Cassez vos télévisions.
Ami, entend tu le vol noir... Non je déconne ; ami, tu viens de lire quelques pages de déconditionnement et alors là ! Mince, tu te dis, mais bon sang, mais c’est bien sur ; ça y est je l’ai, le sida mental, je devient inconsciemment un marxiste culturel !
Rassure toi, tout est dans
le titre ! Jetez moi la téloche aux chiottes, balancez là aux poubelles et
informez vous !
La télévision tue le corps
et l'âme ! Sophie, 2 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela double ses
chances de présenter des troubles attentionnels en grandissant.
En février 2014 Alain
Lieury, chercheur en psychologie cognitive à l’ EUB (Université Européenne de
Bretagne) Rennes 2 et spécialiste de la mémoire a fait paraître dans une très discrète
revue spécialisée « Les Cahiers pédagogiques » une très intéressante
étude.
Un échantillon de 27.000
collégiens de classe de troisième ont été invités à répondre sur leurs loisirs
favoris et soumis en parallèle à des tests à base de QCM. (Questions pour Cons
Manipulés) Il s’agissait d’évaluer leurs performances en maths, lecture
compréhension et mémoire de connaissances.
Principale conclusion de
cette enquête : être scotché aux émissions de télé réalité ou aux séries
sentimentales, comme aujourd’hui 42% des ados, provoque une baisse notable des
performances scolaires. A savoir, -11 points pour les résultats en maths, et
-16 % pour l’acquisition des connaissances.
A quoi les ados
occupent-ils leur temps libre ? Tous les jours ou presque, ils écoutent de
la musique (79%), téléphonent ou envoient des SMS (78%), « surfent »
sur les réseaux sociaux (73%), regardent des émissions de télé réalité (42%),
regardent un film d’action (36%) ou enfin pratiquent un sport (26%).
La lecture est en chute
libre. 34% seulement disent lire un journal ou magazine d’actualité 1 à 2 fois
par semaine, 31% une BD ou manga, 16% des œuvres littéraires ou des romans.
Le même panel de
jeunes avait été interrogé en 2008, alors qu’ils étaient en classe de sixième,
ils étaient 60% à lire un ouvrage de SF ou un policier, trois ans plus tard,
ils ne sont plus que 24% !", s’alarme le chercheur.
Filles et garçons sont à
peu près aussi nombreux pendus à leur smartphone ou devant le Web, en revanche,
les accros à la télé réalité sont à 80% des filles. Une pratique qui donc fait
chuter les notes, « pour un élève moyen, celui qui n’en regarde jamais
aurait 12 sur 20, contre 8,4 sur 20 pour un élève qui en regarde tous les jours
ou presque, mais la chute des performances s’observe quelque soit le niveau
scolaire des élèves. » Et qui s’observe quelque soit le milieu
socioculturel, enfant de cadre, d'ouvrier, etc.
Alain Lieury voit deux
raisons principales. « Ce que l’on appelle le coût temporel : le
temps consacré à ce loisir prend celui qui devrait être consacré à autre chose.
Par ailleurs, la pauvreté du vocabulaire employé dans ces émissions. » A
peine 600 mots différents en moyenne contre 1000, par exemple, dans une bande dessinée,
et 27.000 dans les manuels scolaires.
Les jeux vidéo, souvent
mis en cause n’ont pas les mêmes effets négatifs, en revanche, ils ne
permettent pas d’augmenter comme l’avaient pensé certains chercheurs américains
la rapidité de raisonnement.
Quant aux livres, seuls
les lecteurs très réguliers, plus d’une à deux fois par semaines, en tirent
bénéfice sur le plan scolaire.
Aux États-Unis qui font
toujours les choses en plus grand, la télé rend idiot (au sens psychiatrique du
terme), mais aussi violent et gros !
En 1993 les études
universitaires américaines indiquaient que les effets de la télévision sont
désastreux pour le corps et surtout la tête, exclusivement abreuvée de
violence, de sexe et de « bouffe ». Principales victimes,
les enfants. La suite ici.
En février 2014 l’acteur
Vincent Cassel dira carrément: « Je pense que la télé rend
con » voir
ici.
C’est aux états Unis, mais
ce pourrait être chez vous, il suffit de remplacer Margot Smith qui a 8 ans par
Zobida ou Mohamed Da Silva un bon petit Français de « papier ».
Le matin, en prenant son petit déjeuner, paella merguez hamburger chocolat (supplément chantilly sur merguez demander à maman!) et avant de se rendre a l'école, elle regarde les émissions allah con du matin pendant une heure le temps d’ingurgiter sa bouffe de merde. L'après-midi, de retour de classe, elle suit les programmes pour « enfants » débiles pendant une autre heure. Et le soir, pendant le dîner, elle accumule deux autres heures si ce n’est trois ou quatre avant d'aller au lit. Total de la journée: 4 à 6 heures. Quatre heures d'émissions, pardon, de publicités (les dessins animes sont entrecoupes toutes les 3 ou 4 minutes par des spots de pub de merde) pour des céréales, des jeux violents ou des hamburgers.
Et vingt autres millions de petites Margot ont passe quatre heures devant la télé, de la côte est à la côte ouest. Que risque Margot a être ainsi collée à l'écran? L'université du Nouveau Mexique a découvert que l'activité de son métabolisme est comparable a celui d'un animal en hibernation: pas un muscle ne bouge, pas une cellule nerveuse en activité, hormis le strict minimum, a savoir le système optique qui transporte les images et le cerveau qui interprète le contenu, la plupart du temps totalement idiot et insipide. Autre découverte directement liée a cette inactivité, l'augmentation du taux de cholestérol, plus élevé chez les enfants qui regardent la TV au rythme de trois ou quatre heures par jour que chez les bambins qui jouent seuls ou en groupe, sans télé. Mieux, chaque heure accumulée devant la télé augmente le risque d'obésité de 2%. Mais ce n'est pas tout: regarder la télé pousse aussi le sujet a manger n'importe quoi, en fait le plus rapide a préparer, comme par exemple les hamburgers surgelés (!), dont le temps nécessaire a la cuisson est inférieur ou égal a la durée d'une pause publicitaire moyenne. « Les enfants qui passent parfois cinq heures sont les plus enclins à devenir obèses » a déclaré le Dr Strasburger.
Le matin, en prenant son petit déjeuner, paella merguez hamburger chocolat (supplément chantilly sur merguez demander à maman!) et avant de se rendre a l'école, elle regarde les émissions allah con du matin pendant une heure le temps d’ingurgiter sa bouffe de merde. L'après-midi, de retour de classe, elle suit les programmes pour « enfants » débiles pendant une autre heure. Et le soir, pendant le dîner, elle accumule deux autres heures si ce n’est trois ou quatre avant d'aller au lit. Total de la journée: 4 à 6 heures. Quatre heures d'émissions, pardon, de publicités (les dessins animes sont entrecoupes toutes les 3 ou 4 minutes par des spots de pub de merde) pour des céréales, des jeux violents ou des hamburgers.
Et vingt autres millions de petites Margot ont passe quatre heures devant la télé, de la côte est à la côte ouest. Que risque Margot a être ainsi collée à l'écran? L'université du Nouveau Mexique a découvert que l'activité de son métabolisme est comparable a celui d'un animal en hibernation: pas un muscle ne bouge, pas une cellule nerveuse en activité, hormis le strict minimum, a savoir le système optique qui transporte les images et le cerveau qui interprète le contenu, la plupart du temps totalement idiot et insipide. Autre découverte directement liée a cette inactivité, l'augmentation du taux de cholestérol, plus élevé chez les enfants qui regardent la TV au rythme de trois ou quatre heures par jour que chez les bambins qui jouent seuls ou en groupe, sans télé. Mieux, chaque heure accumulée devant la télé augmente le risque d'obésité de 2%. Mais ce n'est pas tout: regarder la télé pousse aussi le sujet a manger n'importe quoi, en fait le plus rapide a préparer, comme par exemple les hamburgers surgelés (!), dont le temps nécessaire a la cuisson est inférieur ou égal a la durée d'une pause publicitaire moyenne. « Les enfants qui passent parfois cinq heures sont les plus enclins à devenir obèses » a déclaré le Dr Strasburger.
Bouffe de merde pour GROS cons ! |
Si l'on passe au contenu
des programmes regardés par les enfants, on découvre alors l'étendue du
désastre. Par exemple, si on effectue un arrêt sur image dans la vie d'un
enfant de 16 ans, on apprend ainsi que depuis qu'il est en age de suivre les
programmes TV, il a assiste et enregistre 33.000 meurtres issus de 200.000
actes de violence (bagarres, tortures, scènes de ménage et autres violences
quotidiennes). Illustration pratique de l'influence des programmes télé, même
sur les bébés, ce record américain battu a Los Angeles en mai 93, celui du plus
jeune «criminel»: un garçon de 4 ans a vu le pistolet de son père sur
une chaise, s'en est saisi et a vidé le chargeur sur son cousin de 3 ans « pour
faire comme a la télé ». Rien d’étonnant à cela puisqu'il n'est pas
rare de voir des parents installer non seulement la télé, mais aussi le magnétoscope
dans la chambre des enfants, à peine âgés de 3 ans.
Quelle est la répercussion
de ces 200.000 actes de violence et de ces 33.000 meurtres dans la tête d'un
enfant devenu adulte? Pour le Dr Branden Centerwall de l'université de
Washington, les conséquences sont claires puisque selon lui, « l'augmentation
du nombre d'homicides est directement liée a l'introduction de la télévision
dans les salons ». Ainsi, entre 1945 (équipement télé des ménages 0%)
et 1974 (équipement 90%), le nombre des homicides a augmente de 93%. Certes,
aux États-Unis, la législation autorise la vente libre d'armes et avec 250
millions d'armes, le Dr Centerwall s'est dit que son chiffre, consternant, était
hors proportion. Il a donc effectue un recoupement avec un pays disposant d'un équipement
télé comparable a celui de l'Amérique mais ou les armes ne sont pas en vente
libre. Et il a trouve un chiffre identique au Canada ou le nombre d'homicides,
sur la même période, a augmenté de 92%.
En revanche, en Afrique du
Sud ou la télévision n'a été introduite qu'en 1974, le taux d'homicides avait
baisse de 7%, pour reprendre une inflation immédiate et galopante aussitôt après l'arrivée de la boite a images qui rend fou. Les juges américains des
tribunaux pour enfants ne savent plus comment rendre leurs verdicts, conscients
que l'esprit d'un enfant est encore plus impressionnable par la télévision que
celui d'un adulte. Illustration de leur dilemme, deux adolescentes, assez
grosses il est vrai, de 15 et 16 ans, après avoir vu un feuilleton ou deux élèves
réglaient son compte a un enseignant, ont voulu les imiter et ont plante un
couteau dans le ventre de leur professeur. Seul problème, elles ne savaient pas
qu'un couteau, aussi acéré soit-il, ne tue pas du premier coup, contrairement à
la télé.
Idem pour le sexe. S'il
est toujours impossible de montrer des scènes explicites, contrairement a
l'Europe, les producteurs ont réussi a détourner ces interdits et a aborder le
sexe par des chemins varies. Dernière avancée des producteurs d'Hollywood, dûment
constatée par le très sérieux magasine « Electronics Media »,
tout programme sulfureux qui, par la levée des boucliers qu'il provoque, attire
l'attention. Ainsi, dans un téléfilm « Killing me softly »
(Tue-moi doucement), traitant de l'euthanasie, on peut voir le mari dansant
avec le cadavre de sa femme, ce qui est une manière on ne peut plus originale
d'aborder la mort. Pour les adolescents, la masturbation et l'homosexualité représentent
un sujet vendeur et plusieurs séries encouragent directement les adolescentes,
non plus a essayer avec les garçons -trop banal-, mais avec les filles « pour
voir si c'est meilleur ». Avec le sexe omniprésent, 1,1 million d'Américaines
entre 15 et 19 ans se retrouvent enceintes chaque année et affrontent les pires
problèmes.
Et lorsque les ligues
morales accusent les dirigeants d'Hollywood de prostitution, ceux-ci rétorquent
que si personne ne regardait ce genre d'émission, jamais les studios ne les
produiraient. L'argument est aussi facile qu'hélas implacable.
Le processus entamé par contamination des idées marxistes culturelles, directement par la propagande de la télévision et de l’éducation nationale ou indirectement, via la jeunesse de l’époque a été un succès entier.
À tel point que Bezmenov
le dit : « C’est désormais un processus autonome, les Occidentaux font
le travail eux-mêmes ». Et d’ajouter « Si à partir de cet instant
précis, la jeunesse était à nouveau encadrée pour soutenir le patriotisme, la
foi, les valeurs morales, etc., il faudrait quinze à vingt ans pour qu’elle
commence à contrebalancer les effets de la subversion »
Nous pouvons donc dire que
le marxisme culturel est la caractéristique d'une époque de véritable
dissolution « sociale » et culturelle. Le « marxisme »
déjà à sa naissance ne sachant exactement quelle route suivre, s'attachait
mystiquement à l'apparence des faits qui naissent du mécanicisme d'une
période de désordre social et économique.
Fasciné par le mirage
économique de la théorie du mouvement, le marxisme étudiait spécialement
les effets d'un système de prétendues iniquités sociales sans remonter
aux causes. Dans un but spécialement politique, le marxisme entretenait
et entretient toujours l'équivoque, soit en ne faisant qu'effleurer le
sujet dont il paraît s'occuper, soit en passant sous silence les faits dont il
redoute l'examen.
Le marxisme, plus ou moins
orthodoxe ou le marxisme culturel marxisme, reposent sur des fictions ou des
utopies qui situent le socialisme dans le domaine du mysticisme.
Le marxisme culturel est
une Secte Païenne, prêchant l'Agnosticisme, qui orchestre théoriquement la
pratique totalitaire de la caste ce qui me fait dire que le marxisme est
une religion. Les journalistes et intellectuels auto proclamés en sont les
Grands prêtres ( comme Dieu les prêtres sont souvent Grands) et la télévision
la nouvelle église.
Déjà en 1921 Bertrand Russell, dans: “Theory and Practice of Bolshevism” écrivait:
"Le bolchevisme
combine les caractéristiques de la révolution française avec celles de l'essor
de l'islam.
Marx a enseigné que le
communisme était fatalement prédestiné à prendre le pouvoir ; cela
engendre un état d'esprit peu différent de celui des premiers successeurs de
Muhammad.
Parmi les religions, le
bolchevisme doit être comparé à l'islam plutôt qu'au christianisme ou au
bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions
personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de la contemplation.
L'islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont
le seul but est d'étendre leur domination sur le monde."
Imaginez vous un
journaliste du 20H00 vous faire cette déclaration ?
Non bien sur ! Rappelez
vous le mode d'emploi du Marxisme Culturel: « Organiser les intellectuels (Aujourd’hui
les andouilles ( et je reste poli) de journalistes de télévision sont devenus des « intellectuel »
si ce n’est des « peoples ») et se servir d'eux pour
pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue ».
Nous utilisons tous la
manipulation… Un jour ou l’autre, pour 97% d’entre nous sans forcément en avoir
conscience. Pour les 3% restants, en revanche, la manipulation bien comprise
est devenue une stratégie, un acte délibéré, c’est le cas de la plupart des
journalistes demeurés ou présentateurs télés. La manipulation leur procure une vraie
sensation de pouvoir, qui les rassure.
Vous
aussi vous pouvez le faire ! (Et le faire plait si ce n’est à repasser)
Revenons à nos
manipulateurs préférés d’aujourd’hui, les « journalistes » des
médias qui vous manipulent par l’angoisse et la violence.
Le principe de base déjà
étudié dans les années 1930, soutient qu'un individu en état de peur
manifesterait des réactions de fuite et d'évitement les plus primaires et donc
les plus prévisibles. Les fonctions complexes du cerveau, n'offrant pas de
solution immédiate, seraient désactivées, rendant l'individu manipulable dans
une situation d'extrême angoisse.
Le sujet terrorisé – comme
l'animal poursuivi par le chasseur – ne pourrait éviter les pièges qu'on lui
tend.
La terreur fut
effectivement utilisée depuis l’Antiquité pour assurer le pouvoir des despotes,
par la « méthode par l'exemple » appuyée par les
dénonciations, interrogatoires, enlèvements, disparitions et exécutions
aléatoires, etc. mais l'Histoire montre que la méthode n'a jamais été très
longtemps efficace, se retournant généralement après quelques années ou
décennies contre les manipulateurs.
Dès le début du XXe siècle,
H. L. Mencken, journaliste, écrivain, célèbre critique de la culture
américaine, considérait que « le but de la politique est de garder la
population inquiète et donc en demande d’être mise en sécurité, en la menaçant
d’une série ininterrompue de monstres, tous étant imaginaires ».
Aux States, John W. Dean,
ancien conseiller du président Richard Nixon, considère la politique de la peur
comme la marque exclusive des dictatures d'Amérique latine jusqu'au
gouvernement de Georges Bush. Selon Franck Furedi, professeur de sociologie à
l'université du Kent, auteur de « Politics of Fear »,
l’expression « politique de la peur » implique que des
politiciens manipulent volontairement les craintes des populations pour
réaliser leurs objectifs.
Cette politique est, selon
lui, devenue une des caractéristiques principales de la vie publique américaine
depuis le 11 septembre 2001. Elle a été particulièrement pointée dans les
actions de John Ashcroft qui, selon certaines analyses, comme celle du
président de l'International Center de l'université de Floride, n'aurait pas
laissé « la loi interférer avec ses actions » et aurait « préféré
faire appel de manière subliminale au racisme et à la xénophobie ».
Mais la politisation de la
peur ne date pas de 2001 et la menace que représente la possession, par certains
pays, de supposées armes de destruction massive était déjà brandie depuis les
années 1990. L'expression avait même été utilisée dans les années 1970 pour
désigner le maccarthysme et auparavant pour le « péril jaune »
ou la propagande du régime socialiste national dit « nazi » les
fameux « fachos » ou la propagande soviétique.
Plusieurs médias du
Royaume-Uni utilisaient la même expression, affirmant que cette politique avait
rapidement été adoptée par le gouvernement de Tony Blair. Selon certains
journalistes, elle serait même adoptée par le Hezbollah, pour une cause
différente. Selon d'autres études, l'Australie aurait également eu recours à
une politique de la peur dans sa bonne gestion de l'immigration.
Dans son ouvrage Risque :
la science et les politiques de la peur, Dan Gardner, développe l'idée que
notre évaluation des risques et les actions que nous entreprenons pour nous en
protéger ne sont pas rationnelles mais émotionnelles et provoquées par les
médias et les politiciens.
Dans la société
américaine, comme en Europe, les médias lobotomisés par le marxisme culturel représentent
le pouvoir le plus puissant mais aussi le plus incontrôlable. Ils diffusent des
sentiments de crainte, d'insécurité et de violence en toute connaissance
de cause.
Regardez ;
au Canada, une récente étude publiée
dans le Journal of Consumer Psychology,
suggère qu’un consommateur apeuré est plus attiré vers la marque qu’on lui
présente au même moment; nous avons vu que cette méthode de manipulation était
connue et déjà étudiée dans les années 1930.
Nos joyeux « scientifiques »
Canadiens se sont enfin aperçus que les journaux télévisés, depuis cinquante
ans, possèdent une très forte composante d’informations angoissantes. Au point
que cela a été étudié par un psychologue, George Gerbner, qui a constaté que
cette déformation systématique conduisait à une perception du monde comme un
endroit fondamentalement dangereux, ce qu’il nomma syndrome du Grand Méchant
Monde. Maintenant, on sait que le Grand Méchant Monde ou GMD fait vendre. On savait déjà qu’il rendait con.
Deuxième application, la publicité. Car les publicités pratiquent cet art de faire peur ou d’angoisser légèrement, pour proposer ensuite la marque comme valeur refuge. Exemple avec cette pub récente pour Caca Collé : Cliquez ici
Ici, les émotions négatives et la marque sont franchement réunies sur le même support. Waouuuu ! Superbe ! Du bon, du pur MC (Marxisme Culturel) qui rend bien bien con ! Remarquez qu’avec les ricains il y a moins de travail qu’avec des Français.
Le dispositif utilisé est très simple. Prenez un consommateur potentiel, et mettez-le devant un écran de télé. Puis, faites-lui voir des vidéos angoissantes ou des catastrophes au lourd bilan humain. Pendant le temps du visionnage, laissez dans son champ visuel un produit de marque (par exemple, une bouteille de Ricard). Ensuite, mesurez l’attachement de la personne à la marque Ricard (Merci pour les 12 bouteilles comme d’ab).
Vous verrez, que l’attachement émotionnel du consommateur à la marque a augmenté après le visionnage. Allez, assez de malheurs, putain con, vite un p’tit jaune (un RICARD) et buvons tous au trou de la sécu et à ceux qui le creuse !
Reste à expliquer pourquoi. En psychologie, il arrive que les explications de comptoir soient les bonnes. Alors, vous pouvez deviner. Quand un pauvre consommateur est effrayé, que fait-il ? Il cherche à se rapprocher de ses… amis et d’une bonne bouteille de 51 ( Ou de Pernod, si ce n’est d’excellent Ricard). Mais quand ses amis ne sont pas là, il se rapproche de n’importe quel objet pouvant être investi d’une charge symbolique ou émotionnelle. Par exemple, une bouteille de Pastis Duval, non je déconne, de Ricard bien sur !
Mais en psychologie, même les hypothèses de comptoir (Allez patron, une tournée de Ricard pour tout le monde) se doivent d’être vérifiées. Aussitôt dit, aussitôt fait : ont a donné à certains cobayes la possibilité de se rapprocher de leurs amis juste avant l’expérience, par exemple en les contactant par téléphone. Ce lien affectif étant consolidé, ils constatent que le transfert émotionnel vers la marque n’a pas lieu. CQFD : consommateur effrayé = consommateur en quête de réconfort. Et le réconfort, c’est le Ricard pur et sans eau.
Cynisme oblige, nos gais scientifiques qui ont découvert l’eau chaude concluent que cette méthode de manipulation des « masses » laborieuses et populaires marche spécialement bien avec les personnes isolées, qui n’ont pas d’amis. Le Ricard peut alors jouer le rôle d’ami de substitution... CQFD
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