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jeudi 22 janvier 2015

Le marxisme culturel par l’exemple. 1.


Le mouvement de la paix.

        
Il était une fois…..

Balzac a écrit: « Il y a deux Histoires : l'Histoire officielle, mensongère, qui nous est enseignée, et l'Histoire secrète où se trouvent les vraies causes des événements, une Histoire honteuse ».

Cet ouvrage prouve que le Marxisme Culturel (MC) existe bel et bien et dans des proportions alarmantes: il le prouve à partir de documents implacables. C’est une arme de combat, même si, pour l’instant sa diffusion reste limitée, car les hommes de ce temps préfèrent le mensonge à la vérité. Et pourtant, ce que confiait  Lénine à Bakou, en 1919, va bientôt se réaliser… « La crise économique et la crise sociale… telle que l’Europe tombera comme un fruit mûr. ».

Oui cela est bel et bon mais me direz vous comment en êtes vous arrivé à votre affirmation péremptoire : « Le Marxisme Culturel existe » ?

Le MC existe bonnes gens par ce que je l’ai rencontré ! Oh bien sur cela ne c’est pas fait en un jour, le MC n’est pas enseigné dans les « écoles »  de la « raie » publique. La preuve, en 2011 si j’en avais déjà une idée précise Cliquer ici pour : Le Marxisme Culturel quesaco ? il m’a encore fallut plus de quatre ans pour affiner ma pensée et réunir des preuves. Je dois ici particulièrement remercier le MRAP des Landes et monsieur MRAP40 de l’aide qu’il m’a apportée.

A cette époque c’était à cause d’un commentaire de Blog ; Une dénommée « Math », joli pseudo d’enseignante lobotomisée (et pas sodomisée hein ! Quoi que l’un n’empêche (à la ligne) pas l’autre) à écrit : « (…)  je suis allée jeter un œil (Comme Le Pen, n’a qu’un œil l’ enfeignante) aux écrits du monsieur avec plein de noms de famille... (Non non, madame, un seul nom de famille : Labet, le reste n’est que le nom de terres nobles que notre illustre famille a possédées, la prochaine fois appelez moi monsieur le baron. En effet mon nom complet est Michel Alain Labet, Baron de Laval, sieur de Bornay, Saint Maur, Courbette et autres terres) et une question me taraude... (Hé ben ; une question vous tourmente de manière lancinante au point de vous faire souffrir vivement, m’étonne plus de rien moi venant des marxistes !) Qu’est-ce qu'ils ont tous avec cette histoire de "marxisme culturel"?? Je ne comprends absolument pas de quoi il s'agit. J'ai lu peut-être pas tout mais une majeure partie des œuvres de Marx, j'ai étudié le marxisme, je l'enseigne aussi... mais alors ce trip (sic ?) (En tout cas ce n’est pas le Français, qu’elle enseigne la madame ! Elle doit fumer la moquette non ?), d'associer Marx à quoi? La « décadence? » Dans la plus pure tradition des ligues d'extrême-droite? Ça m'échappe complètement.
M'enfin, je suis pas sûre d'avoir envie d'aller y fouiller plus avant, à bien y réfléchir».

Bien que l’on ne puisse faire boire un âne qui n’a pas soif, m’enfin « Gaston », je vais lui expliquer tout bien tout bien, en bonne francesse, ce que donc de quoi que je cause et ce que à quoi que je pense ( Donc j’essuie) au sujet du marxisme culturel ou MC, ( Faut ce mettre à niveau des collectivistes enseignants Das Kapital, qu’ils n’ont pas lu et dont l’antisémite  Marx n’a écrit qu’un tiers, le reste étant de l’homophobe Engels !) si ça lui fait pas de bien, à peu pas lui faire de mal vingt guieu, un peu de culture et ne sortez pas votre revolver mam ! Et puis bon, il faut abréger votre souffrance, on achève bien les chevaux !

Par chez nous, oïl oua  (C’est du franc comtois), dans nos vertes et ensoleillées contrées du pays des doigts de l’homme dans le centre d’union Libertarien tout à commencé en fin 1958 avec la constitution de la 5éme république ou à l’article premier on peut lire : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale » c’est beau non ?
C’est le genre de « truc » dont tout le monde se fout comme de sa première masturbation intellectuelle me direz vous. Ben non ; car le dernier mot, le mot « social » de cette petite phrase va tout conditionner !
Social ; un terme fourre tout, sans signification mais qui sert à empêcher toute réflexion. Ainsi, l'économiste autrichien Friedrich Hayek écrivait-il en 1957 dans ses Essais de philosophie, de science politique et d'économie, que « l'adjectif social est devenu un mot qui ôte à toutes les expressions tout sens clair ».
L’utilisation à outrance du terme « social » induit une déresponsabilisation des individus au détriment des hommes libres.

Vous allez bien sur me dire que le mot « démocratique » précède le mot « social »,  alors nous dirons que la France de la cinquième république est une sociale démocratie une tendance assez nauséabonde du socialisme. En France, l'appellation a été récemment employée par monsieur  le président Hollande pour définir sa politique.

Les démocraties « sociales » sont loin, très loin de la véritable souveraineté populaire. Ainsi, aujourd'hui encore, il n'existe pas de définition communément admise de ce qu'est ou doit être la démocratie. Certains, comme Jean-Jacques Rousseau, considèrent que la démocratie ne peut être que directe : « La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée; elle consiste essentiellement dans la volonté générale et la volonté générale ne se représente point ».

Lorsque vous votez amis, vous avez l’impression de choisir entre la gauche ou la droite. Hors c’est faux ! Vous votez pour plus ou moins de « social » point barre ! Vous n’avez pas le choix, en fait vous êtes en démocratie « populaire » pléonasme étymologique si il en est, mais tellement symptomatique du lavage de cerveau Marxiste Culturel ou MC.

Les réseaux dormants staliniens et trotskistes ne vont pas tarder à réaliser la dernière étape du plan soufflé à Lénine… Ceux qui savent décortiquer les informations ont déjà remarqué une vive inquiétude de la part de certains gouvernements européens. Cet ouvrage, est une clé dans la lecture de l’actualité d’aujourd’hui et de demain.
Encore une fois certains vont dire : « oui d’accord mais on ne vous a rien demandé, et si ça nous plait à nous d’êtres lobotomisés et de trouver ça sympa ! ».

Un exemple de lobotomisés qui trouvaient çà « sympa » : Mars 1956 : massacre des nostalgiques du Stalinisme en Géorgie ! Le 9 mars 1956, la Géorgie se soulevait contre la déstalinisation.
Le fameux rapport « secret » de Nikita Khrouchtchev dénonçant les abominables crimes contre l’humanité de Staline, à l’issue du 20e Congrès du PC soviétique, le 25 février, avait bouleversé la population de lobotomisés en Géorgie. Les dirigeants communistes prirent connaissance du texte du rapport le 5 mars (3e anniversaire de la mort de Staline). Les rues de Tbilissi (Appelée traditionnellement Tiflis), Kutaisi, Telavi, Gorki étaient déjà pleines de foules d’étudiants et de membres du Parti en colère.
(Les communistes Géorgiens n’avaient pas moins souffert des sanguinaires répressions staliniennes que d’autres peuples de l’URSS. Mais à leurs yeux, les mérites de Staline, bâtisseur de l’Union et vainqueur du socialisme nationaliste, l’emportaient sur ce qu’on pouvait lui reprocher. De plus, la Géorgie soviétique, qui avait largement conservé sa langue, ses traditions, sa fierté nationale, ressentait la condamnation, à Moscou, du « Guide » d’origine géorgienne, comme une atteinte à leur dignité nationale. La foi imbécile communiste et stalinienne restait intacte dans une partie non négligeable de la population.)
Des protestations de rue avaient déjà commencé le 3 mars. Il y eut à Tbilissi, la capitale, quelque 70 000 manifestants, avec beaucoup d’anciens combattants de la Seconde Guerre mondiale. Les slogans étaient : « A bas Khrouchtchev ! », « Avec Lénine et Staline, en avant vers le communisme ! ». 
Des témoins se souviennent : des camions sillonnaient la ville, plein de gens brandissant des drapeaux rouges avec faucille et marteau SVP et des portraits des dirigeants de la révolution d’Octobre 1917. On chantait l’hymne géorgien soviétique, on disait des poèmes, on écoutait des écrivains communistes célèbres, des « savants », des étudiants « pionniers » du socialisme, des vétérans, des ouvriers et autres commissaires politiques craignant pour leurs places de privilégiés.
Il semblerait que le dirigeant chinois Chu Deh, compagnon de Mao, et délégué chinois au 20ème Congrès, se trouvait à Tbilissi. Des milliers de manifestants se seraient adressés à lui, demandant de « défendre le nom de Staline ». On dit que le maréchal « salua les étudiants » et qu’un membre de la délégation chinoise prit la parole lors d’un meeting. (Ce qui paraît incroyable, car un tel geste constituait une provocation à l’égard du PCUS, dont les Chinois étaient les invités. Mais on sait que la déstalinisation fut réprouvée à Pékin)
Les nostalgiques du Stalinisme géorgiens exigeaient la démission de Khrouchtchev et la formation d’un nouveau gouvernement.


Les forces armées pacifistes et humanistes du peuple entrèrent en action le 9 mars vers minuit. Qui donna l’ordre ? C’est resté secret (Pour l’instant, mais il semble bien que l’ordre sois venu directement de Moscou). Des camarades soldats firent feu. Il y eut « officiellement » 27 morts progressistes. Un autre bilan fait état de 6 à 7000 morts humanistes. Source : « Il était une fois l'URSS de Dominique Lapierre, photos de Jean-Pierre Pedrazzini (Pedra tombera en 1956 place de la République à Budapest sous les humanistes balles d’une mitrailleuse communiste progressiste alors qu'il couvrait la révolution anti totalitaire. Rapatrié à Paris, il succombe à ses blessures le 7 novembre 1956) le livre est sorti en 2005 à partir de leur voyage en URSS et à Tbilissi en particulier ou il seront en Avril 1956 ». Il y eut aussi 375 arrestations, dont 34 membres du PC et 165 komsomols. 39 seront jugés et finiront au goulag progressiste.  

Voilà, je suis grand père et je ne voudrais pas qu’à la démarxisation qui ne manquera pas d’intervenir un jour, mes petites filles meurent sous les balles « socialistes » ? Je crois sincèrement à la fin de ce système marxiste culturel, il est donc  essentiel pour moi d'avertir mes contemporains, non seulement par amour du prochain, mais aussi pour éviter de me rendre coupable d'une « dette de sang » (c'est-à-dire me rendre coupable de non-assistance à personne en danger).

Commençons donc par : la Symphonie en rouge majeur, une thèse parue sous la forme de mémoires dans les années 1950 en Espagne franquiste et attribuée à Josef Landowski qui donne un résumé de l’interrogatoire de Christian Georgiévitch Rakovski (né Khristo Gheorghev Stantchev) ancien chef du gouvernement de la République socialiste soviétique ukrainienne. Il prit part à la conférence de Gênes en 1922. Il fut ambassadeur soviétique à Londres et à Paris. Il s’opposa à Joseph Staline et rallia l’Opposition de gauche (Trotskiste). Se soumettant à l’autorité de Staline en 1934, il fut brièvement réintégré. Rakovski fut néanmoins impliqué dans le procès des vingt et un (une partie des procès de Moscou), emprisonné et exécuté par le NKVD pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce qui suit est le contenu de son interrogatoire par le NKCD : « Rakovski commence par argumenter que si Karl Marx connaissait les contradictions du capitalisme, c'est qu'il connaissait ceux qui les produisaient en son sein. Il théorise ensuite une alliance entre la finance internationale (qu'il affuble du sobriquet « d'Internationale capitaliste » ou « Kapintern » (Aujourd’hui plus connu sous le nom de Forum Économique Mondial) et l'Internationale communiste (Komintern). Il ajoute que Marx, dans ses écrits, est manifestement passé à côté d'un phénomène économique qui pourtant fascinait les gens de son époque: l'immense accumulation du capital des 5 frères de la famille Rothschild. Il précise qu'ils sont 5, tout comme les 5 branches de l'étoile rouge soviétique. (Amschel Mayer Rothschild, Salomon Mayer Rothschild, Nathan Mayer Rothschild, Kalmann Mayer Rothschild, James de Rothschild). » Pour Rakovsky, ces deux entités, quasiment sœurs jumelles de l’asservissement des peuples, l'une prônant le cosmopolitisme (car le capital n'a pas de frontières) et l'autre l'internationalisme (car le prolétariat n'aurait pas de frontières lui aussi) sont là pour provoquer la destruction de l'état-nation.

Un Etat nation est faut il vous le rappeler amis, un concept théorique, politique et historique, désignant la juxtaposition d'un État, en tant qu'organisation politique, à une nation, c'est-à-dire des individus qui se considèrent comme liés et appartenant à un même groupe. C'est donc la coïncidence entre une notion d'ordre identitaire, l'appartenance à un groupe, la nation, et une notion d'ordre juridique, l'existence d'une forme de souveraineté et d'institutions politiques et administratives qui l'exercent. Ce n’est plus le cas en France actuellement, la France est un état socialiste marxiste culturel internationaliste en aucun cas un état Nation.

Dès le début on s’aperçoit que le marxisme culturel internationaliste (MCI) ne dérange aucunement le cosmopolitisme capitaliste au travers d’une « sociale démocratie », car d’une part il ont des buts communs (Immigration effrénée pour abaisser le coût de la main d’œuvre dans le monde occidental et création d’un sous prolétariat inculte facilement manipulable d’une part et d’autre part le « socialisme » ne pouvant prospérer que dans une économie capitaliste performante avec la création d’une nomenklatura chargée de diriger les « peuples »). En France en particulier plus rien ne distingue les idées de la gauche de celle de la droite (Bande des quatre ou UMPS, aujourd’hui l’UMP n’est qu’un parti socialiste de droite très modéré) ; L’ensemble de la presse et des médias est inféodé au Marxisme Culturel, tout comme la justice. J’irais même jusqu'à dire que la droite nationaliste ou Front National est de plus en plus contaminé par ces concepts utopiques !

Idées ou concepts profondément Marxistes Culturels dont il convient de se faire une « idée » saine.
Une définition succincte est donnée par wikipédia: « Le marxisme culturel est une forme de marxisme qui analyse le rôle des médias, l'art, le théâtre, le cinéma et les institutions culturelles de la société en mettant de l'emphase sur les luttes de genres, de classes et d'ethnies. Formulé par l'école de Francfort et Herbert Marcuse, il aurait contribué à la montée de la rectitude politique en Occident. Il s'agit d'un moyen culturel et non révolutionnaire pour revendiquer l'abolition des classes et l'égalitarisme absolu».

Aux états unis, le Marxisme Culturel serait seulement aujourd’hui selon certains « penseurs » et « intellocrates » qui veulent limiter l’impact des informations sur la réalité et l’ampleur du marxisme culturel, un terme en lien avec essentiellement la prétendue « théorie du complot » (Personnellement je ne qualifierais pas la propagation de l’idéologie MC (Marxiste Culturelle) de théorie du complot, car d’un point de vue de certains Marxistes Culturels ou « observateurs » en sciences ( ?) « sociales », la théorie du complot tend à se soustraire à la réfutation, toute démonstration contraire pouvant être interprétée comme un faux réalisé par des conspirateurs, et discrédite donc les explications dites officielles, établies par les pouvoirs publics Marxistes Culturels et relayées par les médias d'information tout autant MC. Pour certains Marxistes Culturels distingués, ce serait un concept aux limites floues, dont l'usage abusif viserait à déconsidérer leur thèse), nous dirons donc plutôt propagande idéologique marxiste de Lénine, théorisées et diffusées essentiellement par l’école de Francfort  Voir ici (C’est en Anglais mais démerdenzizich) visant à subvertir les valeurs chrétiennes et les normes culturelles traditionnelles de la société occidentale. Nous verrons que cette présentation est succincte et qu’elle occulte (Volontairement ?) la dimension marxiste léniniste fondamentale (comme le complot dit de la Symphonie en rouge majeur  et les idées soufflées dans l’oreille complaisante de Lénine par Willy Münzenberg  notamment  celle-ci : «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue», dimension fondamentale à prendre en compte dans la compréhension du phénomène, touchant toute les relations humaines.  

L'historien William S. Lind ou Patrick Buchanan, ont affirmé en outre que le marxisme culturel est une souche dominante de la pensée au sein de la gauche américaine, (occultant aussi par là sa dimension « internationaliste » de prise du pouvoir mondial) destinée à promouvoir la désagrégation de la culture occidentale. Il est aussi évident que le multiculturalisme avec les invasions immigrationnistes n’est qu’une excroissance du marxisme culturel pour détruire les cultures traditionnelles intrinsèques à la société occidentale pour les remplacer par des sous cultures permettant le contrôle plus facile des « peuples ».


Tout d’abord un constat s’impose, les Marxistes internationaliste et mondialistes d'hier ont beaucoup de difficultés à trouver aujourd'hui des « prolétaires » ou des « opprimés » pour soutenir leurs visées révolutionnaires ou dans le cas des « capitalistes » asservir les « masses » de moins en moins laborieuses (Celles qui font le boulot pour des salaires de misère et des retraites de merde), et l’un comme l’autre vous prendre pour des imbéciles!
Pour récupérer le soutien « populaire », les Marxistes Culturels d’aujourd’hui doivent étendre la prétendue défense des « prolétaires » aux « nouveaux prolétaires » que sont désormais les femmes à protéger contres les « hommes machistes » (Sauf dans le cas de l’Islam conquérant mais ceci est une autre histoire); les étrangers contre les «nationaux racistes» ; les homosexuels contre les « homophobes » ; les « humanistes, tolérants ; pacifistes et démocrates » contre les « Chrétiens nationalistes et  réactionnaires » ; les délinquants et autres racailles antisémites et albophobes contre la « police violente et agressive » ; comment procéder : pour y arriver, les Marxistes culturels doivent accuser leurs ennemis de racisme, d'antisémitisme, d'homophobie, de fascisme, de nazisme, de conservatisme ; avec quel outil : l’idéologie du « politiquement correct » qui réduit le champ de la liberté d’expression, exclut la mention de certains thèmes dans le débat public et partant empêche toute critique du Marxisme Culturel; pourquoi agir de la sorte : l'objectif des Marxistes culturels est de discréditer la nation, la patrie, les hiérarchies, l'autorité, la famille, le christianisme, les valeurs, l'ordre et la morale pour favoriser l'émergence d'une « nation mondiale ultra égalitaire et multiculturelle sans âme ni racine ». Cela bien sur avec l’aide des ex Mass Médias (Devenues aujourd’hui de simples médias ou ensemble des moyens de diffusion de masse (Organisations de « masse »= base de l’idéologie marxiste) de l'information, de la publicité et de la culture, c'est-à-dire des techniques de propagandes et des instruments audiovisuels et graphiques, capables de transmettre rapidement le même message à destination d'un public très nombreux et très très peut « cultivé ».
 
Des preuves évidentes attestent aujourd’hui de la justesse de cette analyse. Le pouvoir des élites auto proclamées de Bruxelles ou de Washington composées de « gens non-élus et apatrides » témoigne du nouveau gouvernement mondial en place; le « dogme de la société multiculturelle » dont on ne peut dire que du bien « sous peine de poursuites judiciaires » témoigne de la toute-puissance des organisations antiracistes tel en France le Mouvement de la Paix, le Front de Gauche, le MRAP ( Marxistes Racistes Antisémites et Populaires)  qui distille de la haine des juifs Cliquez ici qui sont l'avant-garde de la « révolution » ; et enfin, la présence de populations étrangères sur le sol européen et américain démontre l'arrivée « massive, organisée et volontaire des nouveaux prolétaires », les « nouveaux clients » et futurs esclaves des « Marxistes culturels ».


Rakovski théorisait précédemment une alliance entre la finance internationale (qu'il affuble du sobriquet « d'Internationale capitaliste » ou « Kapintern » (Aujourd’hui plus connu sous le nom de Forum Économique Mondial Ici) et l'Internationale communiste (Komintern Ici). L’IC n’existe plus (seules ses idées demeurent) mais il existe encore une Internationale Socialiste Ici.
Ami de Trotski, Christian Rakovsky qui était considéré comme un anarchiste en 1895 lorsqu’il est expulsé de Prusse a été très influencé par les œuvres de Bakounine. Au milieu du XIXe siècle, lors de la controverse entre marxistes et anarchistes, Bakounine profèrera sa théorie du complot juif que l’on attribue très injustement aux idées socialiste nationalistes d'Adolphe Hitler: « Tout ce monde juif, constituant une secte unique exploitante, une sorte de peuple suceur de sang, une sorte de parasite organique collectif et destructeur, s'étendant non seulement au-delà des frontières des États, mais de l'opinion politique, ce monde est maintenant, au moins en grande partie, à la disposition de Marx, d'une part, et de Rothschild de l'autre [...] Le fait est que le socialisme autoritaire, le communisme marxiste, exige une forte centralisation de l'État. Et là où il y a centralisation de l'État, il doit nécessairement y avoir une banque centrale, et là où existe une telle banque, est la nation juive parasitaire, spéculant sur le travail des peuples » .

C’est à mettre en parallèle bien sur avec les thèses de Rakovski : « … Karl Marx connaissait les contradictions du capitalisme, c'est qu'il connaissait ceux qui les produisaient en son sein. Il théorise ensuite une alliance entre la finance internationale (qu'il affuble du sobriquet « d'Internationale capitaliste » ou « Kapintern » (Aujourd’hui plus connu sous le nom de Forum Économique Mondial) et l'Internationale communiste (Komintern).
Néanmoins ; Attention ! Pour ceux qui croiraient en la fin de l’histoire de l'Internationale communiste et la victoire absolue du capitalisme cosmopolite (ce qui à tout prendre est préférable aux asiles psychiatriques et aux goulags) suite à l’effondrement de l’URSS, un détour par les allées du village international de la Fête de l’Huma, Ici en 2013 suffirait à leur prouver que l’idéologie marxiste est toujours bien vivante et que la peste rouge se porte encore assez bien. Plus grand rassemblement communiste en Europe, la Fête de la haine rouge dite de l’Humanité est devenu un rendez-vous annuel incontournable pour les « camarades » du monde entiers et pour les abrutiles, « fête » ou des excités et des extrémistes marxistes culturels côtoient les intellocrates les plus pourris dans une belle cacophonie de la haine.


De plus pour les naïfs, les gogos ou les pas encore trop lobotomisés par le « système » MC allez voir les idées actuelles des membres du gouvernement de la France en 2014 : Pour voir cliquer ici : Un petit extrait peut vous convaincre que les « idées » obsolètes de la fin du 19ème siècle marxistes du manifeste du parti communiste sont toujours en vigueur au début du 21ème siècle : « Le but de l’action socialiste est et la sauvegarde de la planète. [...] L’égalité est au cœur de notre idéal. [...] La redistribution permanente des ressources et des richesses est nécessaire pour donner une réalité à l’égalité des droits, offrir à chacun les chances de conduire sa vie, et réduire les écarts de conditions. [...] Le progrès, synonyme d’amélioration de la vie humaine, est une valeur fondamentale pour les socialistes. [...] Le Parti socialiste est un parti réformiste. Il porte un projet de transformation sociale radicale. [...] Le Parti socialiste est un parti internationaliste. Etc. etc. » (Notons que leurs pseudos adversaires politiques dit de « droite » de style UMP ne trouvent rien à dire à ce programme pour le moins marxiste culturel utopique).


Du pur marxisme léninisme dans le texte ! Une abomination intellectuelle ! Concept idéologique qui fit au XXème siècle  150 000 000 de victimes dans un véritable « génocide de classe » bien supérieur au « génocide de race ».
Proudhon, qui fut le premier à se qualifier d'anarchiste disait :"Le communisme, pour subsister, supprime tant de mots, tant d'idées, tant de faits, que les sujets formés par ses soins n'auront plus le besoin de parler, de penser, ni d'agir : ce seront des huîtres attachées côte à côte, sans activité ni sentiment, sur le rocher de la fraternité. Quelle philosophie intelligente et progressiste que le communisme !"…

William Lind un américain diplômé du Dartmouth Colle et de l'Université de Princeton, a obtenu en 1971 une maîtrise d’histoire. C’est un « intellectuel » expert militaire. Dans son livre « What is ‘Political Correctness’ ? », il évoque la toute-puissance d’une « nouvelle idéologie d’état » aux États-Unis qu’il nomme le « Politiquement correct » (« Political Correctness ») et qu’il associe immédiatement au « Marxisme culturel », c’est-à-dire au Marxisme « transféré du domaine économique au domaine culturel », comme déjà théorisé depuis les années 30 par Christian Rakovski. Lind établit plusieurs parallèles entre le marxisme classique (économique) et ce qu’il appelle le marxisme culturel. Les deux, explique-t-il, visent une société sans classe, les deux sont des idéologies totalitaires comme en témoigne « la nature totalitaire du politiquement correct » qui sévit sur les campus universitaires et qui a « éliminé la liberté d’expression, de la presse et de la pensée ». Les deux « marxismes » s’appuient sur une seule cause pour expliquer l’histoire, le marxisme économique considère que l’histoire est déterminée par « la possession des moyens de production » alors que le marxisme culturel considère que l’histoire s’explique en établissant « quel groupe (sexe, race, orientation sexuelle, etc.) a le pouvoir sur quel groupe ». Ensuite explique Lind, les deux marxismes ont la particularité de « déclarer certains groupes » comme vertueux et d’autres comme « monstrueux » : le travailleur et l’ouvrier sont vertueux dans le marxisme économique (contre le « bourgeois exploiteur ») au même titre que la minorité raciale albophobe, sexuelle ou ethnique dans le marxisme culturel est vertueuse contre l’homme blanc par nature « sexiste, machiste et raciste ». Enfin Lind considère que les deux marxismes se caractérisent par l’expropriation. Le marxisme économique vise à exproprier les riches et les bourgeois, le marxisme culturel punit par des impôts de plus en plus lourds, de nouvelles taxations, de lourdes amendes et par des lois injustes tous ceux qui n’adhèrent pas à la nouvelle idéologie. Et Lind de citer la discrimination positive aux États-Unis (affirmative action) comme un moyen parmi tant d’autres pour favoriser les minorités dites « vertueuses » au détriment des hommes blancs.


De nombreuses personnes me posent souvent la question par courriel: Mais qu’est ce donc que ce fameux truc dont personne ne nous a jamais parlé que vous appelez marxisme culturel et dont vous nous rebattez les oreilles à longueur de pages internet ? (J’avais déjà répondu Ici mais c’était assez succinct) A travers le mouvement de la paix, le MRAP, le CCFD Terre solidaire et d’autres cochonneries tout aussi nidoreuses, toutes associations marxistes culturelles ; je me propose aujourd’hui de l’expliquer plus longuement.

C’est le CTECNA voir là : http://antisemitenonmerci.blogspot.fr/ qui avec plusieurs articles sur la question ouvrira le « Bal » ! Comme ici ou

Exemple d’un article dénonçant un groupuscule « Marxiste Culturel » Français : Antisémitisme à Mont de Marsan!


 « C’est avec stupeur et consternation que notre collectif a pris connaissance d’un article du 15/07/2014 dans le  journal Sud Ouest intitulé «Des associations landaises appellent au boycottage » (Ici), celui ci annonçait que des « organisations » ( Le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) lançaient, avec le Mouvement de la paix, le CCFD (Comité catholique contre la faim et pour le développement) et Palestine 40 (de l’AFPS « association satellite du PCF ») et mettaient en place dans les Landes le système de boycott désinvestissement sanction (BDS): Encore une fois le journal Sud Ouest se faisait le porte parole du MRAP, mouvement qui distille de la haine des juifs ! Source.
Aujourd’hui intéressons nous au « mouvement de la paix ».
Le Mouvement de la paix est en France, une organisation dite de « masse » satellite du PCF se disant « pacifiste » (Sans rire) qui s'inscrit dans la promotion du marxisme culturel initié par l’ex URSS et le socialisme international. Cliquer ici.
Présenté comme le MRAP comme apolitique, le Mouvement de la paix s’inscrit en fait dès sa naissance dans une stratégie de politique extérieure soviétique. La défense de la paix doit permettre d’ériger l’URSS marxiste en « championne de la paix », par opposition aux États-Unis, « fauteurs de guerre ».

Comme le MRAP, dont il est le rouge jumeau, le mouvement ex « de masse » stalinien dit de la « Paix » à une présidence collective comme dans l’ex URSS ou elle est détenue conjointement par tous les membres d’un sorte de præsidium du Comité central exécutif. Tous bien évidemment des « militants de la paix ». L’expression contradictoire de «  militant pacifiste » définit cette forme marxiste culturelle comme du « pacifisme ». Il consiste en un « engagement » pour sois disant la « paix » qui a quelque chose de très guerrier. On marche pour la paix comme un peu comme on marche à la guerre. Le chinois Sun Tzu a dit : « L’art suprême de la guerre consiste à vaincre son ennemi sans l’avoir affronter » Le marxisme culturel est une « guerre » dont l’objectif est de détruire la nation, la patrie, les hiérarchies, l’autorité, la famille, le christianisme, les valeurs, l’ordre et la morale pour favoriser l’émergence d’une « nation mondiale ultra égalitaire et multiculturelle sans âme ni racine ».
Yves Santamaria dans son livre «  Le pacifisme, une passion française » nous apprend que le grand criminel contre l’humanité communiste Vladimir Ilitch Oulianov dit Lénine avait dévolu au « pacifisme » le rôle de « désagrégation de la bourgeoisie ». Le traitement de l’expression « lutte pour la paix » désigne dans la tradition « Kominternienne et stalinienne » et aujourd’hui marxiste culturelle, est, comme on vient de le voir, le traitements du paramètre « guerre ». 



Bon d’accord me direz vous mais le marxisme est mort avec le communisme. Que nenni mon « zami », c’est une erreur que les patriotes Français commettent souvent : croire que le marxisme est tombé avec le Mur de Berlin et le Bloc de l’Est. Voir ici. Rien n’est plus faux, aujourd’hui le marxisme alimente l’esprit public comme jamais. Il ne fait simplement plus usage des slogans de la propagande habituels tels que « Lutte de classes » ou « Dictature du prolétariat » qui ne trompe plus personne.
Cette propagande est devenue aujourd’hui la propagande marxiste culturelle, forme de marxisme et véritable arme de guerre véhiculée maintenant de la gauche à la droite pour détruire la culture occidentale et pour revendiquer l'abolition des classes et l'égalitarisme absolu formulé par d’abord Lénine puis Staline avec l‘aide de Münzenberg puis de  l'école de Francfort avec Herbert Marcuse et surtout Antonio Gramsci avec sa conception de l'hégémonie culturelle comme moyen du maintien de l'État dans une société capitaliste. Pour en savoir plus. Cliquez ici.
Willi Münzenberg, grand architecte de la Désinformation sous Lénine puis Staline, convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée, a défini l'objectif et donné le mode d'emploi du Marxisme Culturel: « Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat».
L’ex-agent du KGB Yuri Bezmenov explique beaucoup plus récemment après sa défection en 1970, la vaste stratégie de subversion de l’Ouest et des pays non-alignés par l’idéologie de la haine marxiste propagée par l’URSS. Qualifiant l’idéologie marxiste de « succédané de religion », elle véhicule de puissants mythes reposant sur une frustration des « masses » excitées par des agents d’influence. Ce vaste plan, Bezmenov le résume comme ceci :
« Une fois endoctriné, même devant des faits indiscutables, un individu continuerait à nier. Ce n’est qu’une fois le cul botté par le KGB qu’il comprendrait qu’il a été trompé ».


Souvent qualifiés à tord  de courants « post-marxistes », avec le féminisme Ici et l'écologie, le pacifisme qui selon une acceptation courante est la doctrine et l'action des partisans de la paix ou du rétablissement de la paix peut être qualifié aujourd’hui de pur « marxisme culturel » tout comme l’écologie, l’antiracisme et le féminisme. La vision du véritable pacifisme associé à une personne refusant le recours à toutes formes de violence est curieusement beaucoup plus répandue et c’est sur cela que jouent les marxistes culturels ; la confusion. Mais n’est pas le mahatma Gandhi qui veut ! Le « pacifisme » a toujours trouvé un grand écho dans la réflexion et surtout dans l’action communiste depuis ses origines. Les socialistes d'avant 1914 durant la Première Guerre mondiale, les opposants aux guerres coloniales, le mouvement Amsterdam Pleyel dans les années 1930 préfiguraient le mouvement pacifiste communiste et marxiste culturel d’après-guerre. Les « militants » de la paix d’aujourd’hui professent un «  pacifisme » qui n'est jamais assimilable à la non-violence et puis la «  paix » est une chose vraiment  trop sérieuse pour être laissée aux pacifistes, et encore moins aux gens de « gauche ».
Au sein de la gauche socialiste l'idée du XIXe siècle selon laquelle la guerre est un moyen inventé par les capitalistes pour diviser le monde ouvrier perdure; à ces idées internationalistes anciennes et obsolètes assimilant capitalisme et bellicisme, se greffe la thèse du criminel contre l’humanité Lénine, qui développe le concept d'impérialisme, export de la guerre comme seule solution d'expansion du capitalisme. Au-delà de ce pseudo pacifisme inconditionnel, le marxisme-léninisme forge les notions de « bonne guerre » ou « mauvaise guerre », à la façon des théologiens distinguant guerre juste ou injuste. Les bonnes guerres sont alors celles faites par le peuple, les guerres qualifiées de « patriotiques », de pseudo « libération », ou visant à renverser le capitalisme qui lui est à l'origine des « mauvaises guerres ». À partir de 1936, la même distinction apparaît à droite, « un peu par sympathie pour les régimes autoritaires, (Premiers dégâts du marxisme culturel) beaucoup par crainte d'être précipité dans une guerre par la gauche, pour des motifs idéologiques ». Les attributs des bonnes ou mauvaises guerres sont inversées : pour une grande partie de la gauche, seraient bonnes les guerres menées au nom d'idées telles que liberté, affranchissement ou lutte contre les guerres d'intérêt menées par les sois disant capitalistes. (Attention un patriote Français de souche même de condition modeste est toujours assimilé par ses gens là à un « capitaliste » si ce n’est un « facho » sans oublier un « raciste » !) Il est inquiétant pour l’avenir de notre pays que des idéologies criminelles contre l’humanité de type marxistes puissent encore sévir au 21 ème siècle ! »
Il est certain que le Mouvement de la Paix exemple de pur marxisme culturel mérite un peu plus d’attention :

A suivre en Partie 2.

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Le marxisme culturel par l’exemple. 2.




Le mouvement de la paix.


Histoire et mode d'emploi du Marxisme Culturel: « Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. » Willi Münzenberg

A la chute du communisme d’URSS en 1990, le mouvement de la paix,  privé de l’argent de Moscou décline très fortement jusqu'au niveau zéro. Jugez donc que par année fiscale, environ 3 millions de dollars US étaient transférés à la demande du Politburo du Parti communiste de l'Union soviétique de la Gosbank (banque d'État soviétique) au PCF et à ses satellites de la nébuleuse de la haine rouge.
Il est pourtant encore très actif dans le mouvement altermondialiste ( C'est-à-dire marxiste culturel) et les partenariats internationaux, il soutient en France « Mayors for Peace » (Maires pour la Paix est une organisation internationale des villes dédiées à la promotion de la paix qui a été créé en 1982 à l'initiative du alors maire de Hiroshima Takeshi Araki) et une bande d’idiots utiles,( Ici) le PNND « Parlementaires pour la non-prolifération et le désarmement nucléaire »  Voir ici. 
             .
Nonobstant, un néo mouvement de la Paix marxiste culturel pur jus, voit le jour en Septembre 2006 ici le siège est 139 boulevard Victor Hugo, 93400 Saint-Ouen (Ancienne commune emblématique de la Ceinture Rouge qui désignait les nombreuses municipalités communistes de la petite couronne. Saint-Ouen est avec Bobigny ou Le Blanc-Mesnil l'un des bastions emblématiques du communisme en Seine-Saint-Denis est tombé en 2008 au profit d’une fausse « droite » UMPS. Le taux de criminalité de la circonscription de police de Saint-Ouen est de 153,39 actes pour 1000 habitants (crimes et délits, chiffres 2005) ce qui en fait le plus élevé de la Seine-Saint-Denis, très largement supérieur aux moyennes nationale (83 pour 1000) et départementale (96 pour 1000).) Il s’agissait de « ratisser large » pour obtenir de nouveaux «  moyens » c'est-à-dire de l’argent sous forme de subventions publiques (L’argent de vos impôts) pour la propagande communiste, à la suite de la perte de certains des bastions emblématiques du communisme en 2008 dont Saint Ouen comme on vient de le voir, une nébuleuse marxiste culturelle est rapidement créée en urgence pour continuer à toucher de grasses subventions publiques pour alimenter les mouvements de la haine raciste albophobe et antisémite sous forme ce « comités » locaux ! Voir ici dont on peut douter de la légalité de certains. 

Amis ou sympathisants des idées de « gauche » idées de la haine raciste antisémite apprenez Ici  en trois étapes à devenir une bande d’idiots utiles au marxisme culturel de façon à récolter des fonds et des subventions publiques pour ruiner la France.
Les marxistes staliniens se sentirent obligés de se recycler, la bête puante communiste ne voulait pas mourir.

Nous venons de voir dans la partie 1 que Willi était convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée. 

Nombre d’analystes politiques, journalistes et autres intellocrates ( Notamment aux état unis sur Wikipédia qui ne voudraient voir le marxisme culturel qu’il considéreraient comme un terme « péjoratif » essentiellement résumé aux idées issues de l’école de Francfort  exprimées par de nombreux intellectuels d’origine juive ce qui permet d’avancer insidieusement que dénoncer le marxisme culturel serait antisémite, mais chacun sait que Wiki est fortement contaminé ( Involontairement ?) par l’idéologie maxcul ; y préférer Cliquer ici pour Liberpédia), ces analyses ne donnent pas bien sur les origines du marxisme culturel dés 1920 origines dues à Lénine lui-même et aux idées de Münzenberg le militant communiste allemand, cadre de l'Internationale communiste qui avait vu l’échec de la « révolution » allemande ; ces analyses  proposent pour origine celle des « intellectuels » marxistes internationaux qui fondèrent  en 1923, l’École de Francfort afin d’étudier les causes de ces échecs. Elle rassemblait des pseudos socio-philosophes  autoproclamés universitaires  tels que Horkheimer, Wiesengrund, Adorno, Marcuse, Benjamin Fromm, Pollock, Neumann, Wiggersrhaus, suivis par Haberm, Lukacs… assistés par le fameux Sigmund Freud (*)

Constat: Les Peuples rejetaient le marxisme.
Question: Y aurait-il une erreur dans la doctrine?
Réponse : Impossible. L’erreur est dans l’immaturité des peuples.
Conclusion: il faut changer les peuples avant de prendre le pouvoir.

Herbert Marcuse dont les théories sont  inspirées de Marx et de Freud écrit : « C’est le peuple qui n'a pas rempli le rôle que lui avait réservé la théorie révolutionnaire » … « mis devant la possibilité de la révolution, le peuple aura préféré s'en détourner en adhérant profondément aux institutions définissant la civilisation occidentale. » « Qu'une conscience non révolutionnaire - ou plutôt antirévolutionnaire - prévaut dans la majorité de la classe ouvrière, cela saute aux yeux. » Et il continue: « Il faut préférer la dictature des intellectuels au pouvoir d'un peuple encore imparfait. […] Il est nécessaire, pour une société civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées. »
Rappelez vous le mode d'emploi du Marxisme Culturel: « Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. »


Dés 1936 du 3 au 6 septembre, un « Rassemblement Universel pour la Paix » le RUP, une organisation politique internationale est créée lors du Congrès universel pour la paix réunissant 5 000 participants au stade du Heysel à Bruxelles. Grâce aux adhésions collectives de mouvement politiques très divers (des conservateurs britanniques aux communistes Français et étrangers) il peut revendiquer dès 1936 des centaines de millions d'adhérents dans le monde, mais il subit un très fort déclin en 1939 et 1940 avec le départ des communistes majoritaires puisque le RUP avait dénoncé le pacte Hitler Staline ou pacte germano-soviétique. Sa création était un projet porté en 1935 et au début de 1936 par plusieurs personnalités en vue telles que le ministre français et agent de Moscou Pierre Cot (4) (Comme le ministre de la Défense de François Mitterrand Charles Hernu avait été, dans les années 50 et 60, un agent du KGB), Louis Launay pacifiste franc maçon ex vénérable de l’Ordre Maçonnique du Grand Orient de France ( Dont le rôle serait à préciser dans un ouvrage ultérieur) ou le conservateur britannique Robert Cecil vicomte de Chelwood futur Prix Nobel de la Paix un des premiers « idiots utiles ».

Voir ICI la création du RUP, une création exclusive de l’URSS et du créateur du marxisme culturel Willi Münzenberg.
Le camarade Louis Udeanu dit Dolivet,l’ «ami» de Pierre Cot et son officier traitant aux multiples « alias » comme Legrand, Brecher, Bovet, un marxiste d'origine roumaine, activiste du Komintern jouera également un rôle fondamental quoique non officiel dans la création du RUP.


C’est en août 1948 après la guerre que  l’idée de « mouvement de la paix » voyait le jour à l’initiative exclusive du Kominform Voir ici. (contraction, en russe, de « Bureau d'information des partis communistes et ouvriers », organisation centralisée du mouvement communiste international dans la période de 1947 à 1956 successeur du Komintern dont le but était de contrôler étroitement l'évolution idéologique et politique des États ou des partis communistes participants, notamment du PCF. Il n'avait en fait d'autre réalité que l'exécution des volontés de Staline), est  formée peu après la Seconde Guerre mondiale une espèce de « ligue internationale » qui convoque en Pologne occupée par les communistes soviétiques criminels contre l’humanité un « Congrès mondial des partisans de la paix » qui aura lieu à Paris du 20 au 23 avril 1949. Y est créé un Bureau international de liaison des intellectuels, le secrétaire stalinien de ce « bureau » est Louis Aragon, (c’est lui qui fera le panégyrique du grand criminel contre l’humanité Staline en écrivant : « Merci à Staline pour ces hommes qui se sont forgés à son exemple, selon sa pensée, la théorie et la pratique stalinienne ! Merci à Staline qui a rendu possible la formation de ces hommes, garants de l'indépendance française, de la volonté de paix de notre peuple) création de ce « bureau » avec la Fédération démocratique ( ?) internationale des femmes (Satellite du stalinisme qui en 1951 se verra interdite de secrétariat à Paris et siégera « démocratiquement » à Berlin Est bien connu pour sa légendaire démocratie), dont la présidente Eugénie Cotton une idiote utile typique qui recevra en 1950 le prix Staline pour la paix.( Pour ceux qui ne le savent pas encore Staline, un antisémite Voir ici., a été un des plus grands criminel contre l’humanité du XXème siècle on lui doit l’Holodomor au 9 Millions de morts Voir ici.) De nos jours ce Mouvement de la paix reste un mouvement violent et antisémite marxiste stalinien n’ayant jamais fait son mea culpa, ni renié ses origines.A propos de mea culpa ;
Lire ici. Extrait: "Il me manque encore quelques haines. Je suis certain qu'elles existent. " Ce qui séduit dans le Communisme, l'immense avantage à vrai dire, c'est qu'il va nous démasquer l'Homme, enfin ! Le débarrasser des " excuses ".Voici des siècles qu'il nous berne, lui, ses instincs, ses souffrances, ses mirifiques intentions... Qu'il nous rend rêveur à plaisir... Impossible de savoir, ce cave, à quel point il peut nous mentir... C'est le grand mystère. Il reste toujours bien en quart, soigneusement planqué derrière son grand alibi. " L'Exploitation par le plus fort. " C'est irréfutable comme condé...Martyr de l'abhorré système ! C'est un Jésus véritable !..." Je suis ! comme tu es ! il est ! nous sommes exploités ! Ça va finir l'imposture ! En l'air l'abomination !"

A la Salle Pleyel, 2000 délégués marxistes ou autres « idiots utiles », de 70 nations différentes, sont à Paris pour le fameux « Congrès mondial des (Communistes) partisans de la paix » qui adoptent à l'issue du congrès un manifeste et constituent un comité de 140 membres pourvu d'un bureau que préside Frédéric Joliot-Curie membre du Parti communiste français depuis 1942, membre du Comité central dés 1956. Le mouvement de la « paix » communiste a vu le jour.
Le gouvernement français ayant refusé pour des raisons évidentes de sécurité nationale un certain nombre de visas, un autre congrès se déroulait simultanément à Prague derrière le sinistre rideau de fer (1) et  Voir ici.

Ce n’est qu’en 1951 avec le titre ronflant et trompeur qu’est créé le « conseil national français du Mouvement de la paix », appelé communément « Mouvement de la paix » avec pour responsable un membre du comité central du PCF Raymond Guyot Ici, utilisant parfois le pseudonyme du créateur de l’armée rouge Trotski (Sans rire).
Situé au 35 Rue de Clichy Paris 9ème le « mouvement de la paix » possédait le compte N° 06169_8 à la Banque Commerciale pour l'Europe du Nord – Eurobanque  ou encore BCEN-Eurobank, la banque soviétique en France confirmant encore une fois son allégeance au Stalinisme et au marxisme.
Yves Farge, communiste dans les années 20, « converti » sur ordres de Moscou à la SFIO pour l’infiltrer en est le président jusqu'à sa mort en 1953. Agent communiste formé à Moscou à l’école du Parti, membre clandestin du NKVD soviétique, Farge est nommé commissaire de la république à Lyon comme son collègue et camarade Raymond Aubrac l’avait été à Marseille (Voir ici Raymond Aubrac était un agent communiste et aussi un membre du fameux mouvement de « Paix ») et c’est ainsi qu’il procurera des faux papiers au géographe et communiste hongrois Sándor Radó et sa femme allemande Lena (2) deux agents du NKVD du fameux orchestre rouge pour pénétrer de la Suisse sur le territoire Français et rallier via Paris l’URSS ( Il semble qu'en 44 les autorités helvétiques aient cédé aux menaces et pressions du IIIe Reich et interrompu les activités du réseau d’espionnage Rado: le service de contre-espionnage allemand, même s'il ne pouvait pas le déchiffrer, avait dû faire la relation entre l'importance du trafic TSF Genève Moscou et les contre-mesures que l'Armée Rouge opposait presque systématiquement depuis un an aux attaques de la Wehrmacht).
Le camarade et traitre rouge Farge avait sur ordre du PCF et conjointement de Moscou créé en mars- avril 1948 les « combattants de la liberté » concomitamment au « Coup de Prague » nom donné à la prise de contrôle de la Tchécoslovaquie en février 1948 par le Parti communiste tchécoslovaque, avec le soutien de l'Union soviétique, aboutissant au remplacement de la « troisième République tchécoslovaque » par un insupportable régime marxiste sanguinaire et totalitaire. Combattants de la « liberté »  qui deviendront en Janvier 1949 « Combattants de la liberté et de la paix » rebaptisés en Janvier 1951 les « combattants de la paix et de la liberté » pour finir en mars de la même année par le « Mouvement de la paix ».Yves Farge recevra le sinistre Prix Staline de la « Paix » le 25 mars 1953, à Moscou.

Comme chacun sait Staline, le grand « humanisme » et autre grand criminel contre l’humanité dit le Petit père des peuples ou « Saint » Joseph était connu pour son immodéré « pacifisme » et son fameux et inébranlable« progressisme » au 9 millions de morts de l’Holodomor (Sans compter les 2 à 3 millions de « dissidents » humainement massacrés). Avec l’interdiction de l'avortement, les purges antisémites et la répression de l'homosexualité, le vrai visage du communisme, raciste antisémite et homophobe, la « Grande Terreur, la peste rouge » apparaît au grand jour. Bien sur, comme avec le PCF, le Front de « gauche », Europe Écologie les Verts ou le NPA (Nouveau Parti Antisémite), le MRAP ou le mouvement de la paix, tous néos marxistes,( = Marxistes culturels!) le secret et la propagande systématiquement entretenus autour de ces actes font du travestissement de la réalité et de la réécriture du passé une caractéristique permanente de ses « mouvements » dans la droite ligne du Stalinisme « humaniste » le plus abominable. Staline  a voulu éliminer radicalement tous les éléments socialement suspects (Comme le MRAP marxiste culturel qui menace constamment de « mettre hors d’état de « nuire » » les sites et personnes animateurs de blogs qui dénoncent sa violence albophobe et antisémite et son stalinisme sous jacent. On voit bien là, les regrets de la « liberté » marxiste qui vous valait 20 ans de goulag ou une balle dans la nuque) et tous les mécontents suscités par sa politique marxiste. Dés juillet 1936 Staline entend éliminer tout ce qui pourrait constituer une fantasmée « cinquième colonne » de l'ennemi (Tout ce qui n’est pas communiste) sois disant en cas d'invasion de l’URSS. Une série d'opérations secrètes et d’assassinats frappe par centaines de milliers de petits paysans, la « liquidation des koulaks en tant que classe »,avec les dékoulakisés appauvris par la collectivisation, les ex aristocrates, les milliers de vagabonds et marginaux engendrés par le collectivisme, les anciens membres des classes « dirigeantes » et leurs enfants, tous les individus entretenant ou ayant entretenu des relations avec l'étranger (corps diplomatique, anciens combattants d'Espagne, agents du Komintern, jusqu'aux espérantistes, aux philatélistes ( Ce qui explique le sous titre de mon blog :Ici) et aux astronomes.( Le décret 0054 du NKVD soviétique du 28 novembre 1940, publié en pleine période du grand amour entre les communistes et les nazis, précisait : « Doivent exclus de la société socialiste…les membres de partis politiques, les personnes qui ont été exclues du parti communiste, les réfugiés, les étrangers, les personnes qui ont voyagé à l’étranger, les personnes qui font de l’espéranto ( ?), les philatélistes ( ??), le personnel de la Croix Rouge, les personnes qui mènent une activité paroissiale, les membres du clergé, les membres actifs des communautés religieuses, les aristocrates, les propriétaires terriens, les commerçants aisés, les banquiers, les industriels, les restaurateurs et les hôteliers… ». La politique de répressions massives est graduellement étendue à la totalité du corps social. Minorités nationales, cadres du parti ou simples particuliers étaient tous potentiellement exposés, chaque citoyen pouvant brusquement se retrouver rangé au rang des prétendus « ennemis du peuple » (Aujourd’hui en nov langue marxiste culturelle ont dit « Fachos »), « ennemis de classe » (ont dit Bourgeois ou nantis comprendre tous ceux qui ont un emploi), « saboteurs » et autres « espions de l'impérialisme » (Patrons) ou encore « cosmopolites sans racine » (Aujourd’hui on dit sionistes ou même comme dans les manifs du MRAP antisémite : Des juifs !). Le front de gauche marxiste des nazis ?

Le marxisme, doctrine du socialisme, c’est la lutte ou la guerre des prétendues « classes », et la guerre des classes (CP contre CM2 ?) implique de liquider une partie de la population. Car pour restructurer la société, il faut d’abord éliminer non seulement les opposants politiques, mais aussi les intellectuels, les meilleurs travailleurs, les artistes non conformes à la doctrine, etc.

C’est le genre d’ingénierie sociale qu’ont mis en œuvre Lénine, Staline, Mao et Pol Pot, pour ne citer que les socialistes et autres marxistes les plus sanguinaires. Cette ingénierie sociale forcée répond aussi à des critères ethniques lorsque des peuples entiers sont considérés comme trop « réactionnaires ».

Karl Marx prônait lui-même « l’extermination des Serbes et autres peuplades slaves, ainsi que les Basques (?), les Bretons (?) et les Highlanders d’Écosse », tous « peuples » trop peu évolués pour la révolution socialiste et faisant ainsi obstacle à l’inéluctable « progrès…» de l’humanité.

Elle fut partiellement mise en œuvre par le socialiste nationaliste chancelier du troisième Reich Adolph Hitler qui avait décrété que « les races nuisibles au progrès socialiste de l’Humanité » étaient cette fois les Juifs, les tziganes, les homosexuels (Les communistes aussi vouaient les déviants sexuels aux gémonies en URSS. Le stalinisme humaniste progressiste et tolérant va imposer une ligne d’homophobie radicale : l’homosexualité masculine (moujelojstvo) est recriminalisée le 17 décembre 1933 l’article 121, introduit dans le Code en avril 1934, rend tout acte homosexuel passible de trois à cinq ans d’emprisonnement.

Il y a aussitôt de nombreuses arrestations à Moscou, Leningrad, Kharkov et Odessa, notamment dans les milieux du théâtre, de la musique et des arts. À la mort de Kouzmine, en 1936, son amant, Youri Yourkine, et la plupart de ses amis sont arrêtés avec tolérance et démocratiquement fusillés. La même année 1936, le commissaire à la justice, Nicolas Krylenko, déclare que l’homosexualité est un crime contre l’État soviétique et le prolétariat.

Pour les communistes, l’homosexualité n’est pas seulement un héritage déplorable de l’Ancien régime, elle est aussi profondément liée au fascisme, comme le souligne l’exclamation de Maxime Gorki ( L’écrivaillon collabo qui voyait Lénine comme un « juste ») dans la Pravda le 23 mai 1934 avant même la Nuit des Longs Couteaux :
“Extirpez l’homosexualité et le fascisme disparaîtra”
La thèse de la perversion fasciste (les “mœurs des SA”) permettait d’offrir au grand public soviétique et occidental une opposition terme à terme (le socialisme était du côté de la nature, de la santé et de la vertu, le nazisme de la contre nature, de la dégénérescence et du vice), en occultant totalement la réalité des violences homophobes nazies). Hitler comprenait dans les races nuisibles les hommes de race noire, (Oui les races existent !) entre autres…

C’est cette ingénierie sociale et vrai marxisme culturel qui imprégnait sans doute la tête de Pierre Bergé, quand il souhaitait « des bombes sur la Manif pour tous », et celle du feu petit con facho rouge Clément Méric disant que « ils ne devraient même pas être vivants… ».


Sans oublier en ex URSS  la déportation de centaines de milliers de Polonais et de Baltes, ou le transfert en Asie centrale de 170 000 Coréens (800 000 prisonniers n’en reviendront pas). Il ira jusqu'à ordonner  le 5 juillet 1937, au NKVD d'interner toutes les épouses de prétendus « traîtres » en camp d’extermination du Goulag pour 5 à 8 ans, et de placer leurs enfants de moins de 15 ans « sous protection de l’État ». Ordre qui conduit à arrêter 18 000 épouses et 25 000 enfants, et à placer près d'un million d’enfants de moins de 3 ans dans des orphelinats. De  1917 à 1991 le système marxiste « pacifiste, humaniste et progressiste à fait en URSS le total effarant de 61 911 000 morts plus de soixante millions de morts par démocide Voir ici

Après avoir été félicité par les écrivains Vadim Mikhaylovich Kozhevnikov (Héros du Travail socialiste pour ses contributions à la « littérature » marxiste et membre du Soviet suprême de l'Union soviétique)  et Ilya Grigorievitch Ehrenbourg, lui aussi fameux militant de la « paix », légèrement sanguinaire certes, mais bon, c’était à l’époque pour la « bonne » cause, la cause de la « paix » éternelle communiste, n’a t il pas écrit en affirmant que « les Allemands ne sont pas des êtres humains », un article qui appelait à les exterminer sans pitié : « Ne disons rien. Ne nous indignons pas. Tuons. Si tu n’as pas tué un Allemand par jour, ta journée est perdue… (…) Si tu ne peux pas tuer un Allemand avec une balle, tue-le à la baïonnette… Si tu as tué un Allemand, tues-en un autre (…) Tue l’Allemand ! C’est ce que te demande ta vieille mère. L’enfant t’implore : tue l’Allemand ! Tue l’Allemand ! C’est ce que réclame ta terre natale ». Aux dires très sujet à caution de ses biographes Ici Ehrenbourg fut membre de la direction du Conseil mondial de la paix, et reçut à ce titre en 1952 le prix Lénine pour la paix ou prix Lénine international pour la « consolidation de la paix entre les peuples » : ça vous a un sale relent rougeâtre d’amitié entre les peuples reconnaissable entre mille comme celle d’un stalinien bretonneux des landes (Synonyme de crétin des Alpes)! Ce « prix » était la réponse de l'Union soviétique communiste au prix Nobel de la paix. C’était à l’origine le prix Staline pour la paix rebaptisé Lénine en 1956 (Louis Aragon recevra le sien en 1956 après 30 ans de bons et nauséabonds services) lors de la déstalinisation, c’est donc le prix de la haine rouge du criminel contre l’humanité Staline que reçu le camarade Ehrenbourg. Récipiendaire des  Prix Staline et Lénine, Ehrenbourg est un sommet dans la veulerie! Cela fait penser à un avatar de Staline ou à un militant du MRAP antisémite. Le très socialiste Kadhafi avait dans son pays musulman au sud de la Méditerranée, fait lui aussi un « prix Kadhafi » des Droits de l'Homme ! L’ancien « philosophe » officiel du PCF ancien député communiste et directeur du Centre d'études et de recherches marxistes, le camarade négationniste et antisémite condamné pour provocation à la haine raciale antisémite et converti à l’Islam Roger Garaudy, recevra le sien en 2002 ! Le cheikh salafiste saoudien Ibn Baz avait nommé le puant croupion pourri  Roger membre du Conseil supérieur international des mosquées. Cependant, en novembre 1996, Garaudy déclarera : « j'ai atterri dans l'islam sans me défaire de mes croyances personnelles ni de mes convictions intellectuelles (entendre marxistes culturelles)  ». Ce qui a fait dire au cheikh que le communiste français était un « hypocrite » et un « impie originel » ; finalement les islamistes ne sont pas si bêtes qu’il y parait !

Les cris de haine marxiste n’ont pas changé avec la campagne BDS en France initialisés par le MRAP (Qui distille de la haine des juifs), le Mouvement de fascistes rouges dit de la « Paix » communiste, le ccfd Terre solidaire, des syndicats comme la CGT, des associations d’idiots utiles qui maîtrisent parfaitement aujourd’hui comme hier et bien moins que demain la haine antisémite, l'amnésie, le négationnisme, et surtout l'occultation, la diversion et la falsification historique.
Permettez moi, amis une petite digression : Lorsque un courageux anonyme dit Mraplandes webmestre du site du MRAP des Landes ( Qui distille de la haine des juifs et un des pires égouts intellectuels du Web) appelle sur son site à mettre hors d’état de nuire ( Menaces d’élimination physique) Michel Labet, un historien et très célèbre blogueur et écrivain libertarien Article du MRAP Landes qui donne le lien ou Michel Labet est Qualifié ici de "raciste" (Copie d’écran faite) sans oublier bien sur ses blogs jugés eux aussi « racistes » comme Ici ou « l’antiracisme » sert à ce que comme dans l’ancienne URSS marxiste stalinienne ou on l’appelait la répression des phénomènes négatifs, à l’élimination des opposants au marxisme culturel. On à bien l’impression que le « monsieur » ou devrais je dire « camarade » du MRAP des Landes ou monsieur MRAP40 regrette les Goulags, les asiles psychiatriques et la Loubianka avec ses exécutions sommaires !

Le philosophe Alain Finkielkraut à dit : « l’idée généreuse de guerre contre le racisme se transforme petit à petit monstrueusement en une idéologie mensongère. L’antiracisme sera au vingt et unième siècle ce qu’a été le communisme au vingtième. »  Voir ici le livre sur Internet "La question" au sujet du MRAP. Je ne résiste pas à l’envie d"y mettre en exergue la phrase inoubliable du communiqué publié par le grand écrivain Alberto Memmi, lors de sa démission du Comité de Parrainage du MRAP : « Il serait désastreux, et peut-être criminel, que l’antiracisme serve d’alibi à autre chose qu’à la lutte contre le racisme ». Et bien messieurs, ça y est, l’antiracisme est devenu au XXIème siècle avec l’humanisme du mouvement de la paix à la sauce rouge du pur marxisme culturel, le plus crasseux, le plus nidoreux, le plus raciste et antisémite qui soit ! CQFD !
Il est évident que les marxistes et notamment les Mrapistofurieux se sont toujours fait l’écho d’une puissante indignation morale contre les prétendus «méfaits» du « capitalisme » et du « colonialisme » dans tous leurs textes, depuis Le Capital de Marx jusqu’au moindre tract du PCF , du MRAP ou du Front de Gauche actuel. Leur indignation n’est qu’un artifice de style, un procédé de manipulation cynique, car les marxistes n’ont jamais eu un brin de morale, ce ne sont que des « amoralistes ».
Nos «amoralistes» marxistes culturels ont depuis toujours un double discours.
D’un côté, ils considèrent avoir le droit de donner des leçons de morale à leurs propres militants, à ceux des autres organisations révolutionnaires, aux prétendues « classes » dominantes et à leurs représentants aux opposant à leurs rhéses nauséabondes et criminelles, mais aussi de dénoncer, d’un point de vue moral, les actes jugés ignobles, racistes, fascistes etc. etc. de la classe dite dominante et les sociales démocraties leur en offrent tous les jours l’occasion.
De l’autre, ils sont dans un état permanent de toute-puissance ( « Je » détiens la vérité, « je lutte » pour la libération de l’humanité, « moi seul » peux empêcher la généralisation de la barbarie capitaliste, voire la disparition de l’espèce humaine et donc mon sacrifice pour cette cause me rend inattaquable et intouchable »). Discours marxiste culturel typique, digne d’un militant du Front de Gauche du NPA antisémite ou d’un membre de la magnifique direction «collégiale» du politburo du MRAP, si ce n’est de monsieur MRAP40 un gai stalinien retraité de l’éducation nationale.

Lorsqu’on les critique sur tel ou tel point (des mœurs peu démocratiques des organisations marxistes à la répression de Cronstadt, par exemple) ces amoralistes reprennent en fait à leur compte la morale des jésuites « La fin justifie les moyens », entendez par là :
Il faudrait se défendre (enfin les prolos, (très dur à trouver de nos jours) ou les immigrés aujourd’hui) contre les méthodes barbares et sanguinaires des « possédants » et la non-violence est inefficace.
C’est faire peu de cas de la non violence de Gandhi popularisée dès 1921, de Martin Luther King pour la lutte des Noirs américains contre la ségrégation (Martin Luther King qui disait : «La non-violence est une arme puissante et juste, qui tranche sans blesser et ennoblit l’homme qui la manie. C’est une épée qui guérit ») ou celle de Lech Wałęsa et Václav Havel contre les gouvernements communistes immondes.

Les marxistes culturels font généralement remarquer que l’usage de la violence n’est pas toujours condamné par les thuriféraires du Grand Capital ( Comme Dieu, le Capital est toujours grand) puisque la « bourgeoisie » ferait souvent l’éloge de la violence guerrière, par exemple celle des attentats des résistants français ( certains communistes) contre les soldats allemands désarmés, voire les bombardements terroristes contre les populations civiles (de Dresde à Hiroshima en passant par les bombardements en Irak), pudiquement baptisés « dommages collatéraux ».

Tous les moyens seraient donc permis dans le cadre d’un mouvement de « masse », ou en tout cas avec la bénédiction de la direction du Parti Communiste ou du groupuscule d’extrême gauche qui détient forcément la Vérité avec un grand V (Le V de vérité est lui aussi comme Dieu : toujours Grand !).

Dans ces moyens permis une savante confusion est entretenue entre la violence défensive (par exemple, l’autodéfense armée de grévistes contre les forces de l’ordre, ou d’un service d’ordre de manifestants antifa contre des fantasmés « fachos »… ou des islamistes) et la « guerre » dite impérialiste. Confusion entre guerre civile, guerre de libération « nationale » et terrorisme contre des civils innocents ou prise d’otages.


C’est ainsi par exemple que les innocentes victimes du nauséabond terrorisme d’extrême gauche des années 70 sont présentées comme de simples « accidents de travail » survenus à des représentants du grand Capital.
En 1921, alors que le bolchévisme est sans conteste vainqueur et que les principes du communisme de guerre ne semblent plus se justifier,Saint Joseph Lénine n’hésite pas à écrire : « C’est une très grande erreur de penser que la NEP a mis fin à la terreur. Nous allons encore recourir à la terreur et à la terreur économique ».

En 1938 Lev Davidovitch Bronstein dit Trotsky dans : « Extrait de Leur morale et la nôtre » écrira : « Le terrorisme individuel est-il ou non admissible du point de vue de la « morale pure » ? (…) « Sous cette forme abstraite, la question est pour nous tout à fait vaine. Les bourgeois conservateurs suisses décernent encore des éloges officiels au terroriste Guillaume Tell. Nos sympathies vont sans réserve aux terroristes irlandais, russes, polonais, hindous, combattant un joug politique et national. »
Maintenant revenons à nos moutons qui ne sont pas de l’aïd mais de la haine et à Yves Farge l’agent soviétique fondateur sur ordre de Moscou du mouvement de la « paix » !

C’est aussi avec Inaï Népédéva (?), du Comité antifasciste des femmes soviétiques contrôlé par le Sovinformburo ( Agence de presse et de propagande marxiste) et dirigé par le comité central, qu’Yves Farge lorsqu’il recevra le Prix Staline de la Paix ( Sans rire ,SVP pour le respect du aux 9 millions de morts de l’Holodomor Voir ici un article "raciste" de Michel Labet sur le plus monstrueux crime contre l'humanité du xx ème siècle) évoquera la récente disparition de Staline, la douleur qu'elle lui provoqua et son rôle de chef soviétique. Il disparaîtra (le pauvre !) vraisemblablement assassiné par ses bons « camarades » soviétiques quelques mois plus tard dans un sois disant « accident de voiture » le 31 mars 1953 à Tbilissi (Géorgie, URSS). Chez nous, la sécurité routière s’améliore de jours en jours… Dommage !
Inutile de chercher parmi les Prix Lénine et Staline les grands écrivains russes du XXe siècle… car ils étaient au goulag (Soljenitsyne, Chalamov…) ou reclus chez eux (Boulgakov, Akhmatova…), tués et/ou interdits de publication (Mandelstam…) ou encore suicidés comme Maïakovsky dont le soutien aux bolchéviques à détruit son oeuvre, sa vie et surtout l'estime de lui-même: comment peut-on se tromper ainsi, confondre enfer et paradis ?
Aujourd’hui le mouvement de la « Paix » est une association loi de 1901 Statuts ici Le président en 2006 était monsieur Pierre Villard aujourd’hui coprésident du Mouvement de la Paix. Membre du Comité de Coordination d'Abolition 2000 (réseau international pour l'abolition de l'arme nucléaire). Coordinateur de ICAN, Campagne internationale pour l'abolition de l'arme nucléaire (Sur Fesse de Bouc) et Le site marxiste Culturel. Il est vraiment dommage que ces très nobles idées d’abolition de l'arme nucléaire (encore qu’elle ne soit pas la pire) auxquelles j’adhère à 100% soient dévoyées par cette idéologie marxiste culturelle pestilentielle.

(*) Sigmund Freud, marxisme culturel et mariage « Gay ».

Nous avons vu qu’un des rôles du dégoûtant marxisme culturel est de promouvoir la fragmentation de la société en minorités, notamment sexuelles, comme celles par exemple des LGBT et de dresser ces minorités ou de leurs accorder des « droits » comme par exemple le mariage et ce contre l’opinion de  la majorité traditionnelle culpabilisée par l’ « homophobie » ( la notion d'« homophobie » a été forgée de toutes pièces par le « lobby homosexuel » américain très MC pour stigmatiser ceux qui s'opposent aux revendications politiques nettement marxistes culturelles du dit « lobby »). Cette désapprobation intellectuelle de l’homosexualité est par exemple comme « l’extrême droite » très fantasmée mais ne laisse aux opposants aux perversions sexuelles et aux maladies mentales plus d’autre choix que de se taire. 

Tiens un exemple, Tim Cook, le PDG d’Apple avait en 2014 fait son « coming out » et se disait « fier » d’être gay. Ici (Pourtant c’était un fait déjà connu depuis longtemps).
Tant mieux pour lui, on ne devrait pas avoir à se cacher, ce n’est plus (depuis peu) en occident une maladie mentale. Encore puni de MORT en terre d'Islam !

Là où ça ne passe pas pour moi, c’est le principe de « fierté ». On peut être fier de ce qu’on a accompli, mais pourquoi être fier de quelque chose qu’on n’a pas choisi et qu’on ne peut pas changer ?
Quand un homosexuel se dit fier d’être « gay », des gens disent « bravo » !

Si un hétéro se fier d’être hétéro, il est crucifié sur la place publique par le MRAP ou SOS racisme comme étant un sale homophobe ! Si ce n’est un « raciste » !




Nous avons vu que l’histoire du marxisme culturel prend sa source dans le marxisme Léninisme au début du 20ème siècle, mais pour qui connais les débuts du communisme il ne peut que constater qu’il était autant « homophobe » et c’est un mot faible, que l’Islam d’aujourd’hui.
L’histoire du communisme international est, globalement, l’un des plus tristes chapitres de l’histoire de la désapprobation intellectuelle de l’homosexualité au dix-neuvième et vingtième siècle. Les choses ne pouvaient plus mal commencer, puisque l’un des deux fondateurs du marxisme, Friedrich Engels, était farouchement « homophobe ». Dans une lettre à Marx de 1869, où il s’en prend violemment au sexologue allemand Ulrichs, il écrit :
“On dira dorénavant : guerre aux cons, paix aux trous-du-cul. C’est encore une chance que nous soyons personnellement trop vieux pour avoir à craindre de payer de notre personne la victoire de ce parti.” 

Et dans L’origine de la famille, de la propriété et de l’État (1884), il dénonce “la pratique répugnante de la pédérastie grecque”, dans laquelle il voit le résultat d’une déchéance morale.

En fait, cette position n’est pas spécifique aux marxistes : pour beaucoup de « progressistes » du dix-neuvième siècle, l’homosexualité est un vice des élites, résultant de la décomposition morale qu’engendrent inéluctablement le luxe aristocratique et le système capitaliste, oublieux de la saine nature.

Si la révolution bolchevique commença par émanciper les homosexuels russes, en abolissant le Code criminel de 1832 et en ignorant le crime de sodomie dans les codes de 1922 et de 1926, les bolcheviks n’avaient guère d’indulgence pour les homosexuels :
- les grands leaders avaient peu de goût pour la sexualité en général (“le dérèglement de la vie sexuelle est bourgeois, c’est une manifestation de la décadence”, dit Lénine en 1920) ;
- ils considéraient que l’homosexualité n’était pas un crime mais qu’elle avait toutes les apparences d’une grave maladie ;
- enfin ils y voyaient un vice d’aristocrates (Tchaïkovski, Diaghilev), ce qui n’était pas très bon signe dans un pays appelé à rompre avec son passé tsariste.
C’est ainsi que dès 1924, on procéda à des arrestations massives d’homosexuels « de mauvaise origine », attestées par la correspondance de l’écrivain Mikhaïl Kouzmine.

La Gay pride à Berlin en 1939.
Plus tard pour les staliniens, l’homosexualité ne sera pas seulement un héritage déplorable de l’Ancien régime, elle serait aussi profondément liée au fascisme


Cette longue et douloureuse histoire expliquerait que la « culture sexuelle » russe accuserait aujourd’hui un important « retard » :
Lorsque la télévision soviétique organisa son premier débat sur l’homosexualité, en 1989, un groupe d’étudiants en médecine diffusa des communiqués ultra violents affirmant que les « pédés » ne méritaient pas d’être considérés comme des êtres humains et qu’ils devaient être enfermés dans des camps spéciaux. Aujourd’hui ils si enferment seuls : Voir ici .

Les PD ? Ils sont partout !
En 1994, 18 % des Russes souhaitaient toujours « liquider » les homosexuels tandis que 23 % demandaient qu’on les “isole”. Voir ici .
En France pour les dirigeants communiste c’est jusqu’aux années 1970 que l’homosexualité sera considérée comme un vice bourgeois, « une tradition étrangère à la classe ouvrière » (selon une célèbre formule de la CGT), une pathologie contre nature, comme en témoigne la violente sortie du camarade Jacques Duclos en 1971 contre les membres du FHAR (Front homosexuel d’action révolutionnaire) venus l’interpeller à la Mutualité : « Allez vous faire soigner, bande de pédérastes, le PCF est sain ! »

Alors me direz vous comment le « marxisme culturel » peut il être à l’origine du « mariage » gay et des luttes contre « l’homophobie » si les marxistes haïssaient tant les déviants sexuels ?

Eh bien simplement parce que l’école de Francfort est passée par là.
L’École de Francfort (en allemand Frankfurter Schule) est le nom donné, à partir des années 1950, à un groupe d'intellocrates marxistes allemands réunis autour de l'Institut de Recherche bien évidemment « sociale » fondé à Francfort en 1923, et par extension à un courant de pensée issu de celui-ci, souvent considéré à tort comme fondateur de la philosophie sociale ou marxisme culturel. La Frankfurter Schule ne retient en effet du marxisme et de son prétendu idéal d'émancipation, l'idée principale que la philosophie marxiste ne doit être utilisée que comme critique sociale du capitalisme et non comme justification et légitimation de l'ordre existant, critique qui doit servir uniquement à sa transformation.

A l’évidence le marxisme dans l'école de Francfort a subi de grandes modifications. L'appel des théoriciens critiques de Marx est devenu de plus en plus rituel et ce qu'il y a dans la théorie des sources marxistes est maintenant mêlé à celles identifiables non marxistes ....
En un mot, ils avaient dépassé le marxisme ... dans une position d’antibourgeois militants qui fonctionnaient indépendamment des hypothèses économiques marxistes ils étaient devenus des marxistes culturels.

L’observation critique de l'école de Francfort illustre le « bolchevisme culturel », qui pousse le marxiste-léniniste de la révolution sous une étiquette sociologique freudienne. 

Pour la philosophie, l’économie et la sociologie, les intellocrates de l’École se contentent  pour source d’inspiration des analyses de Karl Marx.
Pour ce qui relève de la psychologie ils s’emparent des « idées » de Sigmund Freud et de sa masturbation intellectuelle qui considérait que l'homosexualité était un choix du sujet (choix inconscient, mais choix tout de même, par rapport à son désir) mais pas une maladie.
Nos gais révisionnistes marxistes avaient rapidement compris que le prolétariat ne se soulèverait jamais pour conquérir les leviers de « la production, la distribution et l’échange » comme le communisme l’avait prédit. L’économie n’était pas le chemin qui menait à la révolution.

Mais ce n’est qu’au début des années 1920 que le marxisme allemand connaîtra le paroxysme d'une crise durable,avec son éloignement de certaines des idées « homophobes » et dont les racines étaient anciennes . On situe conventionnellement son point de départ trente ans plus tôt, aux alentours de l'année 1895.

A l’époque certains des leaders sociaux-démocrates de l’Allemagne unifiée (Kautsky, Bebel) sont favorables à l’abrogation du « paragraphe 175 » (article du Code pénal allemand (Strafgesetzbuch), qui criminalisait l'homosexualité masculine, de 1871 à 1994) et le célèbre théoricien socialiste Eduard Bernstein, défendant Oscar Wilde en 1895, réfute déjà l’idée selon laquelle l’homosexualité serait un acte contre nature et un indice de décadence.
Puis suite à l'échec de la Révolution allemande de 1918-1919, le parti communiste Allemand se soumet aux conditions d'adhésion de la IIIe Internationale (ou Komintern). 

En plus, comble de « malchance », il n’y eut pas cette révolution mondiale, dont rêvait les Bolcheviques, menée par Lénine et Trotski, alors les Marxistes de l’école de Francfort commencèrent à analyser le «  pourquoi » de cet échec et conclurent à l’issue de leur réflexion que les cerveaux du prolétariat devaient être « lavés » de l’idéologie bourgeoise capitaliste la nouvelle étape historique marxiste ne devait pas consister à piller les banques ou prendre les gares et les bureaux de poste, comme les Bolcheviques en Russie en 1917, mais qu’il fallait,  en accord avec le communiste italien Antonio Gramsci, entamer « une longue marche à travers les institutions », c’est à dire maîtriser les institutions de base telles que le cinéma, la télévision, les médias, les sciences, les universités et les « jeunes », en un mot la « culture » toute entière et, par eux, transmettre leurs idées, révolutionnant ainsi la société et la civilisation occidentale qui devait être détruite. Cette stratégie fut appliquée à la lettre. Le haut est devenu le bas. Le bien est devenu le mal. Le juste est devenu l’injuste. Et vice-versa.

Lors d’une nouvelle étape historique ils fixèrent l’objectif du « lavage du cerveau » de l’Europe et de ses valeurs. L’école de Francfort était très liée à un hongrois marxiste, Georges Lukàcs  Ici qui, sous la République soviétique hongroise de Bela Kun, introduisit pour la première fois des leçons de libération sexuelle à l’école, afin d’élargir les bases « bourgeoises » de la société. Il réalisa que le moyen le plus simple de toucher les jeunes était l’éducation sexuelle. Lukàcs était ministre de l’éducation durant une courte période de 1919 à 1920.

La promotion des déviances sexuelles (sodomie, pédomanie, pédérastie, lesbianisme, etc) c’est une partie du projet marxiste culturel de destruction des sociétés occidentales planifié tant par l’oligarchie révolutionnaire aux idées marxistes internationaliste que par celle mondialiste et capitaliste. Le but est de dénaturer les relations humaines et de fabriquer des esclaves sexuels en pourrissant les enfants via le système éducatif public.

Vous pouvez le constater de visu, aujourd’hui l’enseignement du sexe, de l’homosexualité et de la transsexualité aux enfants, ça se fait dans les classes du primaire suivant en cela les « idées » de Lukàcs et de ses successeurs. On leur demande maintenant à un très jeune âge quel sexe ils se sentent intérieurement, s’ils ont des tendances homosexuelles etc. Certaines écoles ont même des toilettes pour les enfants qui ne se sentent pas du bon sexe biologique. L’homosexualité présumée est acceptée ici, contrairement a ailleurs dans le monde comme en Iran, ou les homos sont décapités ou pendus. Mais est-ce nécessaire d’avoir les jeux olympique gays, la gay-pride, le village gay, la semaine de lutte contre l’homophobie, les publicités gouvernementales contre « l’homophobie », comme si c’était un problème grave ici ? Pourquoi ne pas s’occuper plutôt des homosexuels qui risquent la mort dans d’autre pays ? Mais non, ça n’arrivera pas parce que la cible est la civilisation occidentale et les valeurs familiales occidentales.

Tout cela est fait en s’abritant derrière des valeurs nobles mais avec pour objectif marxiste culturel de supprimer la liberté individuelle et d’instaurer un totalitarisme « acceptable ». On vous dira toujours que c’est nécessaire pour l’égalité, la solidarité, ou pour « sauver la planète » mais tout çà n’est que propagande marxiste culturelle.
Voir ici les gays cocos!
 
Derrière ces bonnes intentions se cache une idéologie totalitaire marxiste, qui n’en aura rien à faire des « droits » des minorités ou de l’environnement une fois leur but atteint. 

Bien sur une minorité ne doit pas être opprimée, ni ostracisée, on se doit de respecter les minorités. Mais une minorité reste une minorité, et ne doit pas être élevée au rang supérieur, ou passer devant tout le monde parce qu’elle est une minorité. Les minorités se doivent de respecter la majorité et essayer de s’intégrer et de s’accommoder des valeurs de la majorité, et surtout cesser de jouer à la victime, alors qu’elles sont dans les pays les plus libres du monde. 

Après cette transformation culturelle progressive et ce « lavage de cerveau », le pouvoir politique devrait tomber aux mains des marxistes, apportant ainsi la victoire de la révolution mondiale.
Beaucoup de dirigeants ont poussé plus loin cette théorie, en utilisant activement les idées de Freud. Ils en sont arrivés à la conclusion que  le prolétariat était réprimé auparavant par la mentalité bourgeoise, chrétienne, dans le domaine du mariage, des relations sexuelles, et le rejet de toutes ces choses qui soi disant empêchent le peuple d’être heureux, au point que ses désirs secrets, fantasmes (libido) et autres perversions sexuelles, fétichisme, exhibitionnisme, sadomasochisme, urophilie, lesbianisme, scatologie etc. etc. ne puissent s’épanouir pleinement.
Après des siècles de culpabilité liée à la sexualité introduite par les églises chrétiennes dans les consciences, l’ultra libéralisation du sexe à pour but final de soumettre les «peuples», en contrôlant et agissant toujours sur leur sexualité.

Le sexe, c’est ainsi un des ultimes moyens de domestication.
L’éducation sexuelle, la théorie du genre, le mariage « gay », sont aujourd’hui imposés par les Nations Unies ou l’association internationale du planning familial, bien que relevant du marxisme culturel pur et dur, personne ou peut de gens se rendent compte que ces idées marxistes culturelles décomposent la société que nous diront «  classique », tel que la définissait le Général de Gaulle comme « un pays européen, essentiellement de race blanche, de culture gréco-romaine, et de religion judéo-chrétienne ».   

Le plus terrifiant, c’est que ces idées forment une idéologie totalitaire qui étouffe systématiquement les contestations, comme à la bonne vieille époque du Politburo. Ainsi, ceux qui s’opposent à l’adoption des enfants par un duo d’homosexuel (le)s se font arrêter. Comme ceux qui s’opposent à l’immigration de masse se font traîner dans la boue et accuser de « racisme ».

Ceci posé, j’affirmais Ici : «  Comme le savent sûrement mes fidèles lecteurs, l’homosexualité n’est plus considérée aux états unis et en Europe comme une maladie mentale. L'homosexualité a été retirée du manuel diagnostique et statistique des maladies mentales, en 1985 et a été déclassifiée lors du congrès de 1992, pour tous les états signataires de la Charte de l'OMS sous la pression des lobbys gays américains.

En 1973, l'Association Psychiatrique Américaine avait déjà « voté » (sic) de rayer l'homosexualité des catégories diagnostiques officielles de la maladie mentale. (Voir " An Instant Cure " "Une guérison instantanée", Time Magazine, 1er avril 1974, p. 45). Le Manuel Merck de diagnostics et de thérapie déclare : " L’Association Psychiatrique Américaine ne considère plus l'homosexualité comme une maladie mentale " (p. 1495).

La maladie mentale est réellement une maladie au même sens que les maladies physiques le sont, l'idée de rayer l'homosexualité ou n'importe quelle autre maladie de la liste des pathologies par un simple vote a été aussi absurde que si un groupe de médecins votait de rayer le cancer ou la rougeole de ces mêmes catégories.

Seulement voilà, même « rayée » d’une liste, il reste notoire que l’homosexualité sous sa forme pédophile ou pédéraste, est non comptant d’être un crime, est aussi une atteinte psychiatrique et reste une immonde et abjecte perversité sexuelle.

Le philosophe Grec ( !) Philon d’Alexandrie, lui-même qui vécu au Ier siècle de notre ère, affirmait déjà : « Non seulement ils efféminaient leurs corps à force de mollesse et de sensualité, mais ils travaillaient à la ruine de tout le genre humain, ils provoquent la dépopulation des villes, la raréfaction de l’élite de l’espèce humaine.»
D'un point de vue scientifique, la fonction des organes génitaux mâles et femelle répond à l'exigence de la perpétuation de l'espèce. A partir de là, toute utilisation hors physiologie peut être considérée comme perverse au premier sens du mot c'est à dire déviante : il y a déviance de la fonction. D’où atteinte psy. CQFD.

L’homosexualité n’est plus considérée dans nos civilisations sous contrainte marxiste culturelle comme une maladie mentale ? Soit, mais alors que dire de la reparative therapy et de ses ex-gays, de l’orientation sexuelle « égo-dystonique » en psychiatrie ou encore de la « perversion » en psychanalyse ?

Après avoir abondamment alimenté la réflexion sur ces psychopathologies, dès les tout premiers traités en la matière, l’homosexualité a finalement disparu du D.S.M.III. En effet, en ce nouveau jardin des espèces de « troubles psycho sexuels », seul subsiste un surgeon à complexification névrotiforme : ce qui est appelé l'homosexualité « égo-dystonique », c'est-à-dire en conflit avec le « moi » du sujet. Plus encore que la décision d'exclure ainsi l'homosexualité du catalogue des maladies mentales, c'est la procédure pour y aboutir qui est significative : l'A.P.A. (American Psychological Association) a procédé par voie référendaire. Comme l'a raconté Professeur Thuillier en 1973-74 le bureau de l'A.P.A. décide de ne plus retenir cette perturbation de l'orientation sexuelle qu'en fonction de la nosognosie (Classification québécoise du Processus de production du handicap: l'aptitude à reconnaître ses limitations physiques et psychiques. (Catégorie A1.1.4.1.6 des aptitudes reliées aux activités intellectuelles) de l'intéressé, c'est-à-dire lorsqu'elle concerne quelqu'un qui n'en est pas satisfait et s'estime lui-même « malade » ou troublé de se retrouver ainsi orienté (ceci, peut-être surtout en raison des conséquences sociales qu'entraîne cette tournure, conséquences qui tiendraient avant tout à la manière dont la société prend position à l'égard de cette particularité psychosociale dans la vie sexuelle ou ce que l'on a parfois appelé l
homophobie ambiante)».


A suivre en Partie 3.

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