » bien supérieur au « génocide de race ».
Proudhon, qui fut le premier à se qualifier d'anarchiste disait :"Le communisme, pour subsister, supprime tant de mots, tant d'idées, tant de faits, que les sujets formés par ses soins n'auront plus le besoin de parler, de penser, ni d'agir : ce seront des huîtres attachées côte à côte, sans activité ni sentiment, sur le rocher de la fraternité. Quelle philosophie intelligente et progressiste que le communisme !"…

William Lind un américain diplômé du Dartmouth Colle et de l'Université de Princeton, a obtenu en 1971 une maîtrise d’histoire. C’est un « intellectuel » expert militaire. Dans son livre « What is ‘Political Correctness’ ? », il évoque la toute-puissance d’une « nouvelle idéologie d’état » aux États-Unis qu’il nomme le « Politiquement correct » (« Political Correctness ») et qu’il associe immédiatement au « Marxisme culturel », c’est-à-dire au Marxisme « transféré du domaine économique au domaine culturel », comme déjà théorisé depuis les années 30 par Christian Rakovski. Lind établit plusieurs parallèles entre le marxisme classique (économique) et ce qu’il appelle le marxisme culturel. Les deux, explique-t-il, visent une société sans classe, les deux sont des idéologies totalitaires comme en témoigne « la nature totalitaire du politiquement correct » qui sévit sur les campus universitaires et qui a « éliminé la liberté d’expression, de la presse et de la pensée ». Les deux « marxismes » s’appuient sur une seule cause pour expliquer l’histoire, le marxisme économique considère que l’histoire est déterminée par « la possession des moyens de production » alors que le marxisme culturel considère que l’histoire s’explique en établissant « quel groupe (sexe, race, orientation sexuelle, etc.) a le pouvoir sur quel groupe ». Ensuite explique Lind, les deux marxismes ont la particularité de « déclarer certains groupes » comme vertueux et d’autres comme « monstrueux » : le travailleur et l’ouvrier sont vertueux dans le marxisme économique (contre le « bourgeois exploiteur ») au même titre que la minorité raciale albophobe, sexuelle ou ethnique dans le marxisme culturel est vertueuse contre l’homme blanc par nature « sexiste, machiste et raciste ». Enfin Lind considère que les deux marxismes se caractérisent par l’expropriation. Le marxisme économique vise à exproprier les riches et les bourgeois, le marxisme culturel punit par des impôts de plus en plus lourds, de nouvelles taxations, de lourdes amendes et par des lois injustes tous ceux qui n’adhèrent pas à la nouvelle idéologie. Et Lind de citer la discrimination positive aux États-Unis (affirmative action) comme un moyen parmi tant d’autres pour favoriser les minorités dites « vertueuses » au détriment des hommes blancs.


De nombreuses personnes me posent souvent la question par courriel: Mais qu’est ce donc que ce fameux truc dont personne ne nous a jamais parlé que vous appelez marxisme culturel et dont vous nous rebattez les oreilles à longueur de pages internet ? (J’avais déjà répondu Ici mais c’était assez succinct) A travers le mouvement de la paix, le MRAP, le CCFD Terre solidaire et d’autres cochonneries tout aussi nidoreuses, toutes associations marxistes culturelles ; je me propose aujourd’hui de l’expliquer plus longuement.

C’est le CTECNA voir là : http://antisemitenonmerci.blogspot.fr/ qui avec plusieurs articles sur la question ouvrira le « Bal » ! Comme ici ou

Exemple d’un article dénonçant un groupuscule « Marxiste Culturel » Français : Antisémitisme à Mont de Marsan!


 « C’est avec stupeur et consternation que notre collectif a pris connaissance d’un article du 15/07/2014 dans le  journal Sud Ouest intitulé «Des associations landaises appellent au boycottage » (Ici), celui ci annonçait que des « organisations » ( Le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) lançaient, avec le Mouvement de la paix, le CCFD (Comité catholique contre la faim et pour le développement) et Palestine 40 (de l’AFPS « association satellite du PCF ») et mettaient en place dans les Landes le système de boycott désinvestissement sanction (BDS): Encore une fois le journal Sud Ouest se faisait le porte parole du MRAP, mouvement qui distille de la haine des juifs ! Source.
Aujourd’hui intéressons nous au « mouvement de la paix ».
Le Mouvement de la paix est en France, une organisation dite de « masse » satellite du PCF se disant « pacifiste » (Sans rire) qui s'inscrit dans la promotion du marxisme culturel initié par l’ex URSS et le socialisme international. Cliquer ici.
Présenté comme le MRAP comme apolitique, le Mouvement de la paix s’inscrit en fait dès sa naissance dans une stratégie de politique extérieure soviétique. La défense de la paix doit permettre d’ériger l’URSS marxiste en « championne de la paix », par opposition aux États-Unis, « fauteurs de guerre ».

Comme le MRAP, dont il est le rouge jumeau, le mouvement ex « de masse » stalinien dit de la « Paix » à une présidence collective comme dans l’ex URSS ou elle est détenue conjointement par tous les membres d’un sorte de præsidium du Comité central exécutif. Tous bien évidemment des « militants de la paix ». L’expression contradictoire de «  militant pacifiste » définit cette forme marxiste culturelle comme du « pacifisme ». Il consiste en un « engagement » pour sois disant la « paix » qui a quelque chose de très guerrier. On marche pour la paix comme un peu comme on marche à la guerre. Le chinois Sun Tzu a dit : « L’art suprême de la guerre consiste à vaincre son ennemi sans l’avoir affronter » Le marxisme culturel est une « guerre » dont l’objectif est de détruire la nation, la patrie, les hiérarchies, l’autorité, la famille, le christianisme, les valeurs, l’ordre et la morale pour favoriser l’émergence d’une « nation mondiale ultra égalitaire et multiculturelle sans âme ni racine ».
Yves Santamaria dans son livre «  Le pacifisme, une passion française » nous apprend que le grand criminel contre l’humanité communiste Vladimir Ilitch Oulianov dit Lénine avait dévolu au « pacifisme » le rôle de « désagrégation de la bourgeoisie ». Le traitement de l’expression « lutte pour la paix » désigne dans la tradition « Kominternienne et stalinienne » et aujourd’hui marxiste culturelle, est, comme on vient de le voir, le traitements du paramètre « guerre ». 



Bon d’accord me direz vous mais le marxisme est mort avec le communisme. Que nenni mon « zami », c’est une erreur que les patriotes Français commettent souvent : croire que le marxisme est tombé avec le Mur de Berlin et le Bloc de l’Est. Voir ici. Rien n’est plus faux, aujourd’hui le marxisme alimente l’esprit public comme jamais. Il ne fait simplement plus usage des slogans de la propagande habituels tels que « Lutte de classes » ou « Dictature du prolétariat » qui ne trompe plus personne.
Cette propagande est devenue aujourd’hui la propagande marxiste culturelle, forme de marxisme et véritable arme de guerre véhiculée maintenant de la gauche à la droite pour détruire la culture occidentale et pour revendiquer l'abolition des classes et l'égalitarisme absolu formulé par d’abord Lénine puis Staline avec l‘aide de Münzenberg puis de  l'école de Francfort avec Herbert Marcuse et surtout Antonio Gramsci avec sa conception de l'hégémonie culturelle comme moyen du maintien de l'État dans une société capitaliste. Pour en savoir plus. Cliquez ici.
Willi Münzenberg, grand architecte de la Désinformation sous Lénine puis Staline, convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée, a défini l'objectif et donné le mode d'emploi du Marxisme Culturel: « Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat».
L’ex-agent du KGB Yuri Bezmenov explique beaucoup plus récemment après sa défection en 1970, la vaste stratégie de subversion de l’Ouest et des pays non-alignés par l’idéologie de la haine marxiste propagée par l’URSS. Qualifiant l’idéologie marxiste de « succédané de religion », elle véhicule de puissants mythes reposant sur une frustration des « masses » excitées par des agents d’influence. Ce vaste plan, Bezmenov le résume comme ceci :
« Une fois endoctriné, même devant des faits indiscutables, un individu continuerait à nier. Ce n’est qu’une fois le cul botté par le KGB qu’il comprendrait qu’il a été trompé ».


Souvent qualifiés à tord  de courants « post-marxistes », avec le féminisme Ici et l'écologie, le pacifisme qui selon une acceptation courante est la doctrine et l'action des partisans de la paix ou du rétablissement de la paix peut être qualifié aujourd’hui de pur « marxisme culturel » tout comme l’écologie, l’antiracisme et le féminisme. La vision du véritable pacifisme associé à une personne refusant le recours à toutes formes de violence est curieusement beaucoup plus répandue et c’est sur cela que jouent les marxistes culturels ; la confusion. Mais n’est pas le mahatma Gandhi qui veut ! Le « pacifisme » a toujours trouvé un grand écho dans la réflexion et surtout dans l’action communiste depuis ses origines. Les socialistes d'avant 1914 durant la Première Guerre mondiale, les opposants aux guerres coloniales, le mouvement Amsterdam Pleyel dans les années 1930 préfiguraient le mouvement pacifiste communiste et marxiste culturel d’après-guerre. Les « militants » de la paix d’aujourd’hui professent un «  pacifisme » qui n'est jamais assimilable à la non-violence et puis la «  paix » est une chose vraiment  trop sérieuse pour être laissée aux pacifistes, et encore moins aux gens de « gauche ».
Au sein de la gauche socialiste l'idée du XIXe siècle selon laquelle la guerre est un moyen inventé par les capitalistes pour diviser le monde ouvrier perdure; à ces idées internationalistes anciennes et obsolètes assimilant capitalisme et bellicisme, se greffe la thèse du criminel contre l’humanité Lénine, qui développe le concept d'impérialisme, export de la guerre comme seule solution d'expansion du capitalisme. Au-delà de ce pseudo pacifisme inconditionnel, le marxisme-léninisme forge les notions de « bonne guerre » ou « mauvaise guerre », à la façon des théologiens distinguant guerre juste ou injuste. Les bonnes guerres sont alors celles faites par le peuple, les guerres qualifiées de « patriotiques », de pseudo « libération », ou visant à renverser le capitalisme qui lui est à l'origine des « mauvaises guerres ». À partir de 1936, la même distinction apparaît à droite, « un peu par sympathie pour les régimes autoritaires, (Premiers dégâts du marxisme culturel) beaucoup par crainte d'être précipité dans une guerre par la gauche, pour des motifs idéologiques ». Les attributs des bonnes ou mauvaises guerres sont inversées : pour une grande partie de la gauche, seraient bonnes les guerres menées au nom d'idées telles que liberté, affranchissement ou lutte contre les guerres d'intérêt menées par les sois disant capitalistes. (Attention un patriote Français de souche même de condition modeste est toujours assimilé par ses gens là à un « capitaliste » si ce n’est un « facho » sans oublier un « raciste » !) Il est inquiétant pour l’avenir de notre pays que des idéologies criminelles contre l’humanité de type marxistes puissent encore sévir au 21 ème siècle ! »
Il est certain que le Mouvement de la Paix exemple de pur marxisme culturel mérite un peu plus d’attention :

A suivre en Partie 2.

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